HYPNAGOGIQUE, adj. Propre aux états de semi-conscience ou aux troubles psychiques qui précèdent le sommeil normal ou qui lui succèdent. État, illusion, image hypnagogique.
Une fois le dispositif installé, on demande à la personne de serrer le poing et de s'endormir. Au fur et à mesure que la personne sombre, sa poigne va se desserrer et les capteurs vont donc comprendre qu'elle accède à l'état hypnagogique.
Les hallucinations hypnagogiques ont lieu au moment où la personne s'apprête à s'endormir. Quant aux hallucinations dites hypnopompiques, elles surviennent au cours des premiers instants de l'éveil. Les deux types d'hallucinations peuvent être très claires et précises, comme si elles étaient bien réelles.
Cette sensation est probablement due au relâchement musculaire qui se produit lors du passage de la veille au sommeil. Rien de grave toutefois: aucune pathologie n'a jamais été associée à cet effet que les médecins nomment la «myoclonie d'endormissement».
L'anxiété et le stress, premiers responsables
"C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
Un réveil nocturne entre 1h et 3h du matin :
Un réveil nocturne durant ce créneau peut signifier que le corps a besoin de se purifier. Il peut également traduire une déshydratation de l'organisme (entraîné par exemple par une consommation excessive d'alcool ou de café).
La secousse hypnique est une forme de myoclonie, « un terme savant qui désigne une contraction musculaire », explique la spécialiste (le hoquet en est autre exemple).
Notre cerveau fait un énorme travail, en dehors du fait de simplement regarder et constater ce qui se passe à première vue. Lorsque l'on marche dans la rue et qu'on a la sensation d'être regardé, c'est qu'il reçoit différents signaux qui ne proviennent pas forcément directement de notre champ de vision.
Les myoclonies d'endormissement ou secousses hypniques sont des sursauts survenant pendant l'endormissement. Ce problème de parasomnie se traduit par un muscle qui se contracte brusquement et de manière involontaire.
L'anxiété ou le stress est la première cause de l'insomnie. Elle entraîne une activité mentale soutenue et souvent une incapacité à la réduire au moment du coucher. Les personnes souffrant d'insomnie paradoxale ont l'impression d'avoir pensé toute la nuit, et pour cause !
La CATAPLEXIE est une perte brutale du tonus musculaire volontaire généralement déclenchée par des émotions telles que la colère, le rire, l'exubérance ou la surprise. Les crises peuvent varier d'une faiblesse musculaire partielle momentanée à la perte presque complète de la maîtrise des muscles.
Certaines personnes qui vivent une paralysie du sommeil évoquent également : une sensation d'étouffement ; la présence menaçante d'une personne : ce ne sont que des hallucinations visuelles ou auditives.
La plupart des insomniaques ont tendance à estimer à la hausse le temps qu'il leur faut pour s'endormir et à la baisse la durée totale du sommeil. Mais dans le cas de l'insomnie paradoxale, le dormeur apparaît incapable de percevoir qu'il a dormi.
> Pendant le sommeil conscient, le système nerveux et la pensée se retirent, mais la conscience, le « je suis », demeure, contemplant le flux et le reflux de l'assoupissement, des rêves et de la veille sans en être affecté. >
Le sommeil réorganise le cerveau
« Pendant le sommeil, l'activité du cerveau semble s'organiser en une multitude de réseaux restreints, à l'intérieur desquels l'information s'échange autant, sinon plus qu'à l'éveil, alors que la communication entre ces réseaux diminue », explique Habib Benali.
Si l'anxiété apparaît sans raison apparente et vous affecte plus que vous ne le souhaitez, il est conseillé de consulter un thérapeute. Avec un spécialiste, vous pouvez aborder l'origine de l'anxiété ainsi que les stratégies permettant de la gérer efficacement. Ne laissez pas l'anxiété finir par contrôler votre vie.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Ce déséquilibre hormonal peut provoquer un « coup de cafard », sans vraiment avoir de raison particulière.
Cette impossibilité à ressentir des émotions, positives ou négatives, peut trouver sa source dans plusieurs événements. Elle peut être due à un traumatisme, un choc émotionnel trop fort ou être liée à un trauma survenu pendant notre enfance. Les troubles qui en découlent se traduisent par différents symptômes.
Myoclonie d'endormissement, secousse hypnagogique ou sursaut d'endormissement. Il s'agit d'une contraction soudaine, brève, et simultanée du corps entier ou d'un ou plusieurs segments du corps se produisant à l'endormissement.
Vous avez une pathologie : Les pathologies notamment : le diabète, l'hyperthyroïdie, l'asthme ou encore les troubles du système gastrique altèrent aussi votre sommeil. Traiter la pathologie directement peut permettre d'éviter le réveil nocturne dans ce cas-là.
Vous vous réveillez entre 3h et 5h
Au beau milieu de la nuit, ce sont vos poumons qui travaillent. Ils approvisionnent l'organisme en oxygène et éliminent le gaz carbonique. Un dysfonctionnement des poumons est le signe de problèmes respiratoires.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Le fruit indispensable pour mieux dormir : le kiwi
Le fruit de référence à manger absolument pour améliorer votre sommeil est le kiwi. Ce petit fruit à la chair verte serait gorgé de sérotonine. La sérotonine est un neurotransmetteur présent dans notre système nerveux qui déclenche la mélatonine, l'hormone du sommeil.