Lorsque l'on utilise ce terme en élevage ou en zootechnie on signifie généralement fourrages grossiers (par opposition à aliments concentrés comme les grains).
Un aliment grossier occupe beaucoup de volume pour une valeur nutritive relativement faible (exemple : foin, ensilage, paille, betterave fourragère, etc.). Caractéristiques d'un aliment grossier : Un aliment grossier contient beaucoup de cellulose ou beaucoup d'eau. Il est consommer en grande quantité.
Celles que l'on retrouve dans nos prairies sont divisées en 3 groupes: (bonnes, moyennes, mauvaises) selon leurs qualités fourragères. Ce sont les principaux constituants de la prairie. Elles peuvent fournir un fourrage de qualité (bonne valeur alimentaire) pour autant qu'il soit exploité au stade idéal.
fourrageur
1. Celui qui allait sur le terrain ennemi pour enlever le fourrage. 2. Cavalier d'un peloton qui combattait en ordre dispersé.
Les fourrages sont principalement constitués de plantes prairiales herbacées, essentiellement des graminées et secondairement des légumineuses pour les herbivores, mais de nombreuses autres espèces de plantes sont cultivées pour l'alimentation des animaux domestiques en général et entrent dans la catégorie des plantes ...
Fourrage vert. Herbe broutée sur le terrain ou coupée pour être mangée fraîche à l'étable. Couper les fourrages verts.
Contrairement aux foins, l'herbe est enrubannée de façon précoce, juste avant l'épiaison (quand l'épi sort de la gaine), afin de conserver une matière plus riche en protéines.
L'ensilage du maïs fourrage est une technique intéressante pour les éleveurs car elle leur permet de produire eux-mêmes la grande majorité de la nourriture distribuée à leur élevage et d'être ainsi plus autonomes.
On estime que les feuilles de châtaignier, de noisetier, d'alisier, de cormier ou d'érable sycomore ; les aiguilles et bourgeons de pins (sylvestre, noir, maritime) sont non seulement comestibles mais suffisamment nourrissantes pour les vaches, les chèvres et les brebis.
Les animaux ont besoin d'un complément protéique. Le fourrage ligneux, qui souvent à cette période a produit ses nouvelles feuilles, constitue le complément fourrager le plus abordable. Les ligneux des steppes et des savanes ont toujours fait l'objet de cueillette pour répondre à ce besoin.
L'orge est arrosée pendant sept jours; les pousses vertes et le tapis de racines sont ensuite récoltés et utilisés pour nourrir le bétail. Cette méthode hydroponique a de nombreux avantages: il suffit de sept jours pour produire du fourrage, au lieu de plusieurs semaines avec les méthodes habituelles.
Les aliments concentrés simples sont constitués ou issus des grains ou graines de végétaux tels que les céréales (orge, avoine, maïs), les légumineuses (pois, féverole, lupin, soja) et/ou oléagineux (lin, arachide, tournesol...).
Moins connu et moins utilisé, l'enrubanné est pourtant un très bon aliment pour le cheval. Ses valeurs nutritionnelles le classent comme un fourrage de très bonne qualité lorsqu'il est récolté tôt. Exempt de poussière et de mycotoxines lorsqu'il est bien conservé, il est très apprécié par les chevaux.
Les ballots enveloppés de plastique que l'on aperçoit dans les champs ou dans la cour des fermes ne contiennent pas du foin mais du fourrage conditionné humide (moins de 50 % de matière sèche) et sans oxygène. Cette technique appelée ensilage permet la lactofermentation qui conserve les nutriments et les enrichit.
Globalement, l'enrubannage permet de limiter considérablement les pertes de matière sèche et permet de conserver le fourrage dans de très bonnes conditions. Pour un enrubannage de qualité, il est cependant nécessaire de choisir des équipements adaptés, en particulier les films entourant les balles.
Un bon foin sera agréable à sentir tandis qu'un foin ayant chauffé aura une odeur forte, piquante, de moisi et peu agréable. Les nez fins peuvent sentir les moisissures avant même d'en voir les traces.
Il est conseillé de faner aussitôt après la fauche (l'idéal est de commencer le chantier avec deux tracteurs) et de procéder au second fanage en fin d'après-midi.
On peut déterminer quatre grandes catégories de fourrages selon leur taux d'humidité. – Foin sec dosant moins de 16 % d'humidité. Il faut se rappeler que le foin sec doit contenir de 2 à 4% moins d'humidité lorsqu'il est pressé en grosses balles.
Par rapport à la production conventionnelle de fourrage, le fourrage hydroponique nécessite moins d'eau. Seulement 3 à 4 litres d'eau sont nécessaires pour cultiver un kilogramme de fourrage hydroponique contre 70 à 100 litres d'eau nécessaires pour le fourrage traditionnel.
Le semis : La taille des semences varie selon les espèces, les semences des graminées fourragères sont très petites, contrairement à celles des légumineuses qui sont beaucoup plus grosses. Ainsi, le sol doit être humidifié après une pluie et lorsque de nouvelles pluies sont attendues.
En hydroponie, la terre est remplacée par un substrat neutre. Cela peut être des billes d'argile, du sable, feutre horticole, de la pouzzolane, fibre de coco, laine de roche, ou encore de l'eau dans laquelle trempent les racines des plantes… Ce substrat doit être neutre et inerte, et dans la mesure du possible stérile.
Le Brachiaria doit être cultivé sur un terrain bien drainé et à faible pente afin d'éviter les pertes de semences post-semis dues au ruissellement. Le site de culture du Brachiaria doit être nettoyé de préférence avant les pluies.