Ces symptômes peuvent inclure : Gêne ou douleur dans le dos ou la nuque. Légère faiblesse musculaire. Picotements ou autres altérations des sensations.
Trois modalités sont principalement utilisées pour le traitement de la compression médullaire, soient la corticothérapie, la radiothérapie et la chirurgie décompressive et de stabilisation. L'utilisation de la corticothérapie dans le cadre du traitement de première intention de la compression médullaire est répandue.
La compression médullaire constitue toujours une urgence diagnostique (IRM) et thérapeutique car le tableau peut s'aggraver en quelques heures, aboutissant à une paraplégie/tétraplégie complète et définitive.
On diagnostique habituellement la compression médullaire en faisant les examens d'imagerie suivants : imagerie par résonance magnétique (IRM); tomodensitométrie (TDM).
a) Les métastases vertébrales et épidurales sont les causes les plus fréquentes chez l'adulte.
IRM médullaire : définition et indications
L'IRM médullaire est un examen qui permet d'étudier la moelle épinière et la colonne vertébrale sur toute leur longueur. Il est notamment utilisé en cas de suspicion de hernie discale avec compression de la moelle épinière, mais également en cas de sclérose en plaques.
Les lésions qui compriment la moelle épinière peuvent également comprimer les racines nerveuses ou, de façon rare, freiner la vascularisation artérielle médullaire, provoquant un infarctus médullaire. Les symptômes comprennent des douleurs dorsales brutales et intenses... en apprendre davantage .
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
L'infarctus médullaire résulte d'une lésion d'une artère extravertébrale nourricière ou de l'aorte (p. ex., due à l'athérosclérose, une dissection, un clampage per-opératoire) plus souvent que de troubles intrinsèques de l'artère spinale.
Des corticoïdes sont souvent administrés pour réduire le gonflement dans ou autour de la moelle épinière et pour réduire la pression sur la moelle épinière. En fonction de la cause, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peuvent être utilisées pour atténuer la pression.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Introduction. Les douleurs sciatiques peuvent être révélatrices de manifestations extrarachidiennes, notamment tumorales. Nous rapportons une observation de sciatalgie révélatrice d'une métastase pelvienne d'un cancer parotidien sans récidive locale.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
L'IRM, EXAMEN DE PRÉDILECTION
Par son excellente résolution en contraste, l'IRM (Imagerie par résonance magnétique) est de loin la technique la plus précise et la plus exhaustive d'exploration du cerveau et de la moelle épinière.
La douleur, permanente ou transitoire, est le symptôme le plus courant. Son intensité est variable mais tend à s'aggraver avec le temps. Récurrente et ressentie aussi la nuit, elle siège le plus souvent au niveau de l'os touché par la tumeur.
On n'a pas recours aux analyses sanguines pour diagnostiquer une tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. Cependant, elle peut fournir des renseignements utiles sur votre état général de santé, le fonctionnement d'autres organes et d'autres affections médicales.
Cela se traduit par une diminution du nombre de globules rouges (à la clé, une anémie responsable de fatigue et pâleur), une baisse du nombre de plaquettes (avec un risque d'hémorragie) et du nombre de globules blancs (entraînant une fragilité du système immunitaire, et donc un risque majoré d'infections).
Il peut y avoir une perte partielle ou complète de la fonction sensorielle ou de la motricité des bras, des jambes ou de l'ensemble du corps. Les lésions les plus graves affectent les systèmes de régulation des intestins, de la vessie, de la respiration, du rythme cardiaque et de la pression sanguine.