"Clore", comme "éclore" ou "enclore", qui se conjuguent de la même façon, est un de ces verbes qu'on appelle défectifs. Leur défaut, c'est qu'ils n'existent pas à tous les temps ou à toutes les personnes. "Clore" n'existe pas au passé simple, ni à l'imparfait, d'ailleurs.
- les verbes terminés en « -oir » (devoir, savoir, vouloir, pouvoir...) - les verbes terminés en « -re » (prendre, mettre, faire, boire...) Certains verbes changent leur radical lorsqu'ils sont conjugués à l'imparfait de l'indicatif.
Voici une liste des verbes se rapprochant le plus : diffracter. défricher. difformer.
La particularité du passé simple est d'avoir quatre types de terminaisons. Les plus difficiles sont les verbes du 3e groupe.
En réalité, les verbes totalement irréguliers sont : aller, avoir, dire, être, faire, pouvoir, savoir, valoir et vouloir.
Mots difficiles en français: bourgeois, écureuil, créneau, cuillère.
-les verbes en -ier s'écrivent -iions, -iiez : nous criions, vous criiez; -les verbes en -gner s'écrivent -gnions, -gniez : nous gagnions, vous gagniez; -les verbes en -iller s'écrivent -illions, -illiez : nous travaillions, vous travailliez.
-Les verbes du premier groupe en 'ier' comm : publier,plier,trier,épier,crier... prennent à l'imparfait de l'indicatif deux 'ii' à la première et la deuxième personne du pluriel . -Le premier 'i' appartient au radical du verbe et le deuxième 'i' appartient à la terminaison du verbe. -Nous priions qu'il revienne vite.
Dans mes cours, si je pose la question « Quel est le temps le plus difficile ? » les réponses varient mais sont en général soit « le conditionnel passé », soit « le subjonctif présent », soit « le passé simple » ou parfois « le plus-que-parfait ». Pourtant ces temps ont une structure relativement logique.
Sur Le Conjugueur, le verbe le plus long est « constitutionnaliser ». On reste sur l'idée de la constitution même pour le verbe le plus long. Si on le conjugue au conditionnel présent, on obtient « ils constitutionnaliseraient » avec 24 lettres.
Quel que soit le groupe du verbe, le plus-que-parfait se forme ainsi : avoir ou être à l'imparfait + participe passé du verbe. Attention à l'accord du participe passé. Employé avec être, le participe passé s'accorde avec le sujet. Exemple : Nous étions sortis quand vous avez téléphoné.
«Sycophante» vient du grec et désignait, dans la Grèce antique, à Athènes, le «dénonciateur professionnel qui assignait en justice des citoyens riches afin d'obtenir une part de leurs biens s'ils étaient condamnés», ainsi que nous l'apprenons dans Le Trésor de la langue française.
hippopotomonstrosesquippedaliophobie (36 lettres), un terme utilisé pour décrire la phobie des mots longs.
Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien. Didon dîna dit-on de dix dos dodus de dix dodus dindons. Si six scies scient six saucissons, six cent six scies scient six cent six saucissons. Trois gros rats gris dans trois gros trous ronds rongent trois gros croûtons ronds.
Falloir. Ce verbe a une fâcheuse tendance à être confondu avec « Faillir ». Notamment parce que ce dernier se conjugue de la même façon à la 3e personne du singulier.
Les verbes défectifs ont une conjugaison incomplète (certaines personnes, certains temps ou certains modes manquent). C'est le cas des verbes unipersonnels qui ne peuvent s'employer qu'à la troisième personne comme les verbes météorologiques qui n'ont ni impératif ni participe présent : geler, neiger, pleuvoir, venter…
Pleuvoir, verbe impersonnel, ne se conjugue qu'à la 3e personne du singulier. Il pleut, il pleuvait, il pleuvra. Pleuvoir v.i. = tomber en abondance, peut aussi se conjuguer à la 3e personne du pluriel.
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.