Depuis, il est de coutume de dire qu'être 13 à table porte malheur. Si cela se produit, il se dit que le plus jeune de la tablée mourra vite car Jésus était le plus jeune de la Cène et a connu un destin funestre après ce repas.
Judas, le traître, porte le nombre d'apôtres à treize. Dès lors le nombre maudit est associé aux affres de Jésus. Depuis la superstition s'est ancrée dans la croyance populaire : être 13 convives à table signifierait que l'un d'entre eux va mourir dans l'année. La Cène, de Léonard de Vinci (1495).
Quand à vos tablées, si par superstition vous faites partie de ceux qui craignent le nombre 13, vous pouvez toujours inviter un 14ème convive ou, tout simplement, répartir vos invités en 2 tables.
Se laver les mains avant de passer à table, ne pas couper sa feuille de salade au couteau, ne pas mettre ses coudes sur la table, ou encore mâcher la bouche fermée. Mais il n'y a pas qu'en France où les bonnes manières à table sont recommandées.
Cette superstition remonte à la crucifixion du Christ un vendredi, précédé la veille, du repas sacré de la Cène réunissant 13 personnes à table. Jésus était entouré des douze apôtres dont Judas qui l'a trahi. Mais c'est la même Cène qui justifie l'effet porte bonheur du vendredi 13.
Pourtant, certains objets font consensus sur le fait de porter malheur et d'attirer les mauvaises énergies comme les miroirs - cassés ou non -, les plantes sèches ou encore la vaisselle cassée. Les cactus qui décorent pourtant si bien nos intérieurs pourraient favoriser les problèmes financiers.
Le placement autour de la table doit alterner hommes et femmes, et séparer les couples. L'invité d'honneur (s'il y en a un) sera, lui, assis à la droite du maître ou de la maîtresse de maison.
De manière générale, le chiffre 13 porte malheur dans la tradition chrétienne. 13 à table, vendredi 13... autant de superstitions qui associent ainsi ce chiffre au malheur. Comme l'expliquait France Bleu, la phobie du vendredi 13 existe même chez certaines personnes et elle porte un nom : la paraskevidékatriaphobie.
Le diable se serait emparé de ce chiffre maudit. Mais d'où vient cette théorie effrayante ? Depuis des siècles, 666 est un symbole maudit qui a enflammé les imaginations, au point d'avoir inspiré de nombreux livres, films, musiques ou légendes. La superstition aurait plusieurs origines.
Tout comme pour les étages 14, 24 et ainsi de suite. Si en France nous avons le vendredi 13, nos voisins italiens ont le vendredi 17. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce chiffre 17 n'est pas des plus appréciés. L'origine de ce chiffre maudit se base sur les chiffres romains.
Dans notre culture occidentale, la particularité de ces jours est d'associer deux symboles de malchance : le vendredi et le nombre treize, qui en font des jours de malheur pour certains… mais aussi de chance pour d'autres. Dans d'autres pays que la France, le vendredi est un jour comme les autres.
Les origines de cette pratique remontent depuis le Moyen-Âge, époque marquée par un fort taux d'empoisonnement et de conflits lors des festins. Pour éviter cela, et garantir la sécurité des convives, il était recommandé de placer les mains en évidence sur la table pour éviter tout geste suspect.
Au temps jadis, on était serrés à table, on avait très peu d'espace pour manger, alors pour ne pas gêner ses voisins, il n'était pas convenable de poser les coudes sur la table. Cette tradition s'est conservée avec les années. C'est pourquoi il est impoli de mettre les coudes sur la table encore aujourd'hui.
C'est une superstition qui vient de l'univers théâtral. La croyance selon laquelle un bouquet d'œillets est signe de mauvais présage remonte au XIXe siècle.
Le Miroir :
Casser un miroir est un signe de malchance. Les miroirs étaient connus pour être le refuge des esprits, et en casser un pouvait libérer un démon captif donc briser un miroir apporterait sept ans de malheur.
Bijoux achetés d'occasion : comme mentionné précédemment, dans certaines cultures, les bijoux qui ont été achetés d'occasion peuvent être considérés comme porteurs d'énergies négatives.
1 – Tout d'abord, savoir se tenir à table : on se tient droit et bien assis sur sa chaise : pas avachi* sur sa chaise (cf image), ça paraît simple, mais c'est une base importante. 2 – On amène la fourchette à sa bouche et non sa bouche à la fourchette.
En Angleterre, on met les mains sous la table. C'est comme ça, et pas autrement. Jubilatoire pour ceux qui se sont fait rabrouer toute leur enfance à grands coups de « Les mains sur la table ! ». NB : une main sous la table suffira, sous peine de ne pas manger grand-chose.
Saladier, plateau décoratif, théière, assiettes de préparation sont des valeurs sûres pour décorer votre table de salle à manger. Version vintage ou moderne, choisissez votre vaisselle selon le style de votre intérieur et n'hésitez pas à la garnir de fruits, de pots pourris ou d'objets décoratifs.
Ne pas lécher son couteau
On commence avec du classique, il est évidemment interdit de lécher son couteau. J'imagine qu'à la base, ça vient d'une raison de sécurité, mais aujourd'hui c'est simplement impoli, même avec un couteau à beurre, qui ne risque pourtant pas de te délester de ta langue.
pourquoi est-ce un jour de superstition ? Chaque vendredi 13, c'est la même chose : les plus optimistes croient dur comme fer qu'ils vont gagner 100 patates au loto tandis que les plus pessimistes préfèrent rester chez eux, de peur du mauvais sort.