La houle est assez régulière. Son amplitude se mesure par la hauteur de la crête (haut de la houle) au creux. Elle peut avoir quelques centimètres à plusieurs mètres suivant les océans. Voilà pour la hauteur, mais la longueur d'onde (distance entre 2 crêtes) est aussi très importante à prendre en compte.
L'amplitude se calcule en divisant la hauteur de la vague (mesurée entre la crête et le creux) par deux. La période représente l'intervalle de temps en secondes s'écoulant entre le passage de deux crêtes de vagues.
La houle est le mouvement ondulatoire à la surface de l'eau. C'est donc une onde, et si on a l'impression en la regardant que la mer se déplace, il n'en est rien : chaque goutte d'eau, pour résumer, reste en place (elle décrit des cercles verticaux, plus exactement, mais revient à son endroit de départ).
En l'absence de vent les vagues continuent à se propager librement, c'est ce qu'on appelle la houle (2). Aux abords des côtes, ces vagues sont modifiées par la présence du fond (3) et en particulier la rugosité du fond (rides, roches) qui peut être elle-même due aux vagues.
La prévision de la houle n'est pas difficile si vous êtes en bord de mer ; il vous suffit d'avoir un baromètre, une girouette et un anémomètre ; plus le vent est fort, plus la houle sera grande ( en Méditerranée, la houle excède rarement les 3 mètres à cause de la faible profondeur de l'eau à certains endroits ) ; c' ...
Des vagues entre 1.5 et 1.75 m (maxi plus de 2m) vont rendre la baignade dangereuse sur un littoral plus habituée à une mer calme mais qui peut, lorsque la houle s'installe, être très dangereuse.
Le problème est que sous cette houle se cachent de puissants courants-marins. Lorsque les vagues se retirent du sable, ces derniers repartent en direction du large. Les baigneurs qui n'y font pas attention peuvent donc petit à petit y être attirés, jusqu'à ne plus être capable de revenir sur le rivage.
Une allure faible rendra le bateau assez 'mou' dans la houle et entraînera trop de roulis et de tangage donc n'hésitez pas à partir légèrement à l'hydroplane pour rigidifier le bateau sur la mer et casser la vague.
La houle se caractérise par le mouvement au large de l'eau d'un océan ou d'une mer sous la pression du vent. L'eau se met alors à bouger, à monter plus à descendre. Lorsque cette houle se rapproche des terres, elle se transforme alors en vagues.
Une houle générée par une dépression se propage de façon quasi linéaire. Elle est théoriquement la conséquence de la force du vent, la distance sur laquelle il souffle (appelée zone de Fetch) et le temps durant lequel il a soufflé.
mer peu agitée 0,50 < hauteur < 1,25 m 3 mer agitée 1,25 < hauteur < 1,50 m 4 mer forte 2,50 < hauteur < 4,00 m 5 mer très forte 4.00 < hauteur < 6,00 m 6 mer grosse 6,00 < hauteur < 9,00 m 7 mer très grosse 9,00 < hauteur < 14,00 m 8 mer énorme hauteur > 14,00 m 9 Page 2 La hauteur des vagues correspond à une hauteur ...
➙ roulis, tangage.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Une houle de 60cm annoncée avec un période de 13 peut donner des vagues d'1m20. A l'inverse, une période courte peut réduire la taille et diminuer la qualité des vagues. Une bonne période se situe aux alentours de 10-11, car elle permet d'avoir de belles vagues.
Pourquoi peut-on dire que la houle est une onde mécanique profgressive ? La houle correspond à la propagation d'une perturbation dans un milieu matériel, sans transport de matière, mais avec transport d'énergie.
PERIODE : c'est l'intervalle de temps en secondes entre deux crêtes de houle non déferlées sur une série. Dans l'Atlantique de 10 à 16-17 secondes. Dans le Pacifique, elle peut atteindre plus de 20 secondes. LONGUEUR : distance en mètres sur laquelle une ligne de houle non déferlée se dresse.
"Lorsqu'il y a de gros orages comme ça a été le cas et que les vents viennent de la mer, il y a une dépression qui se forme. Et cette dépression, au large, elle grossit doucement avec les vents violents et ça forme la houle.
La houle est un mouvement ondulatoire de la surface de la mer. C'est une oscillation sinusoïdale régulière qui est légèrement différente des vagues car la houle se déplace sur de grandes ditances contrairement aux vagues qui restent locales.
Dans presque tous les cas, un bateau se renverse parce que le vent est trop fort. Généralement, cela prend la forme d'une rafale qui dépasse le lest. Ainsi, un bateau peut naviguer par gros temps et sembler aller bien, mais une rafale soudaine le fait chavirer.
Il n'y a pas de déplacement d'eau lors de ce mouvement ondulatoire car les vagues ne transportent que de l'énergie. L'eau se trouvant dans le creux d'une vague est soulevée vers l'arrière et effectue une rotation circulaire et retrouve ainsi sa position initiale.
− MAR. [En parlant d'un navire] ,,Être soulevé hors de l'eau au-dessus de la flottaison habituelle, soit par échouage, soit par la vitesse lorsque le bateau plane ou est en remorque`` (Barber. 1969). Le bateau déjauge, se déjauge, est déjaugé.
Le lieu le plus dangereux de France reste la côte Atlantique.
Le ressac se caractérise par le retour puissant des vagues vers le large, créant un courant. Plus la vague est grosse, plus le ressac est important. Il est dangereux après le passage d'une lame de fond (déferlement d'une ou plusieurs vagues d'une taille plus importante que les autres).
La mer de Tasmanie
Entre l'océan Pacifique et l'océan Indien cette mer est le passage obligé lors de la course Sydney Hobart. Une marmite où les vagues peuvent dépasser allègrement les 15 mètres. Il y a eu de nombreux concurrents qui y ont laissé leur vie pendant la traversée de cette mer impitoyable.
Cela pour deux raisons simples. La première est qu'il n'est pas facile de prévoir l'arrivée des vagues et quand celles-ci sont là, c'est pour de courtes durées malheureusement. Il est donc bien plus rare de pouvoir y surfer. La seconde, c'est que les vagues en mer sont créées par le Mistral, un vent venant du nord.