La première séance, Q1, dure 18 minutes. Seuls les quinze pilotes les plus rapides ont accès à la seconde séance, Q2, qui dure un quart d'heure. Les dix meilleurs peuvent enfin disputer la Q3 (anciennement appelée « super pole ») pendant 12 minutes.
Les qualifications
En Q1, les pilotes ont 18 minutes pour réaliser leur meilleur temps. Les cinq moins rapides sont éliminés. Les 15 qualifiés disputent la Q2 pour 15 minutes. Seuls les 10 plus rapides ont le droit de disputer la Q3, d'une durée de 12 minutes.
Elles sont divisées en trois sessions distinctes : Q1, Q2 et Q3. Q1 – La durée est de 18 minutes. Tous les pilotes sont tenus d'enregistrer un temps qui les place dans les 15 premiers. La zone entre le seizième et le vingtième est appelée“zone d'élimination“.
D'une durée totale de 16 minutes, 22 pilotes au départ, 7 sont éliminés pendant cette partie, 15 passent en Q2. Au bout des 7 premières minutes, le pilote le plus lent est éliminé. Toutes les 1 minute 30 secondes, le pilote le plus lent à ce moment T est éliminé, jusqu'à la fin des 16 minutes.
Les voitures de Formule 1 vont affronter ce week-end le circuit qu'on surnomme le « temple de la vitesse », l'Autodromo di Monza, situé près le Milan, scène du prestigieux Grand Prix d'Italie.
Le circuit de Spa-Francorchamps est situé à Francorchamps, dans la province de Liège, en Belgique. Il accueillera le championnat du monde du 26 au 28 août prochain. Il fait partie des circuits légendaires des sports automobiles, ce qui explique son statut de “plus beau circuit du monde”.
Le pilote doit se trouver à moins d'une seconde derrière son adversaire en franchissant la ligne de détection, être dans le troisième tour de course, rouler dans des conditions de piste sèche et que la course ne soit pas neutralisée. Les aléas de la course conditionnent l'activation du DRS.
Les dix meilleurs peuvent enfin disputer la Q3 (anciennement appelée « super pole ») pendant 12 minutes. Qualifications : La séance de qualifications a généralement lieu la veille de la course et se déroule en trois temps. Elle détermine l'ordre des voitures sur la grille de départ.
Mais avec lui est réapparu l'effet dit de «marsouinage». Ce phénomène fait osciller violemment la voiture de haut en bas comme un marsouin à la surface de la mer.
Avec ce format, les qualifications classiques (contre-la-montre) sont avancées du samedi au vendredi. Leur résultat définit la grille de départ d'une course sprint d'environ 100 km (soit 30 minutes) le samedi, dont le classement détermine à son tour la grille du Grand Prix (de 300 km) le dimanche.
Pour faire simple, la Q1 est une sorte de "repêchage" qui donne la chance à deux pilotes de rejoindre la Q2 en fonction de leurs chronos. En Q2, on retrouve donc les 10 pilotes du classement libre des 3 essais auquel s'ajoute deux pilotes de Q1 ayant réalisés les meilleurs temps en Q1.
S'il n'y a aucune femme pilote en Formule 1 aujourd'hui, ce n'est donc pas parce qu'elles manquent de talent ou de compétentes, mais parce qu'un petit groupe d'hommes qui contrôlent le spectacle ne les accepte pas. Nous sommes en 2022 et le monde dans son ensemble évolue vers plus d'égalité.
Rappel des règles : à l'issue des 3 séances d'essais libres, les 10 pilotes MotoGP les plus rapides (les 14 en Moto2 & Moto3) sont qualifiés pour la Q2, « finale » de la qualification. Les autres vont en Q1, où les 2 meilleurs gagnent un ticket pour la Q2 (les 4 meilleurs en Moto2 & Moto3).
Les autres vont en Q1, où les 2 meilleurs gagnent un ticket pour la Q2 (les 4 meilleurs en Moto2 & Moto3). Cela fait donc 12 pilotes en Q2 en MotoGP, 18 en Moto2 & Moto3. Le classement de la Q2 définit celui de la grille de départ pour les pilotes concernés.
Terme souvent employé pour désigner le 1er trimestre (quarter 1), le deuxième trimestre, le troisième trimestre et le quatrième trimestre lors de la publication des résultats des entreprises.
le premier quartile (noté généralement Q1) est le salaire au-dessous duquel se situent 25 % des salaires ; le deuxième quartile est le salaire au-dessous duquel se situent 50 % des salaires ; c'est la médiane ; le troisième quartile (noté généralement Q3) est le salaire au-dessous duquel se situent 75 % des salaires.
Mercedes : plusieurs raisons à sa chute, selon Marko. Oui, Mercedes a clairement un handicap moteur en Formule 1, désormais. Les piètres prestations de ses partenaires, Aston Martin, Williams et Mclaren, n'étant pas une coïncidence. Mais outre ce facteur, la formation de Brackley souffre aussi du marsouinage.
Ainsi, quand les monoplaces s'affaissent trop, les flux d'air autour d'elles se séparent, la pression baisse et la voiture se rehausse, l'effet de succion reprend et ainsi de suite, jusqu'à ce que le pilote freine. Outre la vitesse, les conditions, comme le vent de face, déclenchent aussi le phénomène.
Une monoplace de Formule 1 en virage et en accélération peut générer jusqu'à 6G de force gravitationnelle : une pression qui se répercute en conséquence sur le corps du pilote, un peu comme les Top Guns de l'armée de l'air. Cela suffit pour exiger une préparation physique extraordinaire.
F1 : le phénomène dirty air
Depuis des années, les pilotes et les ingénieurs se plagnaient d'un drôle de phénomène baptisé le « dirty air ». Cet « air sale » se formait derrière les bolides. Il était produit par les appuis aérodynamiques en virage.
Définition. L'undercut est une technique pratiquée en Formule 1. Elle permet de dépasser le pilote qui précède en utilisant une stratégie durant le pitstop, en dehors de la piste, en entrant avant le pilote qui précède.
L'enclenchement du DRS est réalisé sur le volant de F1 au moment propice. L'utilisation du DRS est cependant régie par un certain nombre de conditions. Le pilote peut activer le mécanisme de réduction de la traînée lorsque : Il se trouve à moins d'une seconde d'un autre pilote qui le précède dans la ligne de détection.
Il s'agit du DRS, pour Drag Reduction System (système de réduction de traînée). L'idée est simple : dans une ligne droite, en abaissant l'aileron de la voiture, il est possible de gagner de nombreux km/h, et favoriser les dépassements.
Le Système de réduction de la traînée (en anglais Drag Reduction System, ou DRS), est un dispositif mobile monté sur l'aileron arrière d'une monoplace permettant de réduire la traînée aérodynamique au détriment de l'adhérence au sol.