État physique transitoire caractérisé par une rigidité des muscles du visage, du tronc et des membres, qui restent figés dans leur attitude d'origine.
Comme la catalepsie provoque une raideur musculaire, l'administration de médicaments relaxant les muscles peut s'avérer utile (myorelaxant).
Le traitement de la catatonie doit être double : soulager le symptôme, c'est-à-dire lever l'état catatonique, et traiter la cause. Parmi les traitements symptomatiques, certaines benzodiazépines (notamment le lorazépam) et le zolpidem sont efficaces dans la majeure partie des cas et constituent un test diagnostique.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
2.3.3 Catatonie et troubles de l'humeur
Le tableau catatonique est essentiellement marqué par une stupeur, une catalepsie, une flexibilité cireuse, une fixité du regard, un mutisme et un négativisme.
Le trouble schizo-affectif se caractérise par la présence de symptômes liés à l'humeur, tels qu'une dépression. La dépression consiste en un sentiment de tristesse et/ou une perte d'intérêt ou de plaisir pour les activités habituelles ; elle devient... en apprendre davantage ou une manie.
La schizophrénie est une pathologie psychiatrique chronique complexe qui se traduit schématiquement par une perception perturbée de la réalité, des manifestations productives, comme des idées délirantes ou des hallucinations, et des manifestations passives, comme un isolement social et relationnel.
Le diagnostic de schizophrénie paranoïde est donnée avec la présence d'idées délirantes ou des hallucinations bizarres qui défient les lois naturelles des processus logiques de la pensée, ou troubles de la pensée et de repli en raison de ces pensées et ces délires.
maladies infectieuses chroniques (VIH, hépatite B, hépatite C…) ; maladies endocriniennes (diabète de type 2, problème de thyroïde…) ; carences en fer (anémie) ; pathologies chroniques (bronchopneumopathie chronique, maladie rénale…)
Selon de nombreuses études médicales, trop dormir augmenterait le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC). Ce risque serait de 46% plus élevé chez les gros dormeurs dont la durée du sommeil serait de plus de 8 heures. Il en serait de même chez les personnes souffrant d'apnée du sommeil.
Les principales maladies en cause sont le syndrome d'apnées du sommeil, la narcolepsie, le syndrome des mouvements périodiques.
Le fait d'avoir trop d'énergie dans une pièce est tout aussi désavantageux que trop peu d'énergie dedans. L'énergie accrue par la présence d'un miroir garantit qu'il est plus difficile pour vous de vous reposer et que votre sommeil est par conséquent plus agité et moins reposant.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Les spécialistes du sommeil ont en effet plutôt tendance à affirmer le contraire : la télé est un hyper-stimulant et si elle nous aide à oublier notre journée de travail, elle ne nous aide pas à bien nous endormir.
Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
La meilleure heure pour se coucher et s'endormir ? Entre 22 et 23 heures, assurent des chercheurs. À quelle heure est-il préférable d'aller se coucher ? Entre 22 et 23 heures, répondent des chercheurs de l'université d'Exeter, en Grande-Bretagne.
La première explique que nous puisons notre énergie dans nos réserves internes. Tout au long de la journée, nous utilisons un stock limité d'énergie mentale : la volonté. Plus on puise dans ces réserves, plus on ressent de la fatigue. Cette hypothèse est appelée « l'épuisement de l'égo ».
Le ginseng est traditionnellement utilisé en médecine chinoise pour lutter contre le stress et la fatigue. Par ailleurs, les oligoéléments sont également utilisés comme modificateurs de terrain en cas de fatigue passagère.
Ce sentiment de non-repos peut être dû au stress, au surmenage au travail, à des activités de loisirs trop intenses ou même, à une alimentation déséquilibrée ou insuffisante. Pour savoir d'où vient cette fatigue, il est nécessaire d'analyser les changements qui ont pu se produire récemment dans votre vie.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
Le sujet répond le plus souvent favorablement aux traitements antipsychotiques. La schizophrénie catatonique : cette forme de schizophrénie est la plus grave et le traitement est difficile.
La schizophrénie se manifeste par une incapacité à discerner le réel de l'irréel.La personne touchée n'est pas consciente de sa maladie. Elle apparaît le plus souvent chez les adolescents et les jeunes adultes.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.