En fait, ce poisson présente un véritable intérêt économique. La lingue goûte un peu comme le cabillaud mais elle se vend 3-4 euros/kilo moins cher que ce dernier.
PÊCHE. La lingue bleue fréquente les eaux de l'Atlantique Nord-Est, de la mer de Barents jusqu'au Maroc. Cette espèce est exploitée depuis les années 1950. L'Allemagne puis la Norvège ont été les premiers pays à la pêcher.
Le lingue ou julienne est un poisson blanc à la chair nacrée et ferme et au goût léger. La meilleure manière de cuire ce poisson est de le pocher dans un court-bouillon aromatisé.
La lingue bleue (Molva dypterygia) ou julienne est une espèce de poissons marins pêchée et commercialisée, appartenant à la famille des Lotidae. Ce poisson décrit par Pennant en 1784 vit dans les premières couches de grandes profondeurs. Il est pour cette raison encore très mal connu.
La lingue appartient à la famille des morues. Elle vit sur des fonds rocheux dans le nord de l'océan Atlantique, à une profondeur de 200 à 500 mètres.
La julienne, aussi appelée lingue franche, est un poisson à la chair blanche et ferme présentée le plus souvent en longs filets repliés sur les étals.
La lingue est généralement présentée en longs filets repliés, sans peau. S'ils sont frais, ceux-ci doivent être blanc nacré, presque brillants. En tranches, la julienne peut être confondue avec du congre.
Alors bien entendu le filet de julienne contient des arêtes donc à moins de bien les enlever il faudra faire attention aux enfants qu'ils ne s'en trouvent pas une coincée dans le gosier, c'est d'ailleurs pour cela que je lui ai toujours préféré le dos de cabillaud.
La Julienne est un poisson sauvage également appelé Lingue. Vous retrouvez les filets de Julienne sur tous les étals des poissonniers. C'est un poisson à la chair d'un blanc nacré et assez ferme.
Biologie. La lingue se rencontre à partir de 15m de profondeur, mais devient abondante entre 100 et 400m. Elle fréquente les fonds rocheux et les épaves et se nourrit surtout de poissons, ainsi que de crustacés et de céphalopodes.
Le dos de Cabillaud, un morceau de poisson sans arêtes
Pêché dans les Mer de Barents, de Norvège, de la Manche et Celtiques, ce poisson est très apprécié. C'est un poisson blanc comme le blanc et de nombreux autres espèces. Lorsqu'il est coupé en filets puis salé et séché, le Cabillaud se prénomme « Morue ».
L'églefin : ce poisson a une chair fine, qui n'a rien à envier à son cousin, le cabillaud.
De nombreuses variétés vous attendent : du cabillaud, du merlan, du lieu noir, de l'eglefin, de la dorade sébaste, du saumon et du loup de mer.
Ce poisson rond porte deux noms différents : il se nomme bar lorsqu'il vit et est pêché dans l'océan Atlantique, et loup dans la Méditerranée. Ce nom de « loup » vient de sa voracité.
Le terme dorade sébaste est l'appellation commerciale de deux espèces de poissons très proches : Sebastes norvegicus (à la robe orangée) et Sebastes mentella (de couleur plus rouge). Ces deux poissons vivent dans les eaux froides du Nord de l'océan Atlantique et se distinguent par une longévité étonnante.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Il est à réserver aux poissons à chair ferme (merlu, sole, turbot,…).