Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
Les subordonnées exprimant l'opposition simple sont introduites par alors que, tandis que, quand, lorsque + indicatif. Alors qu'il aime la musique, Jean ne peut jamais en écouter.
A, après, avant, avex, chez, concernant, contre, dans, de depuis, derrière, dès, devant, durant, en, entre, envers, hormis hors, jusque, malgré, moyennant, nonobstant, outre, par, parmi pendant, pour, près, sans, sauf, selon, sous, suivant, sur, touchant, vers, via.
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
La nature d'une proposition subordonnée
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
La proposition subordonnée
Une proposition qui a une fonction par rapport à un mot d'une autre proposition est appelée proposition subordonnée. « qui l'a profondément marqué » est une proposition qui dépend du nom vie : c'est donc une proposition subordonnée.
- délimite les propositions par des crochets [ … ] - donne en dessous de chaque proposition, sa nature : dis si c'est une proposition indépendante, principale ou subordonnée. - indique comment elles sont associées : dis si c'est par un lien de juxtaposition, de coordination ou de subordination.
Introduite par une conjonction de subordination (comme, lorsque, puisque, quand, quoique, si...) ou une locution conjonctive (dès que, parce que, afin que, bien que, jusqu'à ce que...). La subordonnée conjonctive peut généralement se déplacer. Nous marchons en forêt quand le temps le permet.
Exemple : Dès que j'aurai fini mon travail, j'irai te retrouver. On peut utiliser des outils subordonnants suivants : quand, lorsque, après que, dès que, une fois que, aussitôt que, sitôt que. En général, on emploie l'indicatif.
Dans la langue française, les principales prépositions sont : chez, dans, de, entre, jusque hors, par, pour, sans, vers. Demain, je vais à Paris. Il faut que nous allions chez nos amis ce soir. Il est arrivé après moi au restaurant.
Elles sont classées en général en fonction de leur valeur sémantique : cause, temps, conséquence, concession, condition, opposition, but, comparaison. Le verbe est en général à la forme finie (indicatif ou subjonctif), plus rarement à l'infinitif.
- Une proposition est composée d'un verbe, en général conjugué, qui peut être accompagné d'un sujet et de compléments. Ex. [Il ne viendra pas] : [il prépare son exposé]. : propositions indépendantes juxtaposées. ou ● coordonnées (=reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison).
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
La subordonnée circonstancielle de temps permet d'indiquer une donnée temporelle (simultanéité, antériorité, postériorité, etc.). Conjonctions de subordination et locutions conjonctives : quand, lorsque, au moment où, pendant que, après que, depuis que + indicatif.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
On dit que deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule. Exemple : Les canards le mordaient, les poulets le battaient.
Une proposition subordonnée interrogative indirecte dépend d'un verbe impliquant une question. Je ne sais pas [où est le chat]. Je me demande [s'il ne s'est pas réfugié chez les voisins]. Elle est COD de ce verbe.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).