La raie pastenague.
Elle présente un aiguillon venimeux à la base de sa queue. Le serpent marin : Il est très présent dans les Océans Pacifique et Indien. Il vit généralement près des côtes. Le venin des serpents marins est le plus toxique.
Vives, oursins, méduses : attention aux piqûres d'animaux de mer !
Les vives aiment la chaleur et sont très présentes en Méditerranée et sur la côte Basque. « A Palavas-les-Flots, les sauveteurs sont confrontés à différents types de piqûres : les vives le plus souvent, mais aussi les anémones de mer, les méduses et les oursins.
Des démangeaisons peuvent être liées aucontact avec l'eau. Il s'agit alors de la dermatose aquagénique. Ce type de réaction n'est pas fréquent mais est très handicapant. Cela provoque des démangeaisons insoutenables.
Lorsque la plage est sale, le sable peut être rempli de parasites (poux, puces, puces-chiques, gales) qui peuvent entraîner des maladies de peau, des démangeaisons, des mycoses, etc.
Est-ce que les puces de mer piquent ? La puce de sable a beau être un crustacé et non un insecte, cela ne l'empêche pas de piquer. Ses piqûres sont en général localisées au niveau des pieds, des chevilles et des jambes, et peuvent entraîner de fortes démangeaisons.
On s'intéresse cette semaine à la puce de mer ou talitre. Il saute partout et nous chatouille alors qu'on essaye de piquer un somme. Surnommé l'« éboueur », le talitre joue un rôle essentiel dans l'entretien de la plage.
Le baliste, caractériel mais peu dangereux
Munis de 14 dents en haut et 8 en bas, qui broient coquilles de mollusques ou carapaces de crabes et qui font curieusement penser à celles d'un humain, ils mordent.
Trois espèces de méduses principalement présentes sur les côtes françaises ne sont pas mortelles : les méduses Aurelia (Manche), Rhizostoma (Atlantique), et Pelagia noctiluca (Méditerranée), de loin la plus urticante des trois. Ce sont les tentacules de méduse qui piquent par l'intermédiaire de filaments urticants.
Les méduses, les anémones et les hydraires venimeuses
Les cnidaires sont des espèces possédant des harpons avec des glandes à venin. Les méduses, les anémones de mer et les hydraires (sortes de coraux branchus), que l'on peut retrouver sur nos côtes, font partie de cette famille.
La vive, ce poisson qui pique
La vive est équipée d'un système de défense efficace. Lorsqu'elle se sent menacée, des rayons se dressent sur son dos. À la base de ses rayons, des glandes produisent du venin qui est ensuite injecté chez son attaquant, qui parfois n'est autre qu'un baigneur malchanceux.
En effet, le venin de la méduse est thermolabile : il se se dissout à la chaleur. Le vinaigre constitue aussi une solution, surtout qu'on en trouve assez facilement dans les postes de secours des plages. Il contient de l'acide acétique qui permet de décoller les filaments sans les faire éclater.
Anémones de mer
Rincez la région touchée à l'eau de mer. Si la brûlure persiste, appliquez une pommade apaisante ou une pommade anti-inflammatoire et, si nécessaire, consultez un médecin. Une sensibilisation rapide peut se produire pour les sujets ayant déjà reçu antérieurement du venin.
La douleur est immédiate et intense, elle débute au point de piqûre puis s'étend à tout le membre (jambe le plus souvent chez les baigneurs, bras en particulier chez les pêcheurs). La piqûre provoque des sueurs, des nausées, des vomissements et une lipothymie (angoisse, malaise).
Sur les côtes françaises, le baliste mord les jambes des baigneurs en bords de plage. Peu connu en France, ce poisson d'eau chaude peut se montrer agressif l'été, lorsqu'il se sent menacé.
Depuis plusieurs semaines, un poisson un peu particulier vient mordre les mollets de certains baigneurs dans la mer Méditerranée, entre Cannes et Antibes, rapportent BFMTV et « La Dépêche du Midi ». Son nom : le baliste commun (Balistes capriscus).
Poids & taille
30 à 40 cm de long en moyenne pour un poids pouvant aller jusqu'à 1,6 kg.
La morsure d'araignée est très facile à reconnaître : elle se caractérise par deux petits trous situés l'un à côté de l'autre, dans la peau. En France, les morsures d'araignées, quoique douloureuses car provoquant rougeurs, gonflements et démangeaisons, sont sans danger.
Mais malgré cela, il y a des résistants, notamment les puces de sable. Pour soigner mes piqûres, deux huiles: d'abord, l'huile d'arbre à thé, qui a un fort pouvoir désinfectant et aseptisant. Ensuite, de l'huile essentielle de lavande aspic, pour calmer les démangeaisons.
Les vives (Atlantique, Manche, Méditerranée…) se cachent dans le sable et laissent uniquement apparaître leurs nageoires dorsales dotées d'épines vénéneuses, prêtes à infliger d'atroces souffrances.
Pour cela, essayez de ne sélectionner que des hébergements parfaitement propres, avec une literie impeccable et nettoyée régulièrement. Les puces adorent le linge sale, alors les lessives à répétition seront vos meilleurs atouts !
Les puces de sable sont des arthropodes parasitoïdes que l'on rencontre dans les zones tropicales, en particulier en Amérique du Sud (Guyane,…), aux Antilles, en Afrique et à Madagascar. D'une longueur d'environ un millimètre, cette puce de sable, qui est la plus petite puce connue, est très virulente.
On peut y ajouter des huiles essentielles antiparasitaires, comme celles de lavande, de palmarosa, d'arbre à thé, de niaouli, de géranium… Les poux n'aiment pas les odeurs qu'elles dégagent”, propose Silke Patel.