Un intervalle I de R est un sous-ensemble de R qui vérifie : ∀a, b ∈ I, [a, b] ⊂ I. Définition 3 (Intervalle). ∗ n'est pas un intervalle.
Par exemple, ℝ* est l'ensemble des nombres réels privé de 0. Tous les nombres de l'ensemble des entiers naturels ℕ appartiennent à l'ensemble des entiers relatifs ℤ.
5 L'ensemble R
C'est l'ensemble des nombres réels. Un nombre réel est non seulement un nombre rationnel, mais peut aussi être un nombre dont le développement décimal est infini, et non périodique. Exemples : …. -5/4, -4, -4.2, -3, -2, -1.524, -1/2, 0, +0.7, +1, +2, +2.41, +3, +4/5, +5, +6, +6.75, +7/2, +8…
On dit que A est inclus dans B si chaque élément de A est un élément de B. On note A ⊂ B. On dit aussi “A est contenu dans B” ou “A est une partie de B” ou “A est un sous-ensemble de B”. Remarques - • A ⊂ A • Si A ⊂ B et B ⊂ C, alors A ⊂ C • A = B si et seulement si (A ⊂ B et B ⊂ A).
En mathématiques, un ensemble A est un sous-ensemble (En mathématiques, un ensemble A est un sous-ensemble ou une partie d'un ensemble B, ou...) ou une partie d'un ensemble. B, ou encore B est sur-ensemble de A, si tout. élément du sous-ensemble A est aussi élément du sur-ensemble B.
Z est l'ensemble des nombres entiers relatifs, c'est à dire positifs, négatifs ou nuls. Z∗ (Z étoile) est l' ensemble des entiers relatifs sauf 0 (zéro). L'ensemble N est inclus dans l'ensemble Z (car tous les nombres entiers naturels font partie des entiers relatifs). Tout nombre dans N est aussi dans Z.
Intervalles de ℝ
Initialement, on appelle intervalle réel un ensemble de nombres délimité par deux nombres réels constituant une borne inférieure et une borne supérieure. Un intervalle contient tous les nombres réels compris entre ces deux bornes.
L'événement A U B (lire A union B), aussi appelé «A ou B» , est l'ensemble des issues qui sont dans A ou dans B ou dans les deux. i) Événements disjoints : Deux événements A et B sont «incompatibles» ou «disjoints» si A et B n'ont aucune issue en commun, donc aucun élément commun (A ∩ B = Ø).
L'ensemble ayant pour éléments tous les sous-ensembles ou parties d'un ensemble E est noté de la façon suivante : P(E). Si Card(E) = n, alors : Card(P(E)) = 2n. Une partie d'un ensemble E différente de E et non vide est appelée une partie propre de l'ensemble E.
Pour dénombrer les absents dans une assemblée prévue de cinquante personnes, il suffit de compter les présents. En effet, l'ensemble des personnes absentes est le complémentaire de celui des personnes présentes. Si 47 personnes sont présentes, alors il y a 50 – 47 = 3 absents.
Le symbole Q désigne l'ensemble des nombres rationnels. Tous les nombres naturels, entiers et décimaux sont des nombres rationnels.
ℝ est le plus grand corps totalement ordonné archimédien. ℝ est l'unique corps totalement ordonné archimédien et complet. ℝ est l'unique corps totalement ordonné vérifiant la propriété de la borne supérieure. ℝ est l'unique corps totalement ordonné connexe (pour la topologie de l'ordre).
Cette relation est telle que –∞ est le plus petit élément de ℝ et +∞ le plus grand élément. Comme celle sur ℝ, la relation d'ordre usuelle sur ℝ est totale.
Ceci n'est pas vrai avec les nombres décimaux ou rationnels, tous les points de la droite ne peuvent être représentés par un nombre décimal ou rationnel, alors qu'avec les nombres réels si.
En français, le nombre zéro est considéré tantôt comme étant à la fois positif et négatif, tantôt comme n'étant ni positif, ni négatif.
Les nombres naturels, représentés par N , regroupent tous les nombres entiers compris entre 0 inclusivement et l'infini positif. On utilise parfois l'appellation nombres entiers naturels pour désigner cet ensemble.
Les nombres entiers, représentés par Z , regroupent tous les nombres entiers positifs et négatifs. On utilise fréquemment l'appellation nombres entiers relatifs. On peut voir l'ensemble des nombres entiers comme l'ensemble regroupant les nombres entiers naturels (N) et leurs opposés, les nombres entiers négatifs.
Définition : Les entiers naturels sont les nombres entiers positifs. Exemples : 0 ; 1 ; 2 ; 12 ; 33 ; 2008 sont des entiers naturels.
√2 et π sont des exemples de nombres qui ne peuvent pas s'exprimer sous la forme ab et dont le développement décimal est infini et non-périodique. Il ne font donc pas partie de l'ensemble des nombres rationnels. Ce sont des nombres irrationnels.
P(AuBuC) = P(A) + P(B) + P(C) - P(AnB) - P(AnC) - P(BnC) + P(AnBnC) Encore une fois, on retranche les intersections entre les deux ensembles (parties communes) car elles ont été comptées plusieurs fois, puis on ajoute l'intersection entre les trois ensembles P(AnBnC) puisqu'elle a été retranchée une fois de trop.
= PB(A) = proba(A) sachant B (ou P(A) parmi les B). et les cas favorables sont (A ∩ B). La formule précédente devient : P(A ∩ B) = P(B) × PB(A) = P(B) × P(A / B)
A ∪ B = "A union B" se réalise quand l'événement A OU l'événement B se réalise (ou les 2). Propriété fondamentale : P(A ∪ B) = P(A) + P(B) − P(A ∩ B) Probabilités conditionnelles : PB(A) = "Probabilité de A sachant B" .
Un intervalle fermé, comme {a}, [a, b], [a, +∞[, ] − ∞,b], ] − ∞, +∞[, est fermé. Exemples extrêmes : ∅ et R sont `a la fois ouverts et fermés.
Les intervalles. Exemples : → L'ensemble des nombres réels compris entre 5 et 7, est un intervalle et cet intervalle s'écrit : [5;7] note: Les crochets sont fermés pour indiquer que 5 et 7 appartiennent à l'intervalle.
a) Lorsque le crochet entour le nombre, on dit qu'il est fermé, dans le cas contraire on dit qu'il est ouvert. Par exemple, [2;3[ est fermé en 2 (mais ouvert en 3), cela veut dire qu'il contient 2 mais pas 3 ! ] 2;3] est fermé en 3 (mais ouvert en 2), cela veut dire qu'il contient 3 mais pas 2.