La surconsommation alimentaire désigne le fait de jeter des produits alimentaires sans les avoir consommés, mais aussi de manger de la nourriture en trop grande quantité. Ainsi, dans de nombreux pays industrialisés, le niveau de consommation alimentaire des ménages se situe bien au-dessus de leurs besoins réels.
Oui, les frites ! Sur la plus haute marche du podium, les croustillantes incarnent l'aliment le plus croqué au monde. Qu'elles soient en lamelles ou en bâtonnets, fines ou épaisses, frites ou au four, gratinées ou épicées, chaque pays en a tiré sa spécialité.
Par exemple, la peine, la déprime, une disposition favorable à se gratifier ou le désir de se récompenser pour se réconforter sont des facteurs prédominants dans les achats impulsifs. De façon similaire, les valeurs matérialistes ont évidemment tendance à promouvoir ce type d'achats [4,7].
Les impacts sociaux et économiques
endettement record des ménages; perte du sens critique, risque de dépendance à la consommation (achats compulsifs); stress et anxiété liés aux dettes et au travail (travailler plus pour gagner plus); malbouffe, conditions de travail dangereuses et non respectueuses.
des angoisses après avoir eu une rage de sucre. un pouls rapide. une confusion mentale. un surpoids androïde qui se manifeste par l'apparition de graisse au niveau du ventre.
Refuser tous les produits à usage unique et privilégier les achats sans déchet (comme le vrac) Réduire la consommation de biens. Réutiliser tout ce qui peut l'être. Recycler tout ce qui ne peut pas être réutilisé
L'époque de la production et de la consommation de masse commence à voir le jour avec la révolution industrielle du dix-neuvième siècle : « Le cycle I de l'ère de la consommation de masse commence autour des années 1880 et s'achève avec la Seconde Guerre mondiale.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Les avantages de résister à la surconsommation :
Ça t'évite de débourser une fortune sur les achats impulsifs dont tu n'as pas besoin. Ça évite l'extraction des tonnes de ressources (donc un gros plus pour la planète !)
L'alcool, c'est comme le lait et le fromage : selon un sondage Insee, en France, on en consomme bien plus que dans les autres pays européens... Environ 25% de plus qu'en Espagne ou qu'en Italie..
Premier enseignement surprenant : pour les achats du quotidien, ces messieurs consomment en moyenne. Dans le détail, les hommes dépensent en moyenne 540 euros par an pour l'habillement, soit 2% de plus que les femmes, mais aussi 7% de plus pour les cosmétiques, la santé et le bien-être.
La production de biens de consommation nécessite de PRÉLEVER des ressources naturelles. Actuellement, le rythme intense de prélèvement des ressources naturelles menace la survie de certaines espèces et peut causer des dommages irréversibles à leur habitat. C'est une première forme de pression sur l'environnement.
La consommation désigne le fait de consommer (autrement-dit utiliser) des biens et services, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs. La production génère des revenus qui seront soit consommés (utilisation immédiate de la production), soit épargnés (utilisation future de la production).
Nom commun - français. Consommation excessive, au-dessus d'un niveau considéré comme normal ou moyen.
« Consommer autrement » signifie privilégier les produits « éco-labellisés », certifiés éthiques, locaux, moins polluants. Pour 32 % des Français, il s'agit de « ne plus consommer de produits ou services superflus », et pour 16 %, de « réduire sa consommation en général ».
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
Consommer pour consommer ne rend pas heureux
Dans son livre The Price of materialism, Tim Kasser, professeur de psychologie démontre qu'une fois nos besoins de base couverts (manger, boire, se protéger du froid ou de la chaleur), tout ce que l'on consomme en plus, n'apporte pas un surplus de bonheur.
Mais cette consommation de masse a aussi entraîné des effets néfastes sur l'homme et sur sa santé (problèmes sanitaires, marginalisation des petits producteurs, dégradations des conditions de travail, chômage dû aux délocalisations, etc.), ainsi que sur l'environnement (pollution, épuisement des ressources naturelles, ...
Adopter un état d'esprit minimaliste et zéro déchet.
Pas pour suivre un mouvement de mode, mais pour toutes les raisons plus haut. Acheter éthique c'est bien mais attention à ne pas tomber dans une surconsommation de produits bio/écolo. Par exemple, faire le tri dans sa salle de bain et ses produits de beauté.
La société de consommation résulte du besoin de croissance économique engendré par le capitalisme et son corollaire, l'accumulation du capital.
COVID-19, une nécessaire évolution des tendances de consommation. Malgré un climat parfois anxiogène, les Français restent attachés au rituel des courses alimentaires. Ainsi, ils sont 84 % à faire leurs courses au moins une fois par semaine contre 15 % qui espacent leurs achats à moins d'une fois par semaine.
Boire de l'eau permet de chasser les toxines et d'accélérer le renouvellement des cellules, ce qui booste la circulation sanguine et les bons échanges dans l'organisme. De mauvais échanges et une mauvaise circulation du sang sont vecteurs de maladies et favorisent l'apparition de la cellulite.