Le purpura d'effort (ou vasculite d'effort) est une affection cutanée bénigne des membres inférieurs qui survient chez des patients (es) après un long exercice physique.
QUE FAIRE : le traitement du purpura d'effort
Il n'existe pas de traitement avéré. Selon les patients, le port de bas de compression, la prise de médicament veino-actifs ou l'administration de corticoïdes à été bénéfique pour aider la circulation sanguine.
Ce purpura peut être accompagné de fièvre, maux de tête et douleur de nuque (signes méningés). Le purpura fulminans est une maladie mortelle qui requiert un traitement d'urgence (par la prise d'antibiotiques).
Le purpura est dû à une atteinte de l'endothélium vasculaire par l'agent infectieux ou par les toxines qu'il produit. Il est ecchymotique et nécrotique, plus ou moins extensif, en particulier aux membres inférieurs où il peut s'associer à des pustules.
En général, le purpura rhumatoïde est une affection bénigne qui atteint les enfants prédisposés génétiquement (groupe BW35-DR4 et HLA BW35). Il s'agit de la réponse vasculaire immunologique due à un facteur inconnu : aliment, médicament, piqûres d'insectes, vaccin… Toutefois, l'infection streptococcique est écartée.
Arnica montana 9 CH et Phosphorus 15 CH sont particulièrement recommandés dans cette affection, à raison de 5 granules de chaque 3 fois par jour pendant 10 jours.
PEUT-ON L'ÉVITER ? Il n'existe pas de traitement avéré. Selon les patients, le port de bas de compression, la prise de médicament veino-actifs ou l'administration de corticoïdes à été bénéfique pour aider la circulation sanguine.
Purpura thrombopénique idiopathique 4. Quels examens ? Des examens du sang et de la coagulation permettent le diagnostic. Le PTI étant un diagnostic d'élimination, une série d'examens sont dès lors nécessaires pour affirmer que la maladie relève d'aucune cause connue.
Symptômes de la TPI
Certaines personnes peuvent ne pas présenter les symptômes de la thrombocytopénie immunitaire. Chez d'autres, les symptômes de saignements peuvent se développer soudainement ou progressivement. La fatigue est fréquente en cas de TPI chronique.
Le purpura correspond à de mini hémorragies au niveau de la peau et des muqueuses. Le sang sort des vaisseaux, puis reste sous la peau et la muqueuse, se présentant sous forme de points rouges, de taches rouges, de traits rouges ou d'hématomes.
Le purpura rhumatoïde fait partie des maladies auto-immunes dites systémiques, c'est-à-dire qu'il peut atteindre différents organes. Le purpura rhumatoïde est une maladie rare ; on estime qu'il touche 1 personne sur 4000 à 7000 chaque année. Il touche un peu plus les garçons que les filles.
Les causes de l'apparition des plaques rouges sur le corps sont multiples : allergies, stress, climat… Généralement bénignes, ces plaques sont inesthétiques et souvent désagréables. Les solutions pour les traiter sont simples à appliquer, et diffèrent en fonction du type de plaque apparue sur la peau.
Quelle est la cause des pétéchies ? Les pétéchies sont dues à l'infiltration de sang sous la peau provoquée par une hémorragie (saignement) due à la rupture d'un capillaire (petit vaisseau sanguin qui relie les artères aux veines).
Les pétéchies sont généralement bénignes et accidentelles. Elles régressent spontanément en quelques jours, sans séquelles, hormis parfois des taches brunes et des cicatrices blanchâtres qui finissent par s'estomper avec le temps.
Le purpura thrombopénique idiopathique (PTI) est caractérisé par une baisse des plaquettes dans le sang. Le diagnostic de cette maladie acquise, isolée n'est porté qu'après avoir éliminé toutes les autres causes possibles de thrombopénie.
Les hématomes sont des marques dues à l'éclatement de petits vaisseaux (capillaires) sanguins sous la peau. Des poches sous-cutanées se remplissent de sang foncé et provoquent une tache violette ou bleue. Les capillaires éclatent si la personne fait chute ou reçoit un coup, voire lorsqu'elle se cogne contre un meuble.
L'œdème des jambes : c'est le début de la décompensation veineuse. La dermite ocre : ce sont des tâches rouges qui apparaissent au niveau des jambes suite à l'œdème. L'induration des tissus de la jambe : la peau localisée au niveau des jambes se rétracte et est le siège d'inflammations souvent douloureuses.
Chez l'enfant, la maladie (bénigne) guérit dans 60 à 70 % des cas en l'espace de quelques semaines. En revanche, chez l'adulte, elle devient chronique dans 2 cas sur 3, et revient régulièrement par poussées.
Des anticorps (Immunoglobuline A) vont alors être produits et se déposer sur les parois des vaisseaux de petits calibres au niveau de la peau, des articulations, du tube digestif, et des reins principalement et être responsables des manifestations observées. Le purpura rhumatoïde n'est donc pas une maladie contagieuse.
Souvent d'origine bénigne, elles peuvent être dues à un petit traumatisme physique local. Toux, vomissements et sanglots importants peuvent aussi être à l'origine de pétéchies inoffensives sur le visage, notamment autour des yeux.
Une thrombopénie correspond à une baisse des plaquettes dans le sang (moins de 150 G/l) avec un risque d'hémorragie grave et imprévisible lorsque le taux est inférieur à 50 G/l.
Le purpura thrombopénique immunologique ou « PTI » une maladie bénigne du sang, ce n'est donc ni une leucémie ni un cancer. Il se traduit par une baisse anormale du taux de plaquettes. Il s'agit d'une maladie auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire du patient fonctionne de manière trop importante.
La thrombocytopénie est un trouble causé par une baisse du nombre de plaquettes dans le sang. Les plaquettes sont aussi appelées thrombocytes. Elles sont fabriquées dans la moelle osseuse et aident le sang à coaguler.