le vent, qui favorise l'évaporation ; l'humidité de l'air : l'évaporation sera plus importante dans un air sec que dans un air humide ; un apport de chaleur ,tel qu'en fournit le soleil, l'évaporation étant endothermique, c'est-à-dire qu'elle absorbe de la chaleur de l'environnement.
Quels sont les deux facteurs du milieu qui influent sur l'évaporation ? Si la pression de vapeur saturante est plus grande que la pression de vapeur de l'air, l'eau s'évapore et sature l'air immédiatement en contact avec l'eau.
Conclusion : L'eau s'évapore plus vite quand la surface en contact avec l'air est plus grande.
On parle d'évaporation quand le nombre de molécules qui quittent la surface de l'eau est supérieur au nombre de molécules qui réintègrent la surface de l'eau. La pression atmosphérique de l'air est la somme des pressions de tous les gaz qui composent l'atmosphère.
Il existe 2 types de vaporisation : - l'ébullition, qui se produit lorsque la température de l'eau atteint 100°C. - l'évaporation, qui se produit à la surface du liquide, à l'aide de la chaleur et du vent.
Ce processus est la vaporisation. - L'évaporation est aussi le nom du changement de l'état liquide vers l'état gazeux tout comme la vaporisation. La seule différence est que l'évaporation se fait quelle q que soit la température : exemple de 2°C ou de 35°C !
Donc, pour accélérer l'évaporation d'un liquide, c'est-à-dire faciliter le départ des molécules, on peut : - l'étaler sur une plus grande surface, - élever la température, - agiter l'air au-dessus de la surface d'évaporation.
Dans la rue, dans la classe, l'eau s'évapore à toute température comprise entre 0 °C et 100 °C. L'évaporation d'une flaque d'eau est plus rapide si l'air est sec et s'il y a du vent, qu'après l'orage, quand l'air est humide. Pendant l'évaporation, la vapeur d'eau (gaz invisible) se mélange à l'air ambiant.
L'évaporation
Il s'agit d'un moyen pour l'eau d'équilibrer sa pression : en surface, la molécule ne subit la pression de l'eau que par en dessous, pas au-dessus. L'air sec exerce une pression égale à celle de l'eau, mais elle reste capable d'absorber de l'eau : la molécule d'eau peut donc passer du liquide à l'air.
Mais la condensation peut venir d'un problème d'humidité plus sérieux. Des remontées d'eau dans vos murs ou des infiltrations d'eau peuvent charger votre air intérieur en humidité. Le taux d'hygrométrie étant très élevé il suffit d'une surface à peine plus froide pour que la condensation apparaisse.
Mais pour s'évaporer, un liquide n'a pas forcément besoin d'être en ébullition : il suffit en effet que ses molécules bougent suffisamment. Lorsque la température grimpe, celles-ci se retrouvent en mouvement. Les plus rapides d'entre elles atteignent la surface du liquide et peuvent alors «s'envoler».
A température ambiante, il existe donc une certaine agitation (thermique) des molécules d'eau, agitation qui provoque l'éjection de plusieurs d'entre elles du liquide. Une fois éjectées, les molécules peuvent être renvoyées vers le liquide ou s'en éloigner, suivant les chocs qu'elles subissent avec les molécules d'air.
Le principe sous-jacent du refroidissement par évaporation est le fait que l'eau doit recevoir de la chaleur pour passer d'un liquide à une vapeur. Lors de l'évaporation, cette chaleur est prélevée sur l'eau qui reste à l'état liquide, ce qui donne un liquide plus froid.
L'évaporation est accélérée par les facteurs suivants (par ordre d'importance) : (1) le vent, (2) une épaisseur d'eau aussi faible que possible, (3) le soleil et (4) la mise en mouvement de l'eau.
Le terme « solvant organique » se réfère aux solvants qui sont des composés organiques qui contiennent des atomes de carbone. Habituellement, les solvants ont un point de fusion faible et s'évaporent facilement. Les solvants permettent de dissoudre les réactifs et d'amener les réactifs en contact.
Le taux d'évaporation dépend en effet de l'humidité relative, c'est à dire du rapport entre la quantité de vapeur d'eau contenue dans l'air et la quantité maximum que l'air peut en contenir en fonction de sa température et de sa pression (conditions de saturation en humidité).
L'air chaud et humide monte, en montant il se refroidit, donnant de son énergie à l'air qu'il rencontre. L'eau qu'il contient se refroidit donc aussi, et en se refroidissant arrive à la température de point de rosée et se condense. Donc plus on monte dans la salle de bain, plus il y a de brume.
La solidification est le passage de l'état liquide à l'état solide. La fusion est le passage de l'état solide à l'état liquide. La vaporisation est le passage de l'état liquide à l'état de vapeur. La liquéfaction est le passage de l'état de vapeur à l'état liquide.
L'eau à l'état gazeux
Comme tous les gaz, la vapeur d'eau est : Compressible car on peut diminuer son volume. Expansible car on peut augmenter son volume.
Mais en thermodynamique, un terme spécifique exclusif est attribué à chacune des transitions. Ainsi on dira : de gazeux à solide : condensation ; de gazeux à liquide : liquéfaction.
La vaporisation est la transformation de l'état liquide à l'état gazeux par chauffage. Lorsque l'eau bout, elle se transforme en gaz : c'est la vapeur d'eau. Attention, si l'eau liquide se transforme naturellement en vapeur d'eau sous l'action du soleil et du vent, on parle d'évaporation.
La solidification est le passage de l'état liquide à l'état solide. La solidification est le procédé inverse de la fusion.