Le taux d'ouverture d'une économie mesure la place que tient le reste du monde dans l'économie d'un pays. Il mesure le niveau de la contrainte extérieure et s'évalue par de multiples éléments significatifs et informatifs du degré d'échange d'une économie avec le reste du monde.
L'ouverture d'une économie se traduit par une forte progression de ses échanges avec l'étranger et son interdépendance avec le reste du monde. Le degré d'ouverture d'une économie est mesuré par le rapport de la valeur des échanges extérieurs au PIB. Tous les pays ne sont pas ouverts sur l'extérieur de manière égale.
C'est un indicateur de la mesure des échanges extérieurs d'un pays. Il indique la dépendance du pays vis-à-vis de l'extérieur. La formule de calcul est la suivante : [(Exportations + Importations) /2] / PIB) x 100.
Le calcul du degré d'ouverture s'effectue en divisant la moyenne des importations et des exportations par le PIB du pays. On multiplie généralement le chiffre par 100 afin d'obtenir un pourcentage. Tous les secteurs économiques ne sont pas ouverts à l'international de manière équivalente.
Le taux d'ouverture correspond à la part d'échanges internationaux dans une économie. Il s'obtient en additionnant le montant des exportations et des importations d'un pays, que l'on divise par 2 puis par le PIB de ce pays, le tout multiplié par 100.
Pour la France le degré d'ouverture se situe depuis le début des années 2000, entre 21 % et 28 %.
Taux d'ouverture : indicateur du degré d'insertion d'un pays dans l'économie mondiale. La manière la plus courante de le calculer est de faire la moyenne des exportations et des importations divisée par le PIB.
Ces gains limités de l'ouverture commerciale sont de plus en plus inégalement répartis : les travailleurs les moins qualifiés sont ceux qui en bénéficient le moins. La répartition des richesses devient d'autant plus inégalitaire que le pouvoir de négociation des salariés s'amoindri.
A- Définition de l'ouverture commerciale
Elle englobe une dimension tant bien culturelle qu'économique. Appliquée au champ de l'économie, elle désigne le résultat d'un processus visant à réduire les barrières aux échanges économiques entre nations.
Pourquoi l'ouverture des marchés est un enjeu majeur
Les économies relativement ouvertes connaissent une croissance plus rapide que celles qui sont relativement fermées et les entreprises qui prennent part aux échanges présentent en général des salaires plus élevés et de meilleures conditions de travail que les autres.
Effet de l'ouverture aux échanges.
Ainsi, si le prix relatif mondial des biens manufacturiers est supérieur au prix relatif d'autarcie, l'ouverture aux échanges conduit à une augmentation du prix p pour la petite économie et à une diminution du niveau d'utilité indirecte du consommateur représentatif.
Dans le Larousse, l'entrée « extraversion » renvoie à « extraverti » au sujet d'une économie dont la croissance s'appuie sur l'intensification des échanges internationaux.
Les termes de l'échange sont le rapport, pour un produit donné, entre l'indice du prix des exportations et celui des importations, indices exprimés selon une même année de base.
Economie fermée : économie sans rapport économique avec les autres pays → pas d'exportations, pas d'importations et pas de flux de capitaux. Economie ouverte : économie ouverte au reste du monde. Une économie ouverte entre en relation avec les autres pays de deux façons : a) Achats et ventes de biens et services.
Une économie fermée est une économie qui vit en autarcie et par conséquent qui pratique l'autoproduction. Dans la pratique, aucune économie n'est complètement fermée car aucun État ne possède les moyens de satisfaire tous ses besoins.
les moyens matériels d'existence de l'homme ; les systèmes d'échange quelle que soit leurs structures ; l'allocation des moyens rares.
L'indicateur d'ouverture le plus couramment utilisé est le coefficient d'ouverture. Il s'agit pour un pays i à la période t du rapport entre la valeur des exportations (Xi,t) et des importations (Mi,t) de marchandises et de services (divisée par deux) et rapporté au produit intérieur brut (Yi,t).
Le commerce international a permis de réduire les inégalités entre pays : la hausse du niveau de vie de la Chine et le rapprochement avec celui des pays développés. Comme on l'a vu et rappelé, une insertion réussie dans le commerce international permet la croissance économique et une hausse des revenus.
Le libre-échange permet d'augmenter les débouchés. Les entreprises ont la possibilité de conquérir de nouveaux marchés et de réaliser des économies d'échelle (baisse du coût unitaire d'un produit lorsque les quantités produites augmentent).
Pour un pays, c'est le fait de s'ouvrir aux échanges internationaux, en particulier de marchandises.
Parmi les nombreux indicateurs économiques très souvent utilisés figurent en premier lieu le Produit intérieur brut (PIB), dont on surveille le taux de croissance afin de mesurer la croissance économique, et le Produit national brut qui permet de comparer les puissances économiques des différentes nations.
Si les taux d'intérêt sont aujourd'hui très bas en France, les causes en sont largement mondiales et européennes : politique monétaire, ralentissement de la productivité, excès de demande pour les actifs « sans risque ».
Le taux d'intérêt correspond donc au prix que la banque vous facture pour vous prêter de l'argent. Cela fonctionne dans les deux sens : la banque vous verse également des intérêts sur votre épargne, lorsqu'elle « emprunte » votre argent.
Voici les indicateurs de référence pour analyser vos taux de réactivité : Faible taux de réactivité : inférieur à 10 % Taux de réactivité moyen : entre 10 % et 20 % Fort taux de réactivité : supérieur à 20 %