Exclusivement manipulé par des juifs pratiquants, un vin casher suit un parcours de production très strict, selon la cacherout, l'ensemble des règles alimentaires juives. Rien d'autre, dans son goût ou sa composition, ne le distingue d'un vin non casher.
Il s'agit essentiellement de vin blanc sucré, élaboré à partir de raisins secs. On observe cependant une mutation dans ces pratiques de consommation à la fin du 20e siècle. En effet, Roberto Cohen permet dès 1996 l'apparition des vins du Golan (une région d'Israël) en France.
Se dit d'un aliment, en particulier de la viande, conforme aux prescriptions rituelles du judaïsme, ainsi que du lieu où il est vendu. (Pour la viande, une des principales prescriptions est l'ablation du nerf sciatique de l'animal et l'élimination du sang qui peut rester après l'abattage.)
Ensuite à toutes les étapes de la vinification, le rabbin doit être présent et veillez à ce qu'aucun non juif ne manipule les bouteilles de champagne. Le rabbin est conseillé par les équipes chargées habituellement de la vinification afin que la qualité gustative du champagne soit irréprochable.
Un vin casher est un vin qui n'a été manipulé que par des juifs pratiquants et dont toutes les étapes de vinification se sont déroulées sous le contrôle de délégués rabbiniques assermentés, les "chomers" (ou chomerims), assermentés par les consistoires des grandes villes qui représentent le culte (Beth Din de Paris, ...
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Sur le plan historique, la Torah interdit d'ailleurs aux prêtres de bénir le peuple l'après-midi de peur qu'ils ne soient sous l'effet de l'alcool et ne tombent dans l'idolâtrie potentielle.
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
Le chabbat (samedi) est le rappel hebdomadaire de cet accomplissement. On s'efforce, pendant le jour du chabbat, d'introduire la présence de Dieu dans ce monde. On s'abstient de toute création, dans le but de réaffirmer que nous ne sommes pas maîtres de notre destin. Quelqu'un d'autre s'en occupe.
Pour être considéré comme casher, un juif doit être impliqué dans tout le processus de vinification, depuis la récolte du raisin jusqu'à la fermentation et à la mise en bouteille. Tous les ingrédients doivent être casher, y compris les protéines utilisées pour la clarification et la stabilisation du vin.
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
La chair des animaux impurs et leurs dérivés (lait et œufs) : seuls les mammifères qui ruminent et qui ont le sabot fendu sont autorisés. Le lapin est interdit ainsi que le porc, il a bien le sabot fendu mais il ne rumine pas. Tous les autres mammifères sont également interdits.
Pour les adeptes des Apéritifs glacés de l'Est, trinquez à la Vodka Vicenzi Classic Cacher le Pessah. Et enfin, pour les plus protocolaires, une fête sans Champagne n'est pas une fête, et nous vous invitons à lever votre verre du Champagne Laurent-Perrier, le plus illustre des Champagnes Cacher.
Les aliments conformes à ce code alimentaire sont dits « cachers », c'est à dire « aptes » ou « convenables » à la consommation. Pour qu'une viande soit cacher, il faut déjà qu'elle provienne d'un animal « pur ». Si c'est le cas, il faut ensuite qu'elle soit préparée puis consommée selon des règles bien précises.
Le shabbat ou chabbat (hébreu : שבת, « cessation, abstention » ; en yiddish שבת ou, rarement, שאַבעס, shabbes) est le jour de repos assigné au septième jour de la semaine Biblique, le samedi, qui commence dès la tombée de la nuit du vendredi soir.
Shabbat shalom (שַׁבָּת שָׁלוֹם) est un salut commun utilisé à Shabbat, ou pour souhaiter « un bon shabbat » par anticipation -- cf. « bon week-end », du moins dans les régions sous influence sépharade, mizrahite ou israélienne.
Juifs, comme chrétiens et musulmans considèrent ainsi que la semaine débute le Dimanche. Le shabbat correspond au jour de repos hebdomadaire consacré au culte. Il débute le vendredi, 18 minutes avant le coucher du soleil et se termine le samedi soir, après après la tombée de la nuit.
Traditionnellement, on mange du poulet, symbole de l'expiation, sous toutes ses formes : potage, couscous, poule-au-pot, tajine, etc. Il est possible de cuisiner tout ce qu'on veut ce jour-là, tant que c'est à base de poulet ! Cette célébration est une grande fête de partage en famille et entre amis.
Le sabbat ou shabbat (hébreu : שבת) est le jour de repos hebdomadaire dans des religions qui reconnaissent l'Ancien Testament (ou Torah) : le judaïsme, quelques branches du christianisme, du vendredi soir au samedi soir. Il est consacré à Dieu, en souvenir de la Création.
Monsieur le Rabbin, Je vous prie d'agréer, Monsieur le Rabbin, l'expression de mes sentiments respectueux.
Dès le IXe siècle, les moines commencent à brasser de la bière, destinée en grande partie à leur consommation personnelle ! A l'époque, dans le but d'être autonomes, presque chaque abbaye à sa brasserie. Mais ne nous y méprenons pas, boire de la bière à cette époque n'était pas du tout synonyme d'orgie ou de fête.
Car la culture hindoue n'est pas du tout favorable à l'alcool, au point qu'il s'en est fallu de peu que la Constitution ne l'interdise en 1951. Et l'alcool est effectivement prohibé dans un Etat comme le Gujarat. Le poids de la religion et la culture traditionnelle n'empêchent cependant pas les Indiens de boire.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).