La conjonction de subordination est l'une des deux sortes de conjonctions. Elle sert à enchâsser une subordonnée dans une phrase. J'aimerais que le soleil se couche plus tard.
Une conjonction de subordination peut être formée d'un ou de plusieurs mots : un mot : Exemple : que, comme, si, quand, lorsque, puisque, quoique ; plusieurs mots (locution conjonctive) : Exemple : avant que, alors que, pour que…
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
Repérer la conjonction de subordination
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Liste des principales conjonctions de subordination simples : que, si, comme, lorsque, quand, quoique, puisque. Liste des principales locutions conjonctives (conjonctions composées) : afin que, de sorte que, pendant que, parce que, dès que, tandis que, après que, avant que, de peur que.
La conjonction de subordination la plus fréquemment utilisée pour enchâsser une subordonnée complétive dans une phrase est que. J'ai récemment appris que Michelle était enceinte. Félix est heureux que son idée ait été bien accueillie. Qu'il ait lu ce roman en une seule journée ne me surprend pas.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Exemple : Christine est en vacances mais son mari est resté à la maison. Il y a un moyen mnémotechnique pour retenir les conjonctions de coordination plus facilement : la phrase Mais où est donc Ornicar ? pour mais, ou, et, donc, or, ni, car.
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
Les conjonctions de subordination sont des mots qui servent à relier une proposition subordonnée à une proposition principale en établissant la subordination de l'une à l'autre. Pour illustrer tout cela, voici quelques exemples : Il s'est mis à pleuvoir lorsqu'il s'est mis à chanter.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » est une phrase mnémotechnique permettant aux locuteurs francophones de retenir les conjonctions de coordination du français : mais, ou, et, donc, or, ni, car.
Adverbes et conjonction de coordination exprimant la conséquence. Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
La conjonction peut être simple ou complexe. Elle est simple lorsqu'elle est formée d'un seul mot. Elle est complexe (ou composée) lorsqu'elle est formée de deux ou plusieurs mots.
Quand deux propositions sont subordonnées, elles sont liées par un mot subordonnant : -pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où, etc. -conjonction de subordination : que, quand, lorsque, si, puisque, parce que, tandis que, etc. exemple : Il mangeait parce que c'était l'heure du dîner.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
Les conjonctions de coordination, dites aussi « copulatives », servent à exprimer un lien logique entre les mots, groupes de mots ou deux propositions qu'elles relient. La phrase Mais où est Ornicar ? contient, à l'oral, toutes ces conjonctions (mais, ou, et, or, ni, car) et permet donc de les mémoriser facilement.
Conjonctions typiquement suivies du subjonctif :
que (après vouloir, douter, falloir, etc.), afin que, pour que, bien que, malgré que, sans que, à moins que, avant que, pourvu que, jusqu'à ce que, de crainte que, de peur que.
Définition. La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).