La dépendance psychologique est liée aux effets procurés par la substance ou le comportement et au contexte qui l'entoure. Elle est influencée par plusieurs facteurs comme la personnalité de la personne, ses habitudes de vie ou encore son cercle social.
L'environnement social, les traumatismes et la comorbidité peuvent aussi causer une dépendance à l'alcool ou aux drogues. La comorbidité ou les troubles concomitants représentent l'existence, simultanée ou non, d'une dépendance et d'un trouble de santé mentale.
Les addictions les plus fréquentes sont celles relatives aux substances psychoactives réglementées (tabac, alcool...), détournées de leur usage (médicaments, poppers, colles, solvants…) ou illicites (cannabis, cocaïne, ecstasy...).
Dépendance : Définie dans le DSM IV comme une tolérance accrue, une consommation compulsive, une perte de contrôle et un usage continu malgré des problèmes physiques et psychologiques causés ou exacerbés par la substance.
Il existe deux types d'addictions :
Des addictions liées à des produits : tabac, alcool, médicaments ou drogues. Des dépendances non liées à des produits : dépendance au travail , aux jeux, à Internet, au téléphone, au sport…
Le degré de dépendance est évalué à l'aide de la grille AGGIR, aussi utilisée pour fixer l'APA. Mesurer la perte d'autonomie (groupe GIR) permet de mettre en place une prise en charge adaptée aux besoins de la personne âgée. Seuls les GIR 1 à 4 ouvrent droit à l'allocation personnalisée d'autonomie.
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau, comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
La dépendance – qualifiée aujourd'hui de perte d'autonomie – se dit de "l'état de la personne qui, nonobstant les soins qu'elle est susceptible de recevoir, a besoin d'être aidée pour l'accomplissement des actes essentiels de la vie ou requiert une surveillance régulière" (art. 2 de la loi du 24 janvier 1997).
État, situation de quelqu'un, d'un groupe, qui n'a pas son autonomie par rapport à un autre, qui n'est pas libre d'agir à sa guise : Dépendance financière.
Pour sortir de la dépendance émotionnelle et vivre une relation saine et durable, tu dois d'abord faire un travail de confiance en soi pour apprendre à t'aimer. On ne peut pas aimer l'autre de manière saine si on ne s'aime pas soi-même. S'aimer suffisamment et se concentrer sur soi.
Le sevrage brutal (cold turkey) dure de 5 à 15 jours, en fonction de la dose pour l'héroïne, l'oxycodone, l'hydromorphone et la morphine. Pour ce qui est de la méthadone, en cas de sevrage du jour au lendemain, les effets de sevrage peuvent durer jusqu'à deux mois.
L'OMS a estimé que 2 milliards de personnes avaient consommé de l'alcool en 2002 et que plus de 3 millions de personnes sont mortes des suites d'une consommation excessive en 2012. L'alcool a également été classé comme la substance la plus dangereuse au monde par d'autres experts.
L'alcool. Tandis que la cure de désintoxication de drogues est plus éprouvante sur le plan psychologique, dans la plupart des cas, celle de l'alcool est en général plus difficile sur le plan physique.
On distingue cinq formes d'autonomie : physique, psychologique, économique, sociale et juridique. Capacité à pouvoir réaliser tous les gestes permettant l'indépendance dans la vie quotidienne.
Elle peut développer des troubles de santé graves comme une psychose, la schizophrénie ou une dégénérescence du système nerveux central. La dépendance est une maladie hétérogène, c'est-à-dire qu'elle est constituée de plusieurs éléments différents.
L'alimentation : Se nourrir et boire seul. La toilette : Laver l'ensemble du corps seul. L'habillage : S'habiller ou se dévêtir sans aide. La continence : Assurer l'hygiène de l'élimination.
La perte d'autonomie des personnes âgées s'évalue selon des critères précis. En France, le degré de dépendance est défini par une équipe médico-sociale ou le médecin traitant sur la base de la grille AGGIR (Autonomie, Gérontologie, Groupes Iso-Ressources), qui établit six niveaux de dépendance.
La mesure de la perte d'autonomie permet de situer la personne selon son niveau de dépendance, appelé GIR pour Groupes Iso Ressources. Il existe six GIR classés de 1 à 6. – Le niveau 1, ou GIR 1 correspond à une perte d'autonomie totale. – À l'opposé, le GIR 6, ou niveau 6, correspondant à une parfaite autonomie.
La dépendance est la garantie principale des contrats de prévoyance. Si l'assuré devient dépendant, il perçoit la prestation prévue, soit sous forme de rente mensuelle, soit sous forme de capital. Le versement de la prestation est, le plus souvent, accompagné de services d'assistance.
Quelles sont les conséquences de cette maladie sur l'environnement de la personne atteinte? Sur le plan personnel, la dépendance peut entraîner la perte d'estime de soi, des troubles anxieux, de la dépression et de l'insomnie. Mais ces conséquences peuvent aussi être des causes ou des déclencheurs.
Parmi les principales causes de la perte d'autonomie de la personne âgée, on retrouve la sarcopénie, la dénutrition, les maladies liées à l'âge ainsi que la perte de lien social.
La différence entre perte d'autonomie et dépendance est donc subtile. La perte d'autonomie se réfère à la prise de décision, tandis que la dépendance renvoie à la réalisation d'une action. Dans les deux cas, l'individu a besoin de l'aide d'une autre personne au quotidien.