En effet, un moteur-fusée fonctionne parfaitement dans le vide. En fait, tous les moteurs d'avion utilisent le principe de réaction. Deux types de moteurs sont souvent utilisés : le statoréacteur et le turboréacteur. Le moteur le plus simple est le statoréacteur, car il ne présente aucune partie tournante.
Les ailes sont fixées à l'avion à un angle de 5 à 10 degrés. Elles sont plates à la base et arrondies sur le dessus. Lorsque l'air frappe l'avion, il est dévié autour de l'aile, étirant les molécules d'air qui se précipitent sur le dessus.
Quand l'air frappe les ailes de l'avion, il change de direction : il est dévié vers le bas. L'aile exerce une force et pousse l'air vers le bas. En réaction, l'air exerce une force dans le sens opposé et pousse l'aile vers le haut : ça la fait monter. C'est aussi grâce à ça que l'avion s'élève et peut rester en l'air.
Poussée + Portance > Poids + Traînée
Lorsque la poussée est supérieure à la traînée, le déséquilibre des forces permet à l'avion d'accélérer. De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
La portance est la force. principale permettant le décollage d'un avion.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Une fois à haute altitude et positionné sur son plan de vol, l'avion atteint sa vitesse de croisière. Vous n'avez donc plus cette sensation d'écrasement, tout simplement parce que votre corps se déplace désormais à la même vitesse que l'avion.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Cette lenteur est due au coût du kérosène. Conformément aux lois de la physique, une augmentation de la traînée équivaut au carré de l'augmentation de la vitesse, si bien qu'un avion qui accélère un peu plus requiert un important supplément de carburant.
L'avion descend sur une pente finale stabilisée à la vitesse d'atterrissage. Près du sol le pilote « arrondit » c'est-à-dire qu'il cabre l'avion pour réduire la pente de descente afin de venir tangenter le sol. En même temps, il réduit complètement la puissance des moteurs.
L'avion fait-il réellement du surplace? «Il s'agit d'une illusion d'optique » a-t-il expliqué au Daily Mirror. Celle-ci surviendrait quand deux avions ont la possibilité d'atterrir en même temps et que l'un d'entre eux bouge plus lentement.
En aviation, le calcul de l'itinéraire prend en compte plus de variables. C'est pour cela que les avions ne volent pas en ligne droite.
Plus simplement, pour qu'un avion vole, il y a besoin de trois choses : d'air, de beaucoup de vitesse et de deux ailes. L'air qui s'engouffre très vite dans les ailes fait décoller et voler l'avion. Si on accélère de l'air au-dessus de l'aile, on fait une dépression. Dans ce cas, l'aile est aspirée et elle monte.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Malgré le poids d'un avion, oui ils sont bien cables de flotter, et même un long moment si celui-ci n'a pas subit trop de dommages. Dans le cas contraire, et surtout si de l'eau parvient à s'infiltrer dedans, son temps de flottaisons sera réduit considérablement!
Pourquoi un avion ne peut pas atterrir ? Il existe plusieurs raisons pour lesquelles un avion ne peut pas atterrir. Les conditions météorologiques sont parmi les plus courantes. Par exemple, un vent arrière supérieur à 5 nœuds peut empêcher un avion d'atterrir sur certaines pistes.
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
Un avion sombre se réchaufferait beaucoup plus, ce qui obligerait la climatisation à travailler plus fort. Cependant, plus le système de climatisation fonctionne, plus l'avion consomme du carburant - ce qui est coûteux et mauvais pour l'environnement. C'est la deuxième raison de la couleur blanche."
Cependant, comme c'est toujours le cas face à l'inconnu, il est normal que les passagers aient peur et souffrent même de vertiges. Nous ne devons pas avoir peur des turbulences, car les avions sont conçus pour résister aux turbulences les plus agressives.
Parce que le Pacifique est très large, et les États-Unis aussi. La distance entre New York et Hong Kong est de 12970km en passant par l'Ouest, et 13200km en passant par l'Est. C'est quasiment la même chose.
Les turbulences ne présentent aucun risque pour les avions : juste un moment désagréable à passer. Les turbulences réveillent des peurs qui n'ont aucune raison d'être. On peut croire que l'avion risque de se casser ou qu'il risque de tomber jusqu'au sol, mais il n'en est rien.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Vol China Airlines 140
Cette catastrophe aérienne implique, comme la précédente, un Airbus A300.
Si vous vous trouvez juste avant ou juste derrière les ailes, vos chances de survie s'élèvent à 56%. Quelles langues parlez-vous? Enfin, les personnes assises à l'arrière ont environ 70% de chances de s'en sortir.