Le cabillaud, aussi appelé morue lorsqu'il est séché ou salé, est le poisson le plus consommé en Europe et en France (16.000 tonnes chaque année). Le terme cabillaud vient du néerlandais kabeljauw, alors que celui de morue provient du latin Gadus morhua.
Pour la saison 2020-2021 (décembre à mars), vous pouvez selon ce site consommer les poissons suivants : bar d'élevage, barbue, bonite, cabillaud, chinchard, conger, dorade royale, dorade grise, églefin, grondin, hareng, limande, maquereau, merlan, merlu, mulet, pageot, saint-pierre, sar, saumon d'élevage, sole, truite ...
Les espèces actuelles (non-éteintes) de poissons sont réparties dans les taxons Pétromyzontides (lamproies), Chondrichtyens (les raies et requins), Actinoptérygiens (les plus communs), Sarcoptérygiens (Dipneustes et Actinistiens). On y associe parfois les Myxinoïdes.
Ils font partie des vertébrés, comme les oiseaux, les mammifères et les reptiles : ils possèdent des branchies qui leur permettent de respirer sous l'eau, et nagent grâce à leurs nageoires.
Les poissons sont des animaux vertébrés aquatiques à branchies, pourvus de nageoires dont le corps est généralement couvert d'écailles.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Les vertébrés aquatiques se divisent en trois grands groupes : les lamproies, les poissons cartilagineux et les poissons osseux. Zoom sur la classification des poissons.
1,38 million d'euros. Ce prix d'achat record équivaut à environ 6 000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Le plus grand poisson du monde est néanmoins un requin… baleine. Cette espèce vivant dans les eaux tropicales et subtropicales est également la plus grande des requins. Malgré sa taille impressionnante qui peut atteindre le 18 mètres de long pour 34 tonnes, il est inoffensif pour l'homme.
Tilapia, le poisson le plus consommé au monde.
La fécondation chez les poissons (ovulipares et non ovipares) se fait de manière assez particulière. En effet, pendant que la femelle émet ses ovules dans l'eau, autrement dit en milieu aquatique, le mâle se colle à elle et répand sa semence sur ces derniers afin de les féconder. Un ovule fécondé s'appelle un œuf.
Reproduction du poisson rouge : la ponte
Selon leur taille, les femelles pondent entre 3000 et 6000 œufs par petites expulsions successives. Aussitôt fécondés par le mâle qui diffuse sa laitance dans l'eau, les œufs se collent sur tous les supports présents dans l'aquarium : vitres, plantes, décors.
Et bien il se trouve que l'ensemble des espèces qu'on avait l'habitude de désigner sous le taxon "poisson" ne descend pas d'un ancêtre commun et ne peuvent par conséquent être regroupées sous un clade unique. Désormais, on parle de Pétromyzontides, de Chondrichtyens, d'Actinoptérygiens, de Sarcoptérygiens.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
155,4 millions de yens (1,38 million d'euros) pour un thon rouge de 222 kilos : c'est ce qu'a dépensé Kiyoshi Kimura, le propriétaire d'une célèbre chaîne de restaurants de sushis au Japon. A 6 216 euros le kilo, c'est le poisson le plus cher du monde.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Les poissons sauvages sont issus de la pêche en mer ou en rivière. C'est toujours le cas pour de nombreuses espèces, le maquereau, l'anchois ou la sardine par exemple, qui sont très difficiles à obtenir en élevage.
La bouche, par exemple est souvent caractéristique d'une espèce : sa taille, sa forme et son orientation peuvent varier notablement d'un poisson à l'autre, mais la difficulté est de les décrire ! Le mieux est de vous repérer par rapport à l'œil (par ex. “bouche terminale, fendue jusqu'en arrière de l'œil”).
Le poisson ne doit pas non plus être trop mou ou s'affaisser lorsqu'on le manipule. Son œil doit être clair et brillant, jamais sombre, ni opaque. Son odeur : une petite odeur iodée qui s'en dégage est un signe de fraîcheur. En revanche, un poisson présentant une odeur très forte ou d'ammoniac est à éviter.