L'instruction des filles permet généralement d'accroître leur potentiel de revenu personnel et de réduire la pauvreté dans leur communauté. Selon la Banque mondiale, chaque année d'enseignement secondaire permet aux filles d'accroître leur salaire à l'âge adulte dans une proportion pouvant aller jusqu'à 25 %.
La scolarisation des jeunes filles est un élément essentiel de leur accès à l'autonomie économique et un enjeu majeur de développement. Par l'éducation, elles gagnent en connaissances, ce qui influe par exemple sur la mortalité infantile car une fois mères, elles auront les bons gestes pour leurs enfants.
Éduquer une fille c'est éduquer une nation, parce que la femme est le fondement de toute société. Nous savons que l'éducation est le plus puissant facteur de réduction de la pauvreté dans le monde, capable de mettre fin aux cycles intergénérationnels de désavantages et de booster des économies entières.
Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
La femme est depuis toujours très présente dans le domaine de l'éducation, comme élève ou comme enseignante, mais une analyse de sa participation dans ce secteur montre qu'elle y occupe une position inférieure qui à la fois reflète et contribue à perpétuer l'inégalité de la femme dans la société.
Il s'est agi notamment de réduire ou d'éliminer complètement les frais de scolarité dans les établissements publics en zones défavorisées, de sensibi- liser les écoles aux besoins particuliers des filles, notamment en apportant une aide aux étudiantes enceintes et d'augmenter le nombre d'enseignantes.
Les études constituent un facteur essentiel dans un marché de l'emploi très concurrentiel et de plus en plus globalisé. Les parents estiment qu'un bon cursus doit permettre à l'enfant de devenir autonome et construire une carrière intéressante. À l'école primaire, les compétences générales sont une priorité.
Et pourtant ; chaque année passée par une fille sur les bancs de l'école augmente son futur revenu de 10 à 20 %. La non-éducation des filles est un véritable manque pour le développement des pays. Une année de scolarisation supplémentaire fait progresser le produit intérieur brut (PIB) annuel d'un pays de 0,37 %.
L'école sert à maintenir le cerveau en marche, à acquérir des compétences qui les rendent aptes à apprendre toute leur vie. Vous pouvez expliquer à votre enfant que l'école offre une formation diversifiée. Cela aidera à être polyvalent, à mieux se connaître et à trouver un métier qu'ils aiment.
Pour défendre l'accès à l'éducation des filles, Plan International met en place un environnement : Sûr : les filles doivent se sentir en sécurité sur le chemin de l'école et dans l'établissement qu'elles fréquentent.
1. Former quelqu'un en développant et en épanouissant sa personnalité. 2. Développer une aptitude par des exercices appropriés : Éduquer la volonté.
L'éducation des filles est un catalyseur majeur de développement à la fois humain, sanitaire, économique et social. Retour sur le rapport de l'UNESCO publié en 2013. Si toutes les femmes bénéficiaient d'une éducation de base, 1 million des 6,1 millions d'enfants qui meurent avant l'âge de 5 ans seraient sauvés.
Pour les filles qui abandonnent prématurément l'école, les conséquences sont graves. Selon un rapport de la Banque mondiale, les pertes de productivité et de revenu tout au long de la vie pour les filles n'ayant pas effectué 12 ans d'études sont estimées entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars à l'échelle mondiale.
L'éducation doit permettre aux filles d'avoir pleine conscience de leurs droits, du fait qu'elles doivent être sur un même pied d'égalité que les garçons, et de manière générale aux élèves de questionner leur place au sein de la société, de la famille et l'influence des schémas traditionnels.
Pour éradiquer ce phénomène, les stratégies nécessaires seraient entre autre la mise en place d'une structure de récupération et d'accompagnement des jeunes filles déscolarisées ainsi que l'encouragement aux parents d'envoyer aussi leurs filles à l'école et en fin, valoriser les filles et les femmes qui ont étudié en ...
La pauvreté et le sous-développement sont à la fois une cause et une conséquence de ces inégalités. Et, pour sortir de ce cercle vicieux, l'accent est de plus en plus mis sur l'éducation des femmes et des filles car elles ont un rôle fondamental de « locomotive » dans la société.
Les droits des femmes et des filles sont des droits humains. Ils couvrent tous les aspects de la vie —santé, éducation, participation politique, bien-être économique, absence de violence, parmi beaucoup d'autres.
Étudier ne se limite pas seulement à poursuivre ses études. Étudier, au sens de s'instruire, d'apprendre, d'emmagasiner de l'information, de développer son sens critique, de comprendre le pourquoi derrière la première évidence.
Les résultats scolaires permettent de savoir si un candidat a beaucoup étudié ou pas, alors que la performance à un test d'intelligence montre la capacité d'un individu à apprendre, à raisonner et à penser de façon logique.
Les conséquences de la déscolarisation des filles en situation d'urgence. Au lieu d'être en sécurité à l'école pour construire leur avenir, les filles risquent d'être : Mariées de force et enceintes précocement.
Ces avantages se répercutent d'une génération à l'autre : les filles qui ont reçu une éducation ont des enfants en meilleure santé, moins nombreux et plus instruits. Pour chaque année d'études supplémentaire de la mère, la scolarité de l'enfant augmente en moyenne de 0,32 année.
Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie; p. méton., moyens mis en œuvre pour assurer cette formation.