La gestion des conflits prend différentes formes selon les personnes. Il existe de nombreux inventaires des styles de conflit. En règle générale, ces inventaires classent la gestion des conflits selon 4 ou 5 styles, tels que l'évitement, le compromis, le contrôle ou la compétition, la collaboration et l'accommodement.
Il existe diverses façons de gérer les conflits, comme la négociation, l'encadrement en situation de conflits (coaching), la discussion facilitée, la médiation, l'arbitrage et l'action en justice.
Ils peuvent être des conflits d'idées, des conflits d'intérêts, des conflits de personnes ou encore des conflits de position.
Il existe 5 grandes attitudes en situation de conflit : évitement, compromis, coopération, compétition, accommodement.
Il existe cinq principales sources de conflit : les relations interpersonnelles, les informations, les intérêts, les structures organisationnelles et fonctions, ainsi que les valeurs et croyances.
Les objectifs pédagogiques de ce cours sont au nombre de trois : Mieux comprendre les conflits : leurs enjeux et leurs formes. Savoir les prévenir et les gérer. Utiliser au mieux les stratégies et tactiques de négociation.
La gestion des confits est la capacité d'anticiper, de reconnaître et de régler les conflits de façon efficace. La communication est un outil essentiel à maîtriser dans la démarche de gestion des différends.
La méthode DESC permet de désamorcer un conflit ou un malaise avec un collaborateur. Il s'agit d'un outil qui se décompose en 4 étapes et qui s'appuie sur l'assertivité et le respect. L'objectif est de régler un souci en le formulant de manière simple et en proposant des solutions adaptées, sans jugement.
Le problème est mesurable, observable, il représente un écart entre une situation existante et une situation souhaitée. Il suscite une insatisfaction acceptable et se situe surtout au plan rationnel. Le conflit est non mesurable, il est observable, représente une opposition, un heurt, un choc.
1. Lutte armée, combat entre deux ou plusieurs puissances qui se disputent un droit. 2. Violente opposition de sentiments, d'opinions, d'intérêts : Le conflit de deux générations.
1- La force
Sans doute la méthode la plus rapide pour résoudre un conflit. Dans ce cas, celui qui détient le pouvoir impose sa position, souvent sans vraiment écouter le point de vue de l'autre, parce qu'il considère que c'est à lui de prendre la décision. C'est efficace, et l'on peut passer à autre chose.
L'échange est certainement la meilleure manière de résoudre un conflit au travail. Mais attention, cet échange doit être constructif ! La bonne attitude consiste d'abord à laisser passer les émotions, particulièrement les émotions négatives comme la colère, l'agressivité, le ressentiment,…
De plus, tous les conflits non résolus ont des conséquences néfastes. Les conflits ont le potentiel de créer de grandes pertes économiques, produire un niveau de stress considérable au sein d'une organisation, miner les possibilités de coopération et même mener à la paralysie organisationnelle.
Pour dénouer un conflit, il faut garder son calme et ne pas prendre personnellement les insultes et les menaces. Ensuite, l'objectif est de calmer la colère de son interlocuteur. Pour ce faire, il faut résister à la tentation de dire "calme toi" ou "c'est nul de t'énerver pour ça".
Les conflits sont composés de plusieurs réactions : Surenchérir en insistant sur la dimension émotionnelle ou en dramatisant la situation par exemple. Répéter toujours le même argument, sans prendre en compte les réponses de l'interlocuteur. Prendre la fuite pour éviter la confrontation.
Un conflit armé non international (ou conflit armé « interne ») désigne une situation de violence dans laquelle des affrontements éclatent de manière prolongée entre les forces gouvernementales et un ou plusieurs groupes armés organisés, ou entre de tels groupes, sur le territoire d'un État.
Les conflits ont aussi des conséquences économiques. Ils conduisent à une montée du chômage et à une perte de revenu, car ils perturbent l'activité économique, détrui- sent l'infrastructure, génèrent de l'incerti- tude, font augmenter les coûts de transac- tion et favorisent la fuite des capitaux.