Les maisons ont une âme, qui a été nourrie par ses habitants au fil des passages de ses différents propriétaires. Elles acquièrent alors une énergie propre qui agit en aimant lors des visites d'achats. Pour qui est sensible et capable de voir au-delà de l'action, cette énergie est ressentie et peut être lue.
Ce statut ne s'applique pas à toutes les résidences secondaires. « Certaines maisons ont une âme, parce qu'elles sont habitées de la question de la transmission, explique Christine Ulivucci, psychanalyste transgénérationnelle et auteure de Psychogénéalogie des lieux de vie, ces lieux qui nous habitent (éd.
On est au plus près de son intimité en décorant sa maison. Objets et meubles reflètent notre psychologie : on y exprime nos goûts, nos besoins fonctionnels. Mais ils parlent aussi de notre mémoire en nous rappelant sans cesse notre passé, notre histoire familiale avec ses mythes, ses secrets, ses mœurs.
Elle est un lieu d'intimité, de ressource, de retrouvailles entre proches. Elle touche au bien-être, à l'authenticité, puisque nous y vivons en huis clos, sans avoir l'inquiétude du regard extérieur. Dans ce sens, elle est notre enveloppe et sécrète un lien invisible qui unit ceux qui l'habitent.
La maison est une représentation symbolique de notre intérieur, de notre psyché. Elle est aussi le corps que nous habitons, celui que nous connaissons, imparfaitement ou dans ses moindres détails. Chaque pièce est une dimension intérieure, une facette de la personnalité et un potentiel.
Les indispensables pour toute la maison
Produits ménagers : nettoyant WC, nettoyant pour le sol, produit vaisselle, anticalcaire, produit pour les vitres. Lessive, assouplissant. Ustensiles de nettoyage : balai, ramasse-poussière, raclette, seau, chiffons, serpillère, plumeau.
Selon Gaston Bachelard, la maison est tantôt le coffre de nos souvenirs, tantôt un état d'âme. Cela veut dire que, même avant de devenir figure onirique ou lieu imaginé de notre passé-futur, la maison abrite et rend possible le processus de la mémoire.
Le foyer reste tout de même, malgré ces provocations, un lieu où il fait bon vivre, où il se sent protégé. Enfin, il deviendra parfois l'endroit de ses premières expériences amoureuses, loin des regards indiscrets. Si la maison est un vecteur de bien-être pour l'enfant, il l'est aussi pour le reste de la famille.
Trouver la cause du malaise
Je me sens mal chez moi, OK, mais pourquoi ? Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Il est largement prouvé que pour être heureux, il est indispensable que tout soit en ordre chez soi. Sans pour autant partir dans des extrêmes, sauf si vous êtes de nature maniaque, vivre dans un espace ordonné et rangé, permet d'être heureux et de mieux s'organiser au quotidien.
Une des principales raisons d'une maison en désordre est le fait que vous possédez trop d'affaires. Plus nous accumulons dans notre maison, plus nous passons du temps à ranger et à nettoyer. L'étape la plus importante pour éliminer le bazar chez vous est d'éliminer le superflu de votre maison.
L'habitat, par son évolution lui aussi (aménagements successifs, rénovation…) est le miroir de l'évolution et du cheminement de ses occupants. Il est et restera un reflet d'eux-mêmes.
Lorsque l'on évolue dans un espace lumineux et spacieux, tout notre corps en bénéficie. La lumière change notre perception de l'espace et du temps. Notre esprit se sent moins enfermé, moins agressé. De fait, cela a un impact sur notre humeur, notre productivité, notre santé.
Personne qui assure la garde et l'entretien d'un domicile en ce qui a trait au courrier, aux messages téléphoniques, à la coupe de la pelouse, au déneigement, etc. en l'absence des résidents et qui prend soin, s'il y a lieu, des animaux et des plantes.
Notre maison est notre peau. Elle renvoie aux émotions les plus archaïques et en même temps les plus socialisées. Elle est le refuge qui permet aussi bien de s'étioler que de s'accomplir. Elle est isolement, voire prison, ouverture, voire éclatement.
Un sentiment de stabilité
Se sentir chez soi, c'est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l'océan, un port d'attache. C'est à cette condition que l'on se sent paisible, mais aussi que l'on éprouve du plaisir à évoluer dans son environnement.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
La première phrase (ou les deux premières si besoin) doit évoquer le thème abordé, c'est la phrase d'accroche. Si le sujet de l'écriture personnelle contient une courte citation, il faut la recopier dans l'introduction. Si la citation est longue ou s'il n'y en a pas, il faut paraphraser le sujet et citer les mots clés.
Enveloppe protectrice de chrysalide. Ce qui enveloppe et protège.
Un cocon est une enveloppe souple et élastique qui entoure un ou plusieurs insectes généralement, lors de leur période de reproduction. Par extension, l'expression donne l'idée d'avoir été élevé à l'abri des difficultés de la vie.
C'est dans ce jardin que nous l'avons enterrée et qu'elle repose désormais. Cette maison c'est toute ma vie, tous mes souvenirs. Et la laisser à un inconnu c'est comme bousiller, gâcher ces souvenirs. Je ne pourrai plus jamais y retourner, plus me remémorer les moments passés de la même manière.
Pour faire le deuil de sa maison, il faut indéniablement faire preuve de résilience. Cela signifie entres autre partager ses émotions, aller chercher du soutien dans l'entourage, s'adonner à des rituels, trouver des moyens pour s'adapter aux changements et bien planifier son déménagement.
Dans la maison, nous concevons les murs, les portes et fenêtres comme une peau qui protège notre vie privée vis-à-vis du monde à l'instar de la première couche de la peau psychique.