Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Oralement, les deux structures sont très proches ; elles sont même identiques dans un niveau familier, où « il » est réduit à « i » : « ce qui se passe ». « Qui » est le sujet habituel d'une construction personnelle : « Prends ce QUI te plaît ».
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Bonjour, Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Qui est-ce que ? Les 2 expressions se terminent par « que » ( ou qu'), elles indiquent la fonction complément des 2 éléments recherchés. La première commence par qui -> l'élément recherché est une personne. Qui est-ce que tu écoutes ?
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.
Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
T'es et t'est
T'es est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. T'est est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
Qui est un pronom relatif sujet, qu' (=que) est ici le pronom relatif COD. C'est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne. Le temps qu'il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
Se dérouler, avoir lieu.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Ainsi, le verbe FALLOIR étant un Verbe impersonnel, on écrira toujours CE QU'IL FAUT : – J'ai tout ce qu'il faut pour soigner la joue de David Lemoche. Enfin, dans le langage oral (et surtout familier), on entend souvent : – J'ai tout ce qui faut…
On appelle adverbe (abréviation adv) une catégorie de mot, ou un segment (locution adverbiale) qui s'adjoint à un verbe, à un adjectif ou à un autre adverbe, pour en modifier ou en préciser le sens. Par exemple : rapidement, lentement, courageusement. Par exemple : Ils sont rentrés rapidement.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Mais, ou, et, donc, or, ni, car. Retenez bien cette phrase, et plus jamais vous n'oublierez les sept conjonctions de coordination. Une petite phrase toute simple permet de les retenir : "Mais où est donc Ornicar ?".