On considère que le présent, le passé composé et le passé simple sont les temps de base du récit. C'est à l'un ou l'autre de ces temps qu'est rédigé le récit de base.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent.
Si le narrateur se place après ce qu'il raconte, il s'agit d'un récit passé, on emploie donc plus souvent le passé simple / imparfait. Si le narrateur raconte des événements qu'il est actuellement en train de vivre, il s'agit d'un récit généralement au présent.
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Dans chacun de ces incipit, le temps dominant – celui qui donnera le ton à la suite du récit – c'est le présent.
Un récit utilise les 2 temps simples du passé simple et de l'imparfait. Un récit utilise également leurs temps composés (passé antérieur et plus-que-parfait) pour parler d'actions ayant lieu avant celles conjuguées aux temps simples. L'imparfait est utilisé pour des actions qui durent et de moindre importance.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
L'imparfait et le passé simple sont deux temps du passé qui se distinguent selon les situations. L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit.
Le temps dominant dans la plupart des textes explicatifs est le présent de l'indicatif, appelé présent de vérité générale.
Il sert à indiquer une action ayant eu lieu avant une autre déjà située dans le passé. Comment reconnaître un verbe au passé simple ? Le passé simple exprime une action terminée dans le passé, le plus souvent brève. Il est le plus souvent utilisé à l'écrit.
Gardez à l'esprit que l'imparfait est utilisé dans un récit pour y décrire le cadre général et des actions qui ne font pas progresser l'histoire. La durée est souvent complètement indéterminée. Au contraire, le passé simple est utilisé pour raconter l'histoire et les actions uniques qui font progresser le récit.
Le temps de l'histoire (cf. narrated time/ erzählte Zeit) est le temps sur le plan de la fiction, le temps vécu par les personnages ; le temps du récit (time of narrating / Erzählzeit) est le temps du discours qui représente une histoire, celui des des pages du livre.
Le plus que parfait indique une action passée à un moment indéterminé qui s'est déroulée avant l'action décrite à l'imparfait ou au plus que parfait. C'est le temps du passé du passé. ” J'avais tellement adoré cet ouvrage que je l'ai déjà terminé. “
Une pause permet de faire le portrait d'un personnage, de décrire un lieu, de commenter l'action. Elle peut créer du suspense, en retardant la suite de l'action. Une ellipse permet de créer du suspense en passant sous silence des faits importants.
L'auteur doit se demander à quel moment son narrateur se situe par rapport aux événements qu'il raconte. Si le narrateur se place après les péripéties qu'il rapporte, il s'agit d'une narration ultérieure et le récit emploie donc les temps du passé - le passé simple et l'imparfait, en particulier.
Le schéma narratif. Il s'agit de la présentation des lieux, du moment où se passe le récit et des personnages. L'imparfait à valeur d'arrière-plan est le plus souvent utilisé. Pour évoquer le passé des personnages, ou du lieu, on utilisera le plus-que-parfait.
Le nom incipit (du verbe latin incipere : « commencer », et prononcé /ɛ̃.
masc. A. − Imparfait (de l'indicatif). Temps simple de l'indicatif, exprimant notamment qu'une action s'est déroulée ou répétée pendant une certaine période dans un passé réel ou imaginaire, qu'elle a été concomitante ou antérieure à une autre action passée.
Présent atemporel. Forme verbale convenant à l',,énoncé d'un procès (...) non daté et conçu comme indépendant de la durée`` (Mar. Lex. 1961, s.v. présent).
Le passé composé exprime l'antériorité par rapport à une action au présent de l'indicatif.
Les modes personnels : l'indicatif, le conditionnel, le subjonctif et l'impératif. Les modes impersonnels : l'infinitif, les participes passés et présent, et le gérondif.
les modes personnels : l'indicatif, l'impératif, le conditionnel et le subjonctif. Les modes personnels varient en fonction de la personne du sujet ; les modes impersonnels : l'infinitif, le participe, le gérondif. Les modes impersonnels ne varient pas en fonction de la personne.