Dans un premier temps, l'objet est soumis à deux forces qui se compensent, celle de la main et celle de la Terre. Comme la vitesse initiale est nulle, l'objet reste sans vitesse, immobile : on retrouve le principe d'inertie. Ainsi, on sait que l'accélération est constante et égale à l'accélération de la pesanteur.
La vitesse verticale initiale du projectile est égale à sa vitesse initiale multipliée par le sinus de son angle de lancement au-dessus de l'horizontale.
La chute libre est le mouvement vertical effectué par un objet lorsqu'il ne subit que l'effet de la force gravitationnelle. Si on néglige le frottement de l'air, un objet qui effectue un mouvement de chute libre subit toujours une accélération de 9,8m/s2 orientée vers le sol.
La vitesse de la chute libre varie en fonction du poids, de la hauteur du saut et de la position, mais elle se situe généralement aux alentours des 200 km/h !
Elle dépend beaucoup de la stature et de la position (environ 180 km/h pour un adulte de constitution moyenne stable à plat ; moins pour un enfant ; plus lorsque le chuteur se met en boule ; et jusqu'à plus de 300 km/h pour un chuteur arrivant à tenir une position stable tête en bas).
Mais quel rapport avec Galilée? Le célèbre savant italien avait imaginé une expérience pour savoir si deux corps de nature différente tombent du haut d'une tour à la même vitesse. La réponse est oui: le plomb tombe aussi vite que la plume, sous réserve d'être dans le vide ou de négliger les frottements.
Contrairement à ce que l'intuition nous laisse penser, tous les objets tombent à la même vitesse, quelle que soit leur masse. L'attraction générée par la Terre sur une masse lourde est plus intense que celle générée sur une masse légère.
Lorsque le parachutiste ouvre son parachute, l'air s'engouffre dans la voilure et impose une forte résistance, initialement plus grande que le poids : la chute est freinée en quelques secondes d'environ 200 km/h à 15 km/h, procurant une accélération vers le haut entre 3 et 6 g, donnant au parachutiste l'impression ...
d=v^2/2a (avec "d" la distance en mètres, "v" la vitesse en mètres par seconde et a la décélération en "mètres par seconde carrée").
Il y a quelques jours, les athlètes les plus rapides du monde se sont affrontés au 100 mètres, lors des Jeux olympiques de Tokyo. Mais personne n'a réussi à battre le record absolu de 9,58 secondes détenu par le célèbre Usain Bolt. Pour établir ce record, le Jamaïcain avait atteint une vitesse d'environ 43 km/h...
À partir de cette relation, il est possible d'établir que l'accélération est inversement proportionnelle à la masse. Pour deux objets de masses différentes sur lesquels on applique la même force, l'accélération sera plus grande sur l'objet le plus léger.
La hauteur maximale atteinte par la balle après le premier rebond est de 5,4 mètres.
On lit parfois qu'en relativité, la masse augmente avec la vitesse. La masse est un invariant, elle n'augmente pas avec la vitesse.
La vitesse initiale, vi, d'une réaction enzymatique est la vitesse d'une réaction chimique catalysée par une enzyme, mesurée au début de la réaction, juste après que la vitesse a atteint une valeur stationnaire, et avant que les concentrations en substrats et produits de la réaction n'aient varié significativement.
Un point est immobile si sa vitesse est nulle (v = 0 m/s). A contrario, il est en mouvement si sa vitesse est non nulle. Les coordonnées de ce point varient alors d'autant plus rapidement que sa vitesse est élevée. La vitesse permet d'exprimer l'évolution de la position d'un point au cours du temps.
Comment calculer la distance d'arrêt ? Il suffit de multiplier le chiffre des dizaines de km/h (vitesse à laquelle vous roulez) par lui même. Ainsi, si vous roulez à 60 km/h, votre distance d'arrêt sera d'environ 36 mètres (car 6×6), si votre vitesse est de 110 km/h, votre distance d'arrêt sera de 121 mètres (11×11).
Il est également possible d'obtenir rapidement un ordre d'idée de la distance de freinage représentée en fonction de la vitesse. Ainsi, dans des conditions de conduite optimales : un véhicule qui circule à 50 km/h devra parcourir 14 mètres avant de s'arrêter.
La vitesse au carré est la vitesse multipliée par elle-même.
Les personnes souffrant de certains problèmes de santés ne doivent pas réaliser un saut en parachute. C'est par exemple le cas de ceux qui sont atteints de cardiopathie congénitale, d'insuffisance coronarienne, d'hypertension… Aussi ceux qui sont atteints de rhumatisme, d'arthrose et d'ostéoporose patente.
Mâcher un chewing-gum ou bâiller
Contre le mal d'oreille en avion, les remèdes les plus simples consistent à mâcher un chewing-gum ou à bâiller. En effet, cette action a pour conséquence de créer une dépression dans l'oreille interne et faire entre de l'air dans le tympan.
Après une très brève instruction, les candidats peuvent sauter. Depuis plusieurs années, des séances spécialisées en montagne sont organisées et il n'a été constaté aucun accident mortel. Le parachutisme ne peut donc être classé comme un sport dangereux.
Pour les «scientifiques» de l'Antiquité, c'est le marteau qui arrive au sol bien avant! Aristote pensait que plus une boule était massive, plus elle tombait vite: «une boule de fer tombera 100 fois plus rapidement qu'une autre boule 100 fois plus légère».
La gravité est en quelque sorte une réaction des corps au mouvement centrifuge de l'éther. Les corps tombent sur la Terre parce qu'ils sont pressés et poussés par quelques autres corps, et plus précisément par le mouvement circulaire de la matière subtile.
V = gt est l'équation utilisée pour calculer la vitesse durant la chute libre. Dans cette équation, « V » correspond à la vitesse de chute en mètres par seconde, « g » à l'accélération gravitationnelle en mètres par seconde au carré et « t » au temps de chute en seconde.