Un milieu de vie et son peuplement forment un écosystème. Au sein de ces écosystèmes, les êtres vivants entretiennent des relations entre eux (relations alimentaires, etc.) ainsi que des relations avec leur milieu. Les écosystèmes peuvent être modifiés, par des facteurs physiques comme par des facteurs biologiques.
Les êtres vivants ont des relations les uns avec les autres (exemples : la vache mange de l'herbe, le lichen vit sur les troncs d'arbres,…) Les êtres vivants peuvent aussi avoir des relations avec leur support (éléments non vivants) (exemples : les végétaux se développent sur le sol minéral,…)
Relation interspécifique est une définition du dictionnaire environnement et développement durable. Désigne les relations qui s'établissent entre espèces différentes ou voisines. Elles se produisent le plus souvent entre espèces voisines appartenant à un même niveau trophique mais aussi entre espèces éloignées.
Les lichens sont un exemple de symbiose parfaite : chaque lichen est l'association symbiotique entre une algue et un champignon. L'algue nourrit le champignon, et le champignon garde l'algue humide. Aucun des deux ne peut vivre sans l'autre dans la nature !
La symbiose est une association spécifique durable entre deux espèces ; cette notion inclut le mutualisme (les deux partenaires tirent bénéfice de l'association), le commensalisme (seul un des deux partenaires tire bénéfice de l'association, l'autre n'en tire aucun avantage ni inconvénient) et le parasitisme (seul un ...
On peut considérer qu'il existe 4 grands groupes d'êtres vivants : les bactéries, les animaux, les végétaux et les champignons. (pour une classification plus précise, voir le document à la fin du livre ou le document à la fin de ce chapitre).
Un être vivant est un organisme doté de vie. Il nait, respire, se nourrit, grandit et e reproduit.
En multipliant les observations d'organismes animaux et végétaux au microscope, on retrouve toujours la cellule comme constituant de base. On peut en conclure que la cellule est le point commun à tous les êtres vivants.
Selon Rousseau, les hommes et les animaux sont des êtres semblables, ils disposent d'une nature commune qui est la sensibilité. En effet, l'homme et l'animal éprouvent des sensations et des sentiments. Parce qu'ils sont semblables, l'homme ne doit pas, selon le philosophe, faire souffrir inutilement l'animal.
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
Les interactions homme-animal se font d'abord par le toucher et le regard, ce qui place très vite la relation dans le registre de l'intime. La présence d'un animal peut aussi faciliter la communication sociale.
Les types de relation varient en fonction de l'engagement (rester ensemble à court ou long terme), de l'intimité (attachement, proximité, temps partagé ensemble) et de la passion (attirance physique et désir sexuel).
Finalement, il existe cinq grands groupes d'êtres vivants visibles à l'œil nu : les Métazoaires (animaux ) • les Fungi (ex champignons) • les végétaux verts ou plantes vertes ou Viriplantae (dont les algues vertes) • les algues rouges • et les algues brunes.
La cellule est le point commun à tous les êtres vivants. Une cellule est en général composée d'une membrane, d'un cytoplasme et d'un noyau. Certains êtres vivants sont composés d'une seule cellule, ils sont dits "unicellulaires", alors que d'autres sont "pluricellulaires", c'est-à-dire composés de plusieurs cellules.
Un organisme vivant est capable de respirer, de se nourrir, de grandir et de se reproduire. Certains êtres vivants peuvent se déplacer.
Pour classer les êtres vivants, les scientifiques les décrivent de manière précise et établissent la liste des caractères qu'ils possèdent. Ensuite, comme dans l'exemple précédent, ils distinguent les caractères communs ou différents. Enfin, ils classent dans un même groupe ceux partageant les mêmes caractères.
Théories symbiotiques de l'évolution
Par exemple, les êtres humains sont en endosymbiose avec leur microbiote intestinal sans lequel ils ne pourraient vivre. À tous les niveaux d'organisation du vivant, seuls survivent, et se survivent, les associations à avantages et inconvénients réciproques et partagés.
Selon eux « lorsque deux personnes sont en symbiose, elles se comportent comme si elles ne formaient qu'une personne complète… La caractéristique de cette relation est qu'aucune des deux personnes n'utilise la totalité de ses états du moi » [4]
Exemples de symbiose chez les humains :
Les hommes se chargent de faire fuir les abeilles et récupèrent le miel, laissant la voie libre à l'oiseau pour prendre du miel sans être menacé par les abeilles !