Le caractère de Dieu est la perfection : tout ce qui est renfermé dans l'idée de perfection, comme l'immutabilité, la sagesse, la justice, la bonté, doit être attribué à Dieu dans un degré infini, et constitue son caractère métaphysique et moral.
Il s'agit d'un processus au cours duquel la grâce divine opère une purification de l'esprit du chrétien grâce à l'action de l'Esprit saint et qui conduit, selon les mots de Wesley, à « une pureté d'intention, à dédier toute sa vie à Dieu ».
parfait, parfaite
Qui est ce qu'il est de façon absolue, sans la moindre restriction : Un cercle parfait. 2. Qui est tel au plus haut degré ; complet, total : Il est d'une correction parfaite. Un parfait homme du monde.
Effectivement, la perfection n'existe pas chez l'homme, mais pas plus chez la femme, ne vous en déplaise. La poursuite de la perfection remonte à de vieilles croyances religieuses (sans discrimination d'allégeance) qui affirmaient que pour atteindre Dieu, il fallait atteindre la perfection.
C'est la fidélité de l'amour, car celui qui s'appuie sur Dieu (pistis) peut également être fidèle aux frères (pistós) ; il ne les abandonne pas dans les moments difficiles, il ne se laisse pas mener par l'anxiété et reste aux côtés des autres même lorsque cela ne lui donne pas de satisfactions immédiates.
Cela explique également la fusion entre purification et sanctification (voir supra) : si la sanctification est ce qui permet l'approche de Dieu, et que la purification est suppression de la souillure, le lien est direct.
1. État de quelqu'un, de quelque chose qui est parfait en son genre : La perfection d'un style. 2. Qualité de l'esprit ou du corps portée au plus haut degré : Être doué de toutes les perfections.
“Qui cherche la perfection obtient l'excellence.”
L'idée de la perfection est intimement liée au regard des autres. Soit cela peut corréler avec le désir de montrer que nous avons « réussi » ; soit cela peut être lié à l'idée que nous sommes moins bien et donc que nous devons compenser.
admirable, adorable, angélique, divin, excellent, exemplaire, idyllique, impeccable, inattaquable, incomparable, irréprochable, magnifique, merveilleux, réussi, suprême, unique. – Littéraire : nonpareil, souverain.
- Alain Ducasse. La perfection n'est pas de ce monde et certainement pas dans mon métier. En tout cas, tous les jours on se remet en question, on essaie de s'améliorer, demain on sera meilleur qu'hier. Cette phrase de Alain Ducasse contient 35 mots.
Citation de Jori Cazilhac sur Perfection
Qui cherche la perfection obtient l'excellence.
Ce proverbe signifie qu'en cherchant mieux, on risque de perdre ce qui est bien.
Contraire : défaut, défectuosité, difformité, faiblesse, imperfection, vice.
PERFECTIONNISTE : Définition de PERFECTIONNISTE.
Mais le plaisir qui constitue la source du bonheur est un « sentiment de perfection » ou de perfection croissante. Leibniz fait de la gradation entre plaisir, joie, bonheur la base du calcul moral et du choix du meilleur.
selon les recommandations des projets correspondants. Les psaumes pénitentiels ou psaumes de confession est le nom donné aux psaumes 6, 32, 38, 51 (aussi appelé Miserere), 102, 130 (aussi appelé De profundis) et 143 car ils expriment la tristesse du péché.
1. Perfection absolue attribuée à Dieu: Toute sainteté vient de Dieu, toute sainteté procède de Dieu. Il n'y a qu'une sainteté, qui vient de Jésus-Christ.
Dans l'Ancien Testament, l'âme n'est pas une partie de l'homme, mais l'homme tout entier, l'homme en tant qu'être vivant. Pareillement, dans le Nouveau Testament, l'âme désigne la vie humaine : la vie d'un individu, d'un sujet conscient (Mt 2.20 ; 6.25 ; Lc 12.22-23 ; 14.26 ; Jn 10.11, 15, 17 ; 13.37) ».
Ce texte de droit canon, "sorte de code pénal de l'Église", résume l'abbé Pierre Amar, auteur sur le Padreblog, définit les conditions de la canonisation : être mort, avoir mené une vie chrétienne exemplaire, et avoir accompli au moins deux miracles.
1. Se dit de Dieu en tant qu'il est souverainement pur, parfait. 2. Se dit d'une personne élue de Dieu et reconnue par l'Église : La Sainte Vierge.
Le titre vient du latin sanctĭtas (sainteté), lui-même dérivé de sanctus (saint). Le titre est attesté pour la première fois au XIV e siècle.