En
Époque, date, terme. Vie.
Il faut prendre conscience de son ignorance et commencer comme Socrate en disant : « Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien. » On doit tendre vers un discours vrai sur le monde et sur soi. Il y a dans la philosophie une volonté de dire la vérité, tout du moins de s'en approcher.
Un bien est ce que l'on possède, que ce soit sous forme d'argent, de meubles, d'immeubles, de capital. En économie, un bien est quelque chose pouvant faire l'objet d'une appropriation par un individu, et sur laquelle un droit de propriété est donc applicable.
Aristote est le grand maître des définitions, le premier sans doute qui voulut définir la définition dans sa logique : la bonne définition est celle qui va à l'essence générale d'une chose, le genre, et puis, on la caractérise par un trait spécifique.
Définition. Selon les Définitions de Platon, le Bien est « ce qui n'a d'autre fin que soi-même ». Employé comme nom en métaphysique, le Bien désigne ce qui est absolument désirable.
Il ne s'agit donc pas simplement de vivre, mais de vivre « bien », c'est-à-dire par et pour des valeurs. Socrate estimera bon de défendre cette idée au prix de son existence. Immortalisé par son élève Platon, le geste du maître restera inscrit dans les mémoires comme l'acte fondateur de la philosophie occidentale.
Trois formulations résument l'enseignement d'Aristote : le bien suprême est le bien de la communauté ; la fin des législateurs est l'utilité commune ; la fin de la cité est le souverain bien.
(Nom commun) (1762) Féminin de bon. Bonne, dans le sens de « femme de service », est au départ un terme d'amitié de la part des enfants ou des maîtres de maison, attesté à partir de 1708. On disait « mon bon », « ma bonne » quand on s'adressait aux serviteurs. Le terme est devenu péjoratif.
bon, bonne
1. Qui, dans son genre, présente des qualités supérieures à la moyenne : Un bon élève. Un bon film.
C'est ainsi que toutes les éthiques antiques ont défini la recherche du souverain bien – à la fois bien humain, bonheur, et bien moral.
Opposé au Bien, le Mal désigne tout ce qui blesse l'individu et fait obstacle au bonheur.
Les biens sont les moyens qui permettent de satisfaire les besoins. En amont, on peut relever l'existence de deux types de biens : ➢ les biens naturels ou biens libres : produits de la nature et non d'une activité humaine, comme l'eau, l'air, la lumière du soleil, ils sont théoriquement en quantité illimitée.
C'est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l'existence humaine. Elle existe depuis l'Antiquité en Occident et en Orient, à travers la figure du philosophe, non seulement en tant qu'activité rationnelle mais aussi comme mode de vie.
Bon, comme cher, faux, etc. est un adjectif employé comme adverbe car il ne s'applique pas à un nom commun mais à un verbe : comme tout adverbe, c'est invariable. La tarte est bonne (adj.) / les fleurs sentent bon (adv.)
altruiste, bienveillant, charitable, dévoué, humain, indulgent, obligeant, philanthrope, secourable, sensible, sentimental, serviable, tendre. – Littéraire : bienfaisant.
Bon et bien expriment un jugement positif. Bon signifie agréable au goût, de qualité, supérieur à la moyenne alors que bien est synonyme de conforme, satisfaisant, correct. On utilise bon (au féminin bonne) avec un nom ou avec les verbes être, sembler, paraître. On utilise bien avec un verbe.
Définition "en bonne et due forme"
adv. Selon les règles, comme il convient.
Qui suscite de l'excitation sexuelle ou du désir. La technique sans le texte, c'est comme une fille bandante à tête de trave (Lucio Bukowski, « Feu grégeois », Éponyme, 2012) .
Bonne femme apparaît au milieu du XVIIe siècle et désigne à la fois une femme bonne et une femme âgée, donc d'expérience, ce qui explique la connaissance par cette dernière de remèdes simples pour soigner de nombreux soucis physiques, remède devant bien sûr être compris comme quelque chose qui guérit un mal quelconque.
Le concept de bien est attaché aux concepts de bonheur, de bon état de chose, de bonnes conséquences à promouvoir ou de vie bonne. Toutes ces affiliations témoignent d'un élément commun : à chaque fois, le bien est l'objet d'un mouvement, d'une orientation, d'un choix.
« Le bonheur est un idéal de l'imagination et non de la raison. » Pour Kant, le bonheur est un concept empirique : il est particulier (bien que tout le monde le recherche en tant que but universel) et vague, c'est-à-dire qu'il repose sur une idée que chacun se fait du bonheur.
Le bien moral consiste dans la vertu qui est ce qui suscite l'approbation. Or la vertu contribue au bien naturel.