Le terme de cancer blanc de la peau distingue ce type de cancer de la peau du mélanome, également appelé cancer noir de la peau. Le carcinome basocellulaire se forme à partir des cellules basales de l'épiderme. Un carcinome basocellulaire se développe essentiellement dans les régions de la peau exposées au soleil.
Cancer blanc de la peau
Les types de cancer de la peau blancs ou clairs (carcinome spinocellulaire et carcinome basocellulaire) se forment à partir de cellules épithéliales (kératinocytes) de la peau. Contrairement au mélanome, les types de cancers blancs restent localisés et ne forment pas de métastases.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Les mélanomes représentent 10 % des cancers de la peau mais ils sont les plus dangereux car ils peuvent progresser rapidement. Chaque année, un peu moins de 8000 mélanomes sont diagnostiqués en France.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
Il n'y a pas de chimiothérapie plus ou moins forte, cela dépend des cas. Le choix est fait par l'équipe soignante en tenant compte de votre situation. Tous les produits de chimio ne sont pas actifs dans tous les cancers et les effets secondaires qu'ils peuvent induire ne sont pas proportionnels à l'efficacité attendue.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Pour les cancers de la peau autres que les mélanomes, le taux de survie à 5 ans oscille entre 95 et 100 % après le moment du diagnostic.
Une perte de poids d'apparence inexplicable est une conséquence fréquente du processus cancéreux. Elle est même parfois le signe avant-coureur d'une tumeur non encore diagnostiquée.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
"Un cancer de la peau guérit bien dans certains cas : s'il est non-mélanique, s'il est détecté précocement et s'il n'est pas métastasique", indique la spécialiste. Il est rare que les cancers de la peau développent des métastases.
Une surveillance des taches brunes est nécessaire. Si elles semblent évoluer (augmentation de taille, changement de couleur, saignements, grossissement, etc…) il est important de consulter un spécialiste car il peut s'agir des symptômes de développement d'un mélanome (voir notre fiche « Cancer de la peau »).
Le carcinome basocellulaire, qui se développe à partir des cellules dans la couche la plus profonde de l'épiderme. Le carcinome épidermoïde (appelé autrefois spinocellulaire), qui se développe au niveau de la couche intermédiaire de l'épiderme.
C'est la forme la plus fréquente de cancers de la peau. Les carcinomes basocellulaires n'évoluent que localement et ne forment jamais de métastases, c'est-à-dire qu'ils ne s'étendent pas à d'autres organes. Ils se situent généralement sur le visage, au niveau du cou ou encore sur le haut du tronc.
Certaines formes de cancers du sein, de l'ovaire, du côlon, mais aussi des glandes endocrines, du rein, de l'utérus, de la rétine, de l'estomac, de la peau ou de la prostate sont connues pour être liées à une prédisposition génétique familiale.
Chez la femme, trois cancers sont responsables du plus grand nombre de décès par cancer : sein (12 000), poumon (10 000) et colorectal (8 000). L'évolution de la mortalité (taux standardisé) par cancer entre 1990 et 2018 est marquée par une diminution dans les deux sexes, plus prononcée chez les hommes.
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Les médicaments utilisés pour une hormonothérapie du cancer du sein comprennent le tamoxifène (Nolvadex-D, Apo-Tamox) ainsi que les inhibiteurs de l'aromatase comme le létrozole (Femara), l'anastrozole (Arimidex) et l'exémestane (Aromasin). Ces médicaments peuvent causer une perte temporaire de poils et de cheveux.
Vous pourriez ressentir de la douleur, comme une sensation de brûlure, un engourdissement, des picotements ou une douleur fulgurante dans les mains et les pieds (dommages aux nerfs périphériques). Ce type de douleur peut se prolonger bien après que le traitement soit terminé.
La chimiothérapie agit sur les cellules qui se divisent rapidement, ce qui est le cas des cellules cancéreuses. Les cellules du bulbe pileux (se divisent aussi beaucoup. Une chimiothérapie provoque donc souvent la destruction de ces cellules entraînant la chute des cheveux et de toute pilosité.