Chacun est présumé donneur d'organes ou de tissus après son décès depuis la loi du 22 décembre 1976, principe rappelé par la loi du 26 janvier 2016. Cependant, toute personne peut s'opposer au don de ses organes ou de ses tissus. Le refus n'est pas obligatoirement total.
En fonction du lien entre donneur et receveur on distingue plusieurs types de greffe: autogreffe (greffe effectuée chez le même individu), homogreffe ou allogreffe (greffe entre individus de même espèce, p. ex. d'homme à homme), hétérogreffe ou xénogreffe (greffe entre sujets d'espèces différentes).
Le don d'un organe (plus particulièrement le rein) ou de cellules souches hématopoïétiques (contenues notamment dans la moelle osseuse) de son vivant est autorisé. La législation (loi de bioéthique du 6 aout 2004, révisée le 7 juillet 2011) fixe très précisément les conditions de cet acte de solidarité.
Quels organes peut-on donner de son vivant ? Le don d'organes de son vivant concerne essentiellement le rein qui est le seul organe entier dont on peut faire don de son vivant car on peut vivre avec un seul rein. Dans une moindre mesure, on peut aussi faire don d'un lobe de foie.
Le don d'un donneur vivant est possible, car le donneur peut vivre avec un poumon sain. Les personnes ne peuvent pas donner plus d'un poumon entier et ne donnent généralement qu'une seule partie d'un poumon (un lobe). Une personne décédée peut fournir deux poumons voire le cœur et les poumons.
Tout membre de la famille, parent, frère ou sœur, enfant, ou conjoint peut faire don de son foie. Les critères d'un don du foie comprennent: Être en bonne santé Avoir un groupe sanguin qui correspond ou est compatible avec le receveur (compatibilité ABO)
L'âge avancé du donneur augmente les risques pour lui-même (réactions modérées à graves comme syncopes ou convulsions sont plus fréquentes) mais aussi pour le receveur, argumente le CSS.
Y a-t-il un âge limite ? Non, il n'y a pas d'âge limite supérieure pour donner son corps à la médecine. Nous recevons des personnes de tous âges et de toutes conditions physiques.
C'est ce qu'on appelle les émotifs. L'émotion est la première caractéristique des gens qui se laissent gouverner par leur cœur. Certaines études suggèrent même que cet “organe principal” est susceptible d'influencer leur position sur des sujets sensibles, voire leur soutien à des associations caritatives.
Impossible aussi de transplanter la moelle épinière ou le cerveau, car les neurones ne supportent pas l'ischémie. Par ailleurs, certaines greffes techniquement faisables restent rares à cause du taux d'échec trop élevé.
Les organes les plus souvent greffés sont le rein, le foie, le cœur et les poumons.
Le rein est l'organe le plus couramment greffé. Suivent le foie, le coeur, les poumons, le pancréas et des parties de l'intestin. Les médecins peuvent également greffer des tissus tels que des os, des artères, des valves cardiaques, des veines, des tendons ou des ligaments.
Troisièmement, une personne, de son vivant, décide de faire don de ses organes, après son décès. Le don d'organes est considéré comme haram.
une légère augmentation de la pression artérielle; une augmentation de la quantité de protéines dans les urines; une détérioration de l'efficacité de filtration du rein restant, pouvant mener à une insuffisance rénale.
Conditions : qui peut donner ses organes ? Si tout le monde peut donner ses organes après la mort, "99% des décès ne sont pas éligibles au don d'organe", explique le médecin. La personne doit en fait être en état de mort encéphalique or l'état de mort encéphalique survient dans 1% des décès selon l'expert.
Le mot cénotaphe vient du grec “kenos” qui signifie le vide et “taphos” qui signifie le tombeau. Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration.
Que devient le corps après les travaux de formation médicale et de recherche ? Le corps ou les cendres sont rendus à la famille si le donneur en avait émis la volonté.
Certaines démarches permettent de s'opposer au don d'organes
La famille du défunt peut également avoir recours à une autre procédure : le témoignage oral d'opposition. Il faut qu'au moins deux témoins rédigent chacun une déclaration écrite assurant que le défunt a, de son vivant, refusé d'être donneur d'organes.
Selon le système de groupes sanguins le plus important, le système ABO combiné au facteur rhésus, le groupe sanguin le plus rare est le groupe AB-, tandis que le plus courant est O+.
Cependant, la formation de nouveaux globules rouges dans la moelle osseuse demande quelques semaines, c'est pourquoi il n'est permis de donner son sang que trois ou quatre fois par an.
L'alcool. La consommation excessive d'alcool est très mauvaise pour le foie. Si ce dernier est contraint de neutraliser en permanence l'alcool, les cellules hépatiques vont peu à peu se détruire. Une consommation modérée est donc recommandée par les autorités sanitaires.
Les aliments riches en sucre et en sel : les aliments riches en sucre, comme les sodas, les desserts sucrés et les aliments transformés, peuvent également entraîner une accumulation de graisse dans le foie.
Régénération. Le foie possède une capacité particulière de reconstituer des parties qui lui ont été enlevées afin de pouvoir continuer à fonctionner. Si une partie du foie est enlevée, elle se développera à nouveau pendant plusieurs mois jusqu'à ce que le tissu hépatique manquant soit remplacé.