Les larmes émotionnelles contiennent plus d'hormones de stress, que les autres larmes, et permettent ainsi de réduire la concentration de certaines substances dans le corps. Une de ces hormones de stress est la prolactine, qui se trouve en plus forte concentration chez les femmes que les hommes.
L'explication se trouve peut-être du côté du système nerveux. Chargé de rétablir le calme après une accumulation de tensions dans le corps, le système parasympathique déclencherait en même temps les larmes.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
Pleurer soulage la douleur et améliore l'humeur
Avec des larmes émotionnelles, le corps libère deux hormones puissantes responsables de notre bien-être : l'endorphine et l'ocytocine. Ces substances soulagent l'inconfort et créent une agréable sensation de tranquilité et de calme.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Les larmes, qui ont emmené avec elles les poussières de l'œil, peuvent alors être évacuées par la gorge, mais surtout par le nez où elles sont mélangées au mucus nasal, et finissent par s'écouler par les narines. Les mouchoirs sont donc indispensables !
Bien qu'il soit communément admis que pleurer des larmes émotionnelles peut allonger vos cils, il n'existe aucune preuve scientifique à l'appui.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Est-ce que le stress fait grossir le ventre ? Oui à cause du cortisol ! Produit par les glandes surrénales, le cortisol est l'hormone du réveil et de la mise en alerte. C'est lui qui permet la résistance aux stress de la vie.
Pleurer n'est en rien une honte. C'est un peu « le pansement de l'âme ». En pleurant, votre corps libère des substances qui jouent le rôle de calmants naturels. Ainsi, votre douleur s'apaise petit à petit.
Vous pouvez tout à fait pleurer, crier, taper dans un coussin, écrire, sortir courir, trouvez ce qui vous fait du bien pour gérer vos émotions. Et quand la crise est là, prenez une grande inspiration et respirer calmement pour tenter de retrouver le calme", recommande Valérie Sengler.
En effet, les émotions vécues intensément submergent le cœur au point de donner l'impression qu'il pourrait exploser. L'accumulation de stress conduit alors à une fragilité pouvant provoquer une sidération, une paralysie du muscle cardiaque.
A vos mouchoirs.
« Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau.
« Lorsque l'on bâille, on a tendance à pleurer un peu. Cela est dû à la contraction des sacs lacrymaux, à la base de l'œil, provoquée par la contraction de la mâchoire lors du bâillement. »
Le corps a en effet une capacité de stockage restreinte, le liquide lacrymal étant contenu dans une poche de 0,425 millilitre par œil. Longues d'environ 15 millimètres chacune, ces poches sont situées entre les yeux et le nez.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Le "psy" est là pour accueillir vos émotions, dont vos pleurs, votre colère, vos peurs... : c'est son "job"... Ceci étant, lui parler vrai de tout ce que vous sentez et pensez, votre envie de le "préserver" inclue, est très important pour qu'il puisse vous aider à avancer et à sortir de votre dépression.
Selon elle, lorsque l'on sent les larmes monter, il suffit d'appuyer sa langue contre le haut du palais et on s'arrêtera instantanément de pleurer. On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
Elle correspond à une réaction exagérée liée à la peur. Elle est liée à une grande tension nerveuse et à beaucoup d'hyperémotivité. Ce sont les émotions, qui, en s'accumulant sous forme de tension nerveuse déclenchent les malaises spectaculaires qui empoisonnent la vie du spasmophile.