Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé. Elle consiste à raconter après-coup un événement et constitue ainsi la figure inverse de la prolepse.
Un retour en arrière est généralement implémenté par: Le narrateur raconte des événements passés à un autre personnage. Le narrateur a un rêve sur les événements passés. Le narrateur repense aux événements passés, révélant l'information uniquement au lecteur.
Du grec análêpsis qui signifie « revenir en arrière », l'analepse est un procédé littéraire qui désigne dans un récit tout épisode narratif racontant après-coup un événement qui s'est déroulé dans le passé.
Le plus-que-parfait est utilisé pour exprimer des événements antérieurs à ceux évoqués à l'imparfait. Autrement dit, tout ce qui est au plus-que-parfait s'est passé avant ce qui est à l'imparfait et signale un retour en arrière.
Dans un récit, lorsque le narrateur revient dans le passé, il s'agit d'un « retour en arrière », ou « flash-back » en anglais. Ce procédé est souvent utilisé au cinéma. Le flash-back revient en arrière pour évoquer des événements qui ont eu lieu avant, qui sont antérieurs à ce que le personnage est en train de vivre.
1. Revenir en arrière. Synonyme : faire marche arrière, reculer, refluer, se replier, se retirer.
Les analepses
Les retours en arrière qui s'intègrent à la narration, et qui correspondent aux flashbacks du cinéma, sont appelés des analepses. Le retour en arrière sert généralement à expliquer une situation dans laquelle se trouve un personnage.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.).
Définition : L'analepse et la prolepse sont des figures de style. La première est un retour en arrière, un flashback, un récit d'un événement qui a eu lieu dans le passé. La seconde est une anticipation, une prévision, un flashforward, qui permet de voir ce qui arrivera plus tard.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Définition de analepse nom féminin
didactique Retour en arrière sur des évènements antérieurs au récit en cours, dans une narration. ➙ flash-back. Analepse et prolepse.
1. Plan ou séquence d'un film montrant une action antérieure à l'événement représenté. 2. Tout retour en arrière, en particulier dans un récit.
Procédé de style par lequel on revient en arrière dans un récit. Exemple : Afin de faire le jour sur le passé du protagoniste et d'expliquer ainsi son profil psychologique particulier, l'auteur a eu recours à différentes analepses.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent. Il est employé pour les évènements considérés comme principaux, qui constituent la trame de l'histoire et y apparaissent dans l'ordre selon lequel ils se sont réellement produits.
Point de vue omniscient
Le narrateur omniscient connaît tout des personnages et peut voir tous leurs faits et gestes. C'est le point de vue d'un dieu, d'un narrateur démiurge, qui sait tout sur les personnages. C'est donc une focalisation totale, subjective et exhaustive.
Une pause permet de faire le portrait d'un personnage, de décrire un lieu, de commenter l'action. Elle peut créer du suspense, en retardant la suite de l'action. Une ellipse permet de créer du suspense en passant sous silence des faits importants.
Leur place de prédilection diffère selon qu'il s'agit de structures dans lesquelles le segment proleptique est placé à l'initiale ou à la finale de l'énoncé : les unes apparaîtront en début de scène, voire au début de la pièce, et particulièrement dans les parties narratives ; les autres se trouveront en fin de scène.
en syntaxe, il s'agit d'une expression anticipée, dans le COD de la principale, du sujet de la subordonnée comme dans « Regarde cette auto, comme elle est belle ». en rhétorique, la prolepse est une figure par laquelle on prévient une objection, en la refusant d'avance comme dans « Cela serait trop long à expliquer ».
L'analepse se présente, à la limite, comme un simple désordre, dont la fonction est autant utilitaire qu'esthétique.
Le mot épilogue vient du mot grec ἐπί (epi), qui signifie en plus, sur ou au-dessus, et λόγος (logos) qui signifie parole ou discours.
Tragédie : pièce à fin malheureuse mettant en scène des personnages nobles ; en suscitant chez le spectateur terreur et pitié envers les héros malheureux, elle le dissuade de les imiter – c'est la catharsis (« purgation » des passions).
On parle de biographie quand le personnage a réellement existé et qu'un auteur raconte sa vie. On parle de récit autobiographique quand le personnage se confond avec l'auteur et le narrateur.
Une ellipse narrative permet au narrateur de passer volontairement sous silence certains épisodes de l'histoire. En grammaire, une ellipse désigne la disparition d'un mot ou d'un groupe de mots. En rhétorique, l'ellipse est une figure microstructurale de construction.
L'ellipse est une figure de style d'omission. Elle consiste à effacer un ou plusieurs mots d'une phrase ou d'un vers sans en modifier le sens pour créer un effet. On retrouve cette figure de style dans différents types de textes. « T'avais qu'à revenir avant.