Il a identifié la conscience de soi comme étant constituée d'une conscience émotionnelle, d'une auto-évaluation précise et de la confiance en soi. En d'autres termes, il s'agit de connaître vos émotions, vos forces et vos faiblesses personnelles et d'avoir un sens aigu de votre propre valeur.
1. Connaissance, intuitive ou réflexive immédiate, que chacun a de son existence et de celle du monde extérieur. 2. Représentation mentale claire de l'existence, de la réalité de telle ou telle chose : L'expérience lui a donné une conscience aiguë du danger.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
Le terme signifie étymologiquement « avec la connaissance de ». La conscience est un savoir accompagnant la vie, les pensées et les actes d'une personne. C'est même, si l'on en croit Locke, la conscience de soi qui fonde la possibilité de se savoir une seule et même personne tout au long de sa vie.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
Elle ne peut pas être sans être conscience d'être ; elle est donc entièrement présente à elle-même. Elle ne peut pas être sans se penser, se reconnaître. De ce fait, son essence implique qu'elle soit une connaissance d'elle même.
n. pour l'esprit, acte de prendre conscience de soi-même ...
La conscience morale est définie comme étant naturelle ou innée en l'être humain, elle serait comme un instinct pour Rousseau.
La conscience est la présence constante et immédiate de soi à soi. C'est la faculté réflexive de l'esprit humain, c'est-à-dire sa capacité à faire retour sur soi-même. C'est la conscience qui permet à l'homme de se prendre lui-même comme objet de pensée, au même titre que les objets extérieurs.
La conscience de soi ne suppose pas une connaissance de soi. Être conscient de faire quelque chose n'implique pas nécessairement de savoir pourquoi on le fait. Connaissance suppose non pas seulement un constat de fait mais un savoir suffisant pour donner une explication totale.
Contraire : irréflexion, négligence. 3. Siège des sentiments personnels.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
La Pleine Conscience (mindfuness en anglais) est la conscience qui se manifeste lorsque l'on porte attention intentionnellement et de manière non jugeante sur l'expérience du moment présent. La Pleine Conscience s'entraîne par la méditation formelle et des pratiques informelles.
La réduction de l'anxiété, du stress et l'amélioration de la concentration et de la créativité sont les bénéfices principaux de la pleine conscience.
On doit l'expression au philosophe Hegel, abordée pour la première fois dans son ouvrage La Phénoménologie de l'esprit en 1807. La conscience est ici vue comme un moteur de transformation, se connaître revient à connaître son pouvoir d'action sur autrui.
Les résultats de ces études suggèrent que la conscience est un phénomène complexe, qui émerge de l'interaction entre plusieurs régions et processus cérébraux. Elle serait le résultat de processus cognitifs de haut niveau. Sa fonction concernerait le contrôle des activités cérébrales les plus complexes.
Lorsque la conscience est propre, l'opinion des autres ne compte pas !
La Conscience universelle demeure indifférenciée. Elle ne comporte, en effet, aucun élément étranger à son essence étant libre elle ne dépend de nul autre pour agir et se révéler : "C'est elle-même, par elle-même et à partir d'elle-même qu'elle manifeste tout ce qui existe".
La conscience de masse critique se rapporte au point de changement de la pensée d'un grand nombre d'individus. De tels changements comprennent différentes façons de penser aux réalités. Le terme est utilisé comme étant analogue à un changement de paradigme.
Il relève que, pour Durkheim, la conscience collective est permise par un ensemble de valeurs et de symboles qu'une société a en partage ; mais si l'on suit Durkheim, ces symboles et valeurs sont à la fois producteurs de commun et produits du commun.
Elle est utile pour comprendre qui on est, comment les autres nous voient, et la façon dont nous nous intégrons au monde. La connaissance de soi nous donne le pouvoir. Peut-être qu'on n'aimera pas forcément ce que l'on voit, mais c'est un grand réconfort et une grande aide de se connaître soi-même.
En réalité, nous ne sommes pas capables de nous découvrir nous-mêmes, bien que cette affirmation soit difficile à admettre. En effet, comment autrui peut-il mieux nous connaître puisque nous sommes nous-mêmes et nous sommes les seuls à connaître nos pensées.….
Pour savoir de science certaine qu'un être est conscient, il faudrait pénétrer en lui, coïncider avec lui, être lui. Je vous défie de prouver, par expérience ou par raisonnement, que moi, qui vous parle en ce moment, je sois un être conscient.
La conscience présente certains traits caractéristiques qui peuvent notamment inclure : rapport à soi, subjectivité (la conscience que l'individu possède de lui-même est distincte de celle d'autrui), la structure phénoménale, la mémoire, la disponibilité (ou liberté de la conscience à l'égard des objets du monde), la ...