Le réchauffement du corps est permis principalement par la thermogenèse. Toutefois, les rayons du soleil reçus par le corps le réchauffent également. Le corps produit de la chaleur grâce à la thermogenèse. Le corps reçoit des rayons infrarouges solaires par radiation.
Nous produisons de la chaleur : c'est la thermogenèse (production interne d'énergie thermique). Elle représente la principale source d'apport d'énergie thermique à l'organisme.
L'hypothalamus est le centre de contrôle de la thermorégulation. C'est là que se trouvent des récepteurs sensibles à la température (thermorécepteurs) qui enregistrent la température du noyau central. L'hypothalamus reçoit des informations complémentaires des thermorécepteurs de la peau et de la moelle épinière.
Chez l'être humain
La glande responsable de sa régulation est le tronc cérébral, et en particulier la région thermostatique de l'hypothalamus. Pendant les périodes de repos, elle est produite majoritairement par le cœur, le foie, le cerveau, les reins et les organes endocriniens.
la chaleur excessive (épisode caniculaire) ; une exposition prolongée au soleil (on parle aussi d'insolation) ; la pratique d'une activité physique intense ; un épuisement dû à la chaleur.
Les hormones, par exemple. Selon la période de leur cycle menstruel, la température du corps des femmes augmente. La faute aux œstrogènes, notamment. À la ménopause, d'ailleurs, des carences de cette hormone sont à l'origine de bouffées de chaleur.
Parfois, quand on est fatigué. e, on peut ressentir des sensations de fièvre sans température. Lorsque le corps est fatigué, la thyroïde, qui participe à la régulation de la température corporelle, ralentit, abaissant alors la production de chaleur dans le corps.
La circulation sanguine modifiée par le repas
Il est vrai que la digestion entraîne une hausse de la température corporelle: ce processus provoque un afflux de sang vers l'abdomen et peut donc faire légèrement augmenter la température.
Les bouffées de chaleur sont une sensation de chaleur au niveau du visage, du cou et du buste, qui s'accompagnent de sueurs nocturnes et/ou diurnes. Les bouffées de chaleur sont liées à un déséquilibre hormonal et apparaissent souvent à la ménopause et durant les règles lorsqu'il y a un déficit d'œstrogènes.
En outre, contrairement à la croyance populaire, les personnes à la peau foncée ne sont pas immunisées contre les maladies liées à la chaleur. Les principales maladies liées à la chaleur sont les crampes de chaleur, l'épuisement par la chaleur (ou choc thermique) et, la plus grave, le coup de chaleur (ou insolation).
Quand le thermomètre chute, notre corps doit également faire des efforts afin de se réchauffer. Or, l'hiver nous sommes souvent particulièrement couverts. Pour éviter la surchauffe, l'organisme laisse donc la sudation s'évacuer par la peau et les pores.
Avant tout, il est question d'horloge interne. En effet, la température du corps augmente et baisse toute la journée selon les activités, sur 24 heures soit un rythme circardien. Selon ces variations, notre cerveau ressent un besoin de sommeil et d'éveil.
Cela peut se faire par vaporisation d'eau froide, en buvant de l'eau froide, par l'utilisation de ventilateurs, etc. L'acclimatation à la chaleur se réfère à l'adaptation physiologique qui améliore la capacité du corps à faire face à l'exposition à la chaleur.
L'hypothalamus, par l'intermédiaire d'une zone dénommée centre préoptique, est le principal centre thermorégulateur. Il reçoit par voie nerveuse les informations sur la température cérébrale, cutanée, et la température du sang grâce à des thermorécepteurs, situés dans la peau, le cerveau et les vais- seaux sanguins.
Les aliments constituent la source d'énergie du corps humain. Les aliments consommés sont transformés lors de la digestion en nutriments. Les nutriments sont les substrats des métabolismes énergétiques que sont la respiration cellulaire et les fermentations.
Depuis au moins vingt ans, les chercheurs savent qu'en réalité, la température moyenne de notre corps est plus faible, à environ 36,5 °C, et que toute température comprise entre 35,7 et 37,3 °C peut être considérée comme normale.
Les personnes âgées ont quant à elles un hypothalamus (partie du cerveau qui joue un rôle dans la régulation des fonctions vitales) vieillissant, ce qui fragilise leurs capacités à s'adapter face à la chaleur.
En effet, un taux de sucre trop bas dans le sang provoque des bouffées de chaleur car cet état physiologique entraîne une sécrétion par l'organisme d'une substance qui augmente la transpiration afin de contrer le manque de sucre.
Avec l'âge, la transpiration se fait de moins en moins et avec le surpoids, «l'organisme est déjà en surchauffe». L'alimentation a elle aussi son rôle à jouer car plus nous mangeons des plats copieux et gras, plus la digestion va demander un effort supplémentaire et consommer davantage d'énergie.
En cas de fortes chaleurs, notre thermorégulation se fait moins bien la nuit venue, ce qui perturbe cette horloge. En clair, notre corps, qui reçoit le signal qu'il fait chaud, ne comprend pas qu'il faut s'endormir puisque notre température corporelle est trop élevée.
À partir de quelle température faut-il s'inquiéter ? La fièvre se définit comme une élévation de la température du corps au-dessus de 37,5°C le matin et 37,8°C le soir, chez un sujet au repos et à jeun depuis plus de 2 heures.
Ainsi, et contrairement aux croyances populaires, il n'existe pas de température basale normale. En outre, la température corporelle d'une personne en bonne santé variera selon l'intensité de l'activité physique et le moment de la journée.
Le stress et l'anxiété peuvent provoquer la sensation d'une fièvre, étant noté des frissons qui sont souvent décrits comme des frissons le long de la colonne vertébrale. Ce phénomène est considéré comme une réponse à un événement psychologique et disparaît lorsque l'émotion s'estompe.
La maladie de Still de l'adulte, ou débutant à l'âge adulte, aussi appelée syndrome de Wissler-Fanconi, est un rhumatisme inflammatoire rare, caractérisé principalement par des pics de fièvre au cours desquels surviennent des éruptions cutanées, accompagnés ou non de douleurs articulaires.
Un manque en vitamine B12 peut donc conduire à une diminution de l'apport en oxygène vers les extrémités du corps, provoquant une sensation de froid, en particulier au niveau des mains et des pieds.