La voie pyramidale tire son nom des neurones spécifiques situés dans le cortex de l'
Ce changement de côté, ou décussation, s'effectue juste avant la jonction entre le bulbe rachidien et la moelle épinière. C'est cette décussation de la voie pyramidale qui explique pourquoi des blessures ou des accidents cérébro-vasculaires d'un côté de la tête cause souvent une paralysie de l'autre côté du corps.
Les voies extrapyramidales sont, comme leur nom l'indique, non pyramidales. Ce sont des voies nerveuses motrices INVOLONTAIRES, reproduisant à peu près le même schéma que la voie pyramidale mais avec des systèmes de relais plus complexes. Le principe est que tout ce qui n'est pas pyramidal est extrapyramidal.
Le symptôme principal d'un syndrome pyramidal est la faiblesse motrice, dont l'intensité est variable d'un patient à un autre. Elle peut être qualifiée de paralysie, d'ankylose, de lourdeur, de mauvais équilibre, etc. Toutes les activités du quotidien sont impactées.
Le syndrome pyramidal se caractérise par l'association de signes déficitaires (traduisant l'atteinte du faisceau cortico-spinal) et de signes de spasticité(liés à la libération d'activités motrices réflexes normalement inhibées par la voie cortico-spinale).
Prévention et traitement
Le traitement varie selon la localisation de la lésion nerveuse et sa cause. Plusieurs médicaments sont utilisés pour traiter la spasticité des muscles. On traite aussi celle-ci avec des injections intramusculaires de toxine botulique.
Des exercices d'étirement spécifiques de la hanche postérieure et du piriforme peuvent être bénéfiques. La chirurgie est rarement nécessaire. Une injection de corticostéroïdes soigneusement dirigée près de l'endroit où le muscle piriforme croise le nerf sciatique est souvent bénéfique.
Ce sont des contractions involontaires des muscles, entraînant raideur et position crispée. L'opisthotonos en est une illustration spectaculaire et connue, la contraction ici se porte sur les muscles de la nuque et du dos, incurvant le corps en arrière.
La spasticité correspond à une raideur musculaire involontaire, le plus souvent retrouvée au niveau de certains muscles présentant un déficit moteur. La spasticité se caractérise par une très grande variabilité dans le temps, son intensité peut varier de façon importante au cours de la journée.
Un Babinski positif signe une atteinte du tronc cérébral et/ou une atteinte de la voie pyramidale. Attention cependant, chez l'enfant, le Babinski peut être positif jusqu'à l'âge d'un an. Cette réaction est physiologique et témoigne de l'immaturité relative du système nerveux encore en développement de l'enfant.
Le cortex moteur
Le contrôle des mouvements volontaires des différentes parties de notre corps y revient au « cortex moteur », situé dans le lobe frontal. Si cette zone est détruite, par exemple à la suite d'un accident cérébro-vasculaire, le sujet sera paralysé, incapable d'initier le moindre mouvement.
Nom commun. (Anatomie) Partie du tronc cérébral reliée au cerveau, formé des deux pédoncules cérébraux, du tegmentum et du tectum.
Position. Le tronc cérébral prend naissance sous le cerveau au sein de la boîte crânienne et passe à travers le trou occipital. Il rejoint ensuite la partie supérieure du canal vertébral où il est prolongé par la moelle épinière (1).
Il existe plusieurs sortes de neurones pyramidaux en fonction de leur localisation : les neurones pyramidaux du néocortex : ils peuvent se trouver dans les couches III ou V ; les neurones pyramidaux de l'hippocampe : ces neurones sont en contact avec des cellules de l'hippocampe et du cortex.
On retrouve aussi des nerfs moteurs qui acheminent l'influx nerveux du SNC aux muscles ou aux glandes. Parfois, des nerfs sensitifs et moteurs peuvent être regroupés dans de plus gros nerfs que l'on appelle alors nerfs mixtes.
Nom commun. (Anatomie) Entrecroisement de structures anatomiques. (Anatomie) (En particulier) Croisement des fibres nerveuses au niveau de l'axe cérébrospinal qui fait que certaines parties du corps sont commandées par la moitié opposée du cerveau.
L'arnica : la meilleure alliée contre les douleurs musculaires. Reconnue pour ses propriétés antalgiques, l'arnica est une plante recommandée dans le traitement des douleurs musculaires. Elle a, en effet, une action décontractante et relaxante. Elle a également des bénéfices anti-inflammatoires.
La spasticité prend d'abord la forme d'une raideur puis elle peut provoquer des contractures musculaires (contraction involontaire d'un certain nombre de fibres musculaires), invalidantes pour ceux qui en souffrent et qui peuvent être douloureuses.
Durant les poussées, elles prennent la forme de fourmillement, brûlure, décharges électriques. Par exemple, chez un patient, ce sera une douleur similaire à une sciatique, au bas du dos et le long de la jambe. Chez un autre, ce sera une gêne au niveau de l'œil, provoquée par une névrite optique.
La maladie de Parkinson représentant la forme la plus caractéristique du syndrome extrapyramidal, les syndromes extrapyramidaux y sont associés à tort et l'expression « syndromes parkinsoniens » est souvent utilisée pour désigner les syndromes extrapyramidaux en général.
Prise de température. Hydratation, veiller à couvrir ou décou- vrir. Sécheresse buccale. Hypersalivation.
Les antipsychotiques, et en particulier ceux dits classiques, ont de nombreux effets indésirables : constipation, somnolence (plus marquée en début de traitement), troubles de l'accommodation, vision floue, sécheresse de la bouche, hypotension orthostatique, rétention d'urine, irrégularité des règles, troubles sexuels, ...
Si votre nerf sciatique est comprimé par un muscle de la fesse (le piriforme), et que la douleur descend dans la jambe, vous pouvez dormir sur le ventre, avec la cuisse ouverte sur le côté en grenouille afin de décharger les tensions du nerf sciatique.
Prenez votre genou droit avec votre main droite, votre cheville droite avec votre main gauche et amenez lentement vos genou vers votre épaule gauche jusqu'à ce que vous sentiez un étirement dans la fesse. Tenez pendant 30 secondes et revenez lentement à la position initiale. Répétez 2 ou 3 fois. Faites les deux côtés.
Les causes d'une douleur à l'arrière de la cuisse
Les causes les plus probables sont : La douleur sciatique, qui correspond à une compression du nerf sciatique au niveau de la colonne vertébrale. Une blessure musculaire au niveau des ischio-jambiers. Une tendinite des ischio-jambiers, aussi appelée tendinite du bassin.