La moule est un filtreur qui se nourrit des particules microscopiques présentes dans l'eau de mer (plancton, débris organiques). Si vous trouvez un petit crabe dans une coquille de moule, ce n'est pas du tout parce qu'elle l'a mangé. Ce crabe est un pinnothère qui vit simplement à l'abri dans la coquille de son hôte.
Prenez une coquille vide et utilisez-la comme une pince. Tenez la moule que vous souhaitez manger dans le creux de la main, puis, dans l'autre main, la pince naturelle retire la chair délicatement. Cette technique traditionnelle reste raffinée et évite de manger les moules avec les doigts.
La moule possède une coquille bivalve. Les deux valves se correspondent, et on observe des stries d'accroissement, ce qui montre que la coquille est sécrétée par le manteau. La coquille est capable de croissance régulière.
En effet, les Moules sont riches en protéines (20 g pour 100 g) et contiennent peu de lipides et de glucides (environ 3 g). Ce sont des trésors de bienfaits : elles figurent parmi les aliments les plus riches en calcium, magnésium, fer, zinc et sélénium.
Huîtres, palourdes et coques
Huîtres, moules, palourdes, coques, sont des bivalves, des mollusques qui n'ont pas de système nerveux central - de cerveau donc. Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions.
Non. Les coquillages n'ont pas de système nerveux central et ne peuvent donc pas ressentir de la douleur.
En revanche, les insectes en sont dépourvus (un criquet continue à manger pendant qu'il se fait dévorer par exemple). On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur.
Quelle quantité de moules faut-il prévoir par personne ? Prévoyez 1 litre de moules par personnes (soit environ 700 g) si vous souhaitez les proposer comme plat principal. Vous pourrez alors les accompagner avec des frites maisons. Pour une entrée, comptez 1/2 litre de coquillages par personne.
Cesoméga 3 seraient aussi dotés d'effets anti-inflammatoires, utiles dans le traitement de pathologies comme l'asthme, l'arthrite rhumatoïde, le psoriasis[2] et les maladies inflammatoires de l'intestin. Ils contribueraient aussi à la prévention des troubles de l'humeur comme la dépression[3].
Son goût inimitable est très iodé et prononcé. Sa chair de couleur vive en fait un produit de la mer très raffiné.
Contrairement aux huîtres, les moules sont rarement mangées crues, sauf parfois lorsqu'elles sont pêchées en pleine mer, très fraîches et non polluées ; On les fait traditionnellement cuire dans un fumet composé de vin blanc et aromatisé au poivre entier, au persil, à l'oignon et à l'échalote.
Calories moules
100 grammes de cet aliment représentent une valeur énergétique de 114 calories ou kilocalories (ou 483 kilojoules). En moyenne, les produits de la catégorie crustacés et fruits de mer apportent une valeur énergétique équivalente à 93 kilocalories.
Les moules ouvertes sont à jeter
L'important est de voir si la moule est encore vivante. Pour cela, appuyez dessus. Si elle se referme vite, alors elle est vivante et donc bonne à cuisiner. Si au contraire elle reste ouverte, elle est morte et il faut la jeter.
Selon la tradition, effective aussi pour les autres coquillages comme les huîtres, on ne devrait manger des moules que pendant les mois en -r : janvier, février, mars, avril, septembre, octobre, novembre, et décembre.
Les moules qui flottent ne sont pas forcément à jeter : elles ont simplement gonflé une espèce de vessie natatoire (comme les poissons) qui leur permet de rester en surface.
Une neurotoxine présente dans les fruits de mer est dommageable pour les reins, même à petites doses.
DANGERS DES MOULES CRUES
Les personnes atteintes de cancer, de maladies du foie, de diabète, de troubles du système immunitaire ou de troubles digestifs ne devraient manger des moules que lorsqu'elles ont été bien cuites.
PREPARATION. Mettre les moules pendant 30 minutes dans de l'eau froide avec de la farine, ceci afin de les dégorger légèrement et éviter le sable dans la préparation.
Optez par exemple pour les appellations de la Loire comme le Sancerre, le Touraine blanc, le Pouilly fumé, le Quincy ainsi que le Rully. Un chablis au nez frais et à la bouche minérale est une autre possibilité pour accompagner vos cocottes de moules.
-, ne possèdent pas de nocicepteurs, les récepteurs sensoriels de la douleur. De plus, ces animaux, dotés d'un cerveau très primitif constitué d'une chaîne de ganglions nerveux, ne posséderaient pas la capacité cérébrale à ressentir la souffrance.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
Nos animaux sont des êtres vivants sensibles et ressentent donc, tout comme nous, la douleur. Cependant, on peut se trouver un peu démuni face à cette douleur. En effet, les chiens, les chats ne l'expriment pas comme nous et on peut avoir des difficultés à la reconnaître.
Par conséquent, le « vrai » végétarien ne se nourrit pas non plus de poissons, de sa chair, de ses oeufs ou de son huile. Tous les autres animaux marins sont également exclus du repas du « vrai » végétarien : poulpes, calamars, oursins, crevettes, coquilles St-Jacques, moules, crabes, homards, langoustes...