Sur la ligne Maginot, le Mayenberg - des kilomètres de galeries enfouies sous des milliers de mètres cubes de béton -, abrite neuf cents soldats. Parmi lesquels Gabriel, timoré sergent-chef, terrorisé à la seule idée d'une attaque aux gaz ; et Raoul, caporal-chef hâbleur, tête brûlée, as de la débrouille.
Partiellement réutilisés par l'occupant allemand, notamment lors des combats de 1944-1945, plusieurs ouvrages sont remis en état après la guerre dans le contexte du début de la guerre froide. L'essentiel est depuis abandonné, mis à part quelques éléments conservés par des associations.
La ligne Maginot : un dispositif de défense ultra-perfectionné Le but de ces fortifications permanentes : gagner un maximum de temps en cas d'attaque soudaine venue de l'est. Réputée infranchissable, elle devait permettre à l'armée française de mobiliser toutes ses troupes.
La ligne Maginot est constituée en cet endroit d'une série de petites casemates et de grandes étendues d'eau artificielles créées pour former une ligne de défense. Le 14 juin 1940, après un bombardement d'artillerie et d'aviation, les Allemands se lancent à l'assaut de la ligne fortifiée.
L'ouvrage de Schoenenbourg est un gros ouvrage de la ligne Maginot, qui se situe à environ 20 km au nord-est de Haguenau, et à 10 km de la frontière, à une altitude moyenne de 200m. L'ouvrage comptera au maximum dans les 630 hommes.
Les 8 et 9 avril 1940, l'Allemagne envahit la Norvège, dans l'objectif de s'emparer de bases navales pour pouvoir combattre la flotte britannique en mer du Nord et de garantir ses approvisionnements en minerai de fer provenant de la Suède, pays resté neutre.
Les gros ouvrages de la ligne Maginot couvrent en définitive 140 km sur la frontière du nord-est, longue de 760 km de la mer du Nord à la Suisse.
6./ Quelle arme moderne a permis aux Allemands une invasion rapide de la France ? Les chars, rapides et efficaces ont permis une invasion rapide de la France.
Ligne de fortifications construite par les Allemands entre 1936 et 1940 sur la frontière occidentale du Reich de Clèves à Bâle.
Ces fortifications s'étendent de la frontière hispano-française jusqu'au nord de la Norvège (Festung Norwegen). Elles sont renforcées sur les côtes françaises, belges et néerlandaises de la Manche et de la mer du Nord.
La ligne Maginot aquatique constituait un ingénieux système d'inondations défensives qui barrait les vallées du Mutterbach, de l'Albe et de la Sarre entre Hoste-Haut, Sarralbe et Wittring.
Pourtant, aucune bataille majeure n'a lieu en Europe de l'Ouest jusqu'à l'invasion de la Belgique, des Pays-Bas et de la France, le 10 mai 1940. Cette période est appelée la « drôle de guerre ».
Locution nominale. (Histoire) Période allant de la déclaration de guerre de la France à l'Allemagne le 3 septembre 1939 à l'offensive allemande du 10 mai 1940, caractérisée par une attitude attentiste des autorités françaises et l'absence presque totale d'affrontements entre la France et l'Allemagne.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
A tous égards, le rapport des forces était bien pire qu'en 1914. La première cause de la défaite, c'est que l'Allemagne a préparé la guerre la première parce qu'elle l'a voulue. La création d'une armée blindée a commencé clandestinement dès 1932, avant même l'élection d'Adolf Hitler comme chancelier.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Mai 1938. Hitler lance l'une des plus grandes opérations de propagande nazie de la seconde Guerre Mondiale: la ligne Siegfried, un gigantesque mur d'acier et de béton fortifié par des bunkers, destinée à protéger le front occidental.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, deux camps belligérants s'opposèrent : l'Axe et les Alliés. Les trois partenaires principaux de l'Axe étaient l'Allemagne, l'Italie et le Japon.
Bien que la Suède ne se soit pas déclarée neutre dans la guerre d'Hiver, elle était neutre dans le conflit opposant la France et le Royaume-Uni à l'Allemagne, qui n'avait alors pas encore rompu le Pacte germano-soviétique de non-agression ayant rendu possible l'agression soviétique sur la Finlande.
Le roi Haakon VII en 1940. Haakon VII (Carl af Glücksborg), né le 3 août 1872 au palais de Charlottenlund et mort le 21 septembre 1957 au palais royal d'Oslo, est un prince de Danemark issu de la maison d'Oldenbourg, élu roi de Norvège à la suite de la dissolution de l'union entre la Suède et la Norvège en 1905.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
La Wehrmacht ayant violé les frontières de la Pologne, Londres envoie un ultimatum à Berlin en suggérant une ultime conférence internationale ! Hitler dédaignant de répondre, la guerre est de facto déclarée à l'expiration de l'ultimatum, le 3 septembre à 11 heures.