Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
Eviter les chewing-gums. Boire beaucoup d'eau plate. Éviter les aliments glacés (qui provoquent des crampes). Réduire les matières grasses (qui stimulent les mouvements intestinaux).
Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
Ces symptômes surviennent généralement après les repas. D'autres symptômes, qui ne sont pas directement reliés aux intestins, sont parfois présents. Par exemple, des maux de tête, des nausées, des brûlures d'estomac, une douleur pelvienne chronique, des maux de dos (bas du dos) et des troubles du sommeil.
les adsorbants intestinaux (diosmectite, attapulgite, charbon végétal, crospovidone) sont utilisés en cas de ballonnements ou de diarrhée.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
des malaises abdominaux, tels des gaz intestinaux, des crampes ou des douleurs au ventre ; la sensation que les intestins ne se vident jamais complètement ou d'avoir constamment envie de déféquer ; une grande fatigue ; une perte de poids inexpliquée.
Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue... Bien que bénin, le syndrome de l'intestin irritable (SII) peut avoir un retentissement très important sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes.
La tisane à base de graines de lin: il suffit de faire infuser quelques minutes 15 g de graines de lin dans une tasse d'eau chaude. Ces graines sont riches en fibres qui ont la propriété de faciliter le transit intestinal4.
Les aliments à privilégier
Pomme, banane, pêche et nectarine, fruits rouges, pamplemousse. Légumes cuits, betterave, épinard, poivron, céleri, laitue, pomme de terre et patate douce, haricots verts, carotte, courge, courgette.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Il offre une excellente digestibilité Comme son amidon est facilement accessible aux enzymes digestives, il ne ballonne pas et convient en cas d'intestin irritable. Il a également des vertus antidiarrhéiques.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Ce bilan comporte un examen du foie (échographie, scanner ou résonance magnétique nucléaire) car lorsqu'un cancer colorectal se généralise, il envahit souvent le foie. Une radiographie des poumons est également réalisée, surtout dans les cas de cancer du rectum, à la recherche d'éventuelles métastases pulmonaires.
Colopathie fonctionnelle
C'est l'un des troubles digestifs les plus répandus. On le nomme aussi syndrome de l'intestin irritable, ou syndrome du côlon irritable. C'est une maladie encore peu connue, qui perturbe la digestion et provoque de nombreuses douleurs, accompagnées de gargouillements, diarrhée, ballonnements.
La constipation se caractérise par une augmentation du temps du transit intestinal. Les selles sont dures et difficiles à évacuer. À l'inverse la diarrhée se distingue par des selles fines, molles et une diminution du temps du transit et d'un besoin fréquent et immédiat de se rendre aux toilettes.
Type 1 (petites boules de selles dures) : vous ne buvez probablement pas assez d'eau et ne mangez pas suffisamment de fruits et légumes (surtout ceux qui contiennent des fibres) Type 2 (en forme de saucisse, mais grumeleux) : c'est mieux, mais il faut manger plus de fibres et boire plus.
Après Actimel ou Danacol, préparez vous à trouver bientôt au rayon des produits laitiers de votre supermarché : un « acticolon » ou « danacolon », le lait fermenté pour les colopathes!