Elle est caractérisée par la consommation de produits trop gras, trop salés, trop sucrés et une manière de manger ayant un impact négatif sur la santé (absence de faim, repas pris sur le pouce, repas pris devant la télé…).
Les repas de malbouffe contiennent généralement trop de sel, ce qui est particulièrement mauvais pour la pression artérielle qui augmente plus que de raison. Une pression excessive du sang détériore les parois des vaisseaux sanguins et augmente, à long terme, les risques de développer des maladies du cœur.
Malbouffe : graisses, sel et additifs
et pauvres en éléments de base. La restauration rapide est globalement accusée de faire de la malbouffe. Ainsi, les hamburgers, les pizzas, les frites et les sodas qui les accompagnent figurent parmi les aliments les plus représentatifs de cette junk food.
Ces produits sont trop riches en matières grasses, sel, sucre et sont à l'origine de bien des maladies comme le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires, le système nerveux, certains cancers...
Brest. Brest remporte le titre, peu honorifique, de ville bretonne la plus touchée par la “malbouffe” avec 0,1794 fast-food pour 1.000 habitants.
Hypertension artérielle et maladies cardiovasculaires
La malbouffe contient généralement trop de sel, ce qui peut causer une augmentation de la pression artérielle. Or, une pression excessive du sang sur la paroi de nos artères entraine, à long terme, un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires.
Une étude menée par un économiste de la santé de l'université du Nouveau-Brunswick indique que l'interdiction de la malbouffe dans les écoles a un effet positif sur l'indice de masse corporelle des jeunes. Et plus les étudiants sont exposés longtemps à cette politique scolaire, plus son effet est prononcé.
Les chercheurs ont constaté que ce NPY dérègle l'insuline. Or cette hormone, essentielle au fonctionnement de l'organisme, gère le taux de glucose dans le sang et transforme les sucres en graisses.
Les donuts
Avec leur nappage 100% industriel, ils méritent amplement leur titre parmi les 10 aliments les pires de la malbouffe. Gavés de graisses trans hydrogénées et de sucre trop raffiné, ils ravissent les gourmands... mais moins leur organisme.
La malbouffe
Les conséquences de la malbouffe peuvent être dramatiques et entrainer facilement un état de fatigue permanente. Le gras, le sucre raffiné, le fait de trop manger... ce sont des ennemis à éviter car ils peuvent anéantir les défenses de notre corps, et le rendre fatigué et extrêmement vulnérable.
Dans le langage courant, la malbouffe désigne une nourriture considérée comme mauvaise, tant au niveau de la qualité des ingrédients que de sa valeur nutritionnelle. Ils sont accusés de favoriser l'obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, certains cancers et autres maladies.
bonjour, Au repas, tu prends une assiette plus petite, tu ne te sers qu'une fois et tu manges très très lentement, en mâchant longuement chaque bouchée, tu arriveras à satiété avec beaucoup moins de nourriture surtout si tu as tendance à ne pas savoir t'arrêter.
Pour éviter de craquer pour de la malbouffe, buvez tout au long de la journée. En hydratant bien votre corps avec de l'eau, vous aurez également moins envie de boire du soda ou autre boisson sucrée X Source de recherche . Procurez-vous un livre de recettes simples et saines.
Voici deux bonnes raisons de limiter votre consommation de produits surgelés. Alors que le contenu de plats congelés peut beaucoup varier, ils ont tendance à contenir une quantité élevée de sel. Cela rend les plats plus savoureux et peut servir à la fois comme exhausteur de goût et comme agent de conservation.
La valeur nutritionnelle des plats préparés
Choisissez des plats dont la quantité totale de glucides est inférieure à 20 %. Veillez à ce qu'il y ait, en pourcentage, plus de protéines que de lipides (ex : 20 % de protéines, 10 % de lipides). Le rapport protéines/lipides doit être égal ou supérieur à 1.
"Leur teneur en sel trop élevée n'est pas bonne pour le système cardio-vasculaire, précise le médecin nutritionniste. Les préparations trop riches en graisse et en sucre peuvent également entraîner du diabète et un risque de surpoids."
Les très faibles revenus ont une autre incidence sur les comportements alimentaires. D'une part, les personnes pauvres mangent rarement à l'extérieur. D'autre part, leurs faibles ressources ne leur permettent pas de « recevoir des parents ou des amis, pour boire un verre ou pour un repas, au moins une fois par mois ».
Histoire de la « malbouffe »
C'est un phénomène de société apparu dans les années 60 en réponse à la hausse du prix des produits frais (fruits et légumes notam- ment), à l'industrialisation des méthodes de production et à la diminution des prix des produits gras et sucrés.
Les sucres contenus dans les aliments sucrés et raffinés (soda, barres chocolatées, céréales raffinées, viennoiseries…) sont de faux pourvoyeurs d'énergie. Bien sûr, sur le moment, ils vous boostent mais gare à l'effet boomerang !
Les pizzas dégoulinantes de fromage ou les frites gorgées d'huile sont devenues les archétypes de la "malbouffe". Mais il n'est pas nécessaire d'être vendu dans un fast food pour entrer dans cette catégorie.