Le dressage basé sur la motivation positive consiste à utiliser des éléments positifs, tels que les louanges, les friandises et les jeux, pour renforcer le comportement du chien que nous souhaitons. Le chien apprend ainsi que le comportement qu'il manifeste est gratifiant, ce qui l'incite à le manifester plus souvent.
Éducation positive et bienveillante : pourquoi la mettre en place au quotidien ? Adopter l'éducation positive au sein de la vie de famille procure un effet apaisant et atténue les tensions du quotidien. En restant à l'écoute des besoins de l'enfant, les parents comprennent mieux son point de vue.
Travaillez en séances d'apprentissage courtes (pas plus de 15 minutes) et régulières (plusieurs fois par semaine) pour constater une progression, surtout si vous dressez un chien encore très jeune. Ne demandez pas à votre chien des choses qu'il n'est pas encore capable de faire car vous risqueriez de le démotiver.
Un éducateur canin doit pouvoir vous apporter confiance et doit être crédible dans ses propos. Une vraie relation doit se mettre en place entre lui, votre chien, et vous même. Vous devez pouvoir lui faire confiance pour appliquer les conseils qu'il vous donne.
Respecter les besoins de son chien, est le tremplin vers une bonne cohabitation. Il a besoin de voir régulièrement d'autres congénères bien dans leurs pattes (pour ne pas qu'il devienne agressif), de faire des balades tous les jours même s'il a un jardin, de jouer avec son maître et de se sentir en sécurité.
Astuce pour apprendre à être ferme sans crier
Plus vous serez vous-même convaincu du résultat de l'ordre que vous donnez (en anticipant ce résultat de façon positive), mieux votre chien captera votre intention et fera ce que vous lui demandez. Bien souvent crier signifie une perte de ses propres moyens.
Évitez les ordres peu clairs et les répétitions constantes
Si vous devez répéter « assis » six fois avant que votre chien ne s'exécute, et qu'il reçoit quand même une récompense ensuite, cela nuit à votre autorité et apprend à votre chien qu'il n'a pas besoin d'obéir immédiatement.
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
Par contre, il y a effectivement des cas où ça ne marche pas … Le premier des cas est malheureusement le manque de compétence. C'est le gros souci de l'éducation positive, il ne s'agit de distribuer des friandises, il ne s'agit pas d'ignorer ce qui nous embête, il ne s'agit pas d'être gentil ou pire, laxiste.
Le prix moyen constaté d'une consultation chez un vétérinaire comportementaliste est compris entre 90 et 150€.
L'éducation du chiot doit débuter le plus tôt possible, c'est-à-dire dès son arrivée dans son nouveau foyer, à partir de l'âge de 2 mois. Dès le début et chaque jour, votre animal doit comprendre et apprendre ce qu'il a le droit de faire et ce qu'il n'a pas le droit de faire, mais aussi ce que vous attendez de lui.
La séance d'éducation canine dure entre 1 et 2 heures et, entre deux rendez-vous, les maîtres ont des exercices à faire avec leur chien. Si les exercices sont acquis par le « binôme maître-chien », nous passons à d'autres apprentissages.
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
Pour sa punition, vous pouvez le mettre dans votre garage (s'il n'y a aucun objet rangé), dans les toilettes… Une pièce pauvre en stimulations lui permettra de comprendre qu'il a eu un mauvais comportement. Pour des bêtises qui sont peu graves, vous pouvez juste ignorer votre chien.
Fortement attaché à son maître, le chien lui fait preuve d'une fidélité hors norme et essaie par tous les moyens de lui faire plaisir. Cependant, cet attachement ne doit pas être excessif sous peine de le rendre malheureux jusqu'à le rendre fou quand il est seul.
Le chien partenaire n'a pas à avoir un ou plusieurs « maîtres » dans la famille, parce que le mieux pour lui est de n'en avoir aucun. Tout au contraire, il pourra développer avec chacun des membres autant de « relations partenaires » plus ou moins spécifiques ! Pour le plus grand bonheur de tous, le sien y compris !
L'hyperactivité, la peur, l'anxiété, la dépression sont autant de maux qui altèrent les capacités d'obéissance d'un chien. Tant qu'il souffrira de ce trouble, il répondra difficilement aux ordres de son maître, non parce qu'il ne le veut pas mais parce qu'il ne le peut pas.
Choisissez les zones appréciées par l'animal : l'avant du cou, le dessus de la tête, la nuque, le dos les flancs... Chaque chien a des zones plus ou moins sensibles, tout comme le maître aime caresser certains endroits et pas d'autres." Plus que les mots prononcés, c'est surtout l'intonation qui est importante.
L'exemple qui me vient immédiatement en tête est celui de la friandise. Si vous avez demandé plusieurs fois le “assis” à votre chien alors qu'il connaît la position et qu'il ne veut pas la faire. Et qu'au bout de plusieurs fois vous lui sortez une friandise, vous récompensez alors son “attente”.