Le sous clonage est une technique utilisée couramment en biologie moléculaire. Elle consiste à insérer dans un nouveau vecteur un fragment d'ADN déjà isolé par ailleurs.
Au sein d'un clone, toute mutation qui apparaît dans une cellule est transmise à l'ensemble des cellules qui en sont issues. Ces cellules, qui diffèrent légèrement génétiquement des autres cellules du clone, forment un sous-clone.
Un clone correspond à un ensemble de cellules issues de mitoses d'une unique cellule initiale. La succession de réplication et de mitoses qui donnent naissance à un clone permet de conserver le génome de la cellule initiale.
Un clone est un ensemble de cellules génétiquement identiques aux mutations près. « Ensemble de cellules » suppose une cellule qui donne un ensemble de clones cellulaires par mitoses successives.
Un clone est un groupe de cellules ou d'individus qui sont issus d'une même unité ancestrale. Les membres d'un clone sont en principe (sauf mutations) génétiquement identiques. Au laboratoire, le clonage est une technique de reproduction de gènes, cellules ou organismes, à partir d'une même cellule.
La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne adoptée en décembre 2000 interdit le clonage reproductif des êtres humains.
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
On parle de clone car le génome (l'ensemble des gènes portés par l'ADN contenu dans le noyau) de Dolly est identique à celui de Belinda , un individu déjà existant à partir duquel on peut obtenir des « Dolly bis » à volonté, même si les rendements sont le plus souvent faibles, au mieux quelques %.
Mode général, assez complexe, de division de la cellule, caractérisé par la duplication de tous ses éléments et par leur répartition égale dans les deux cellules filles.
Une autre fonction des clones cellulaires est leur implication dans le renouvellement cellulaire. Ainsi, dans le cas de l'épithélium de l'intestin grêle (doc 5), on peut observer que sa desquamation entraînée par la digestion est compensée par la multiplication clonale de ses cellules.
Le gène TERT code pour l'enzyme télomérase, nécessaire au maintien de la longueur des télomères au cours de la division cellulaire. Sa surexpression dans différents types de cancers conduit à l'immortalisation, participe à la prolifération, à l'invasion et à la dédifférenciation.
Mutation : qu'est-ce que c'est ? Altération du matériel génétique (ADN ou ARN) d'une cellule ou d'un virus qui entraîne une modification durable de certains caractères du fait de la transmission héréditaire de ce matériel génétique de génération en génération.
Le but du clonage n'est pas de modifier le génome, mais de le transmettre d'une façon qui ne nécessite pas la reproduction sexuée et qui génère des individus identiques présentant les mêmes caractéristiques que leur (unique) parent.
Le clonage peut de plus, en principe, contribuer à sauver des espèces menacées d'extinction. Le noyau de cellules provenant de quelques individus de l'espèce pourrait être transféré dans le cytoplasme d'ovocytes énucléés d'une espèce voisine.
Il est ainsi facile de comprendre les deux avantages principaux du clonage végétal pour l'homme : 1/ reproduire à l'identique un grand nombre de fois la même plante (par ex les plantes ornementales), en se passant de la reproduction sexuée, source de variabilité; 2/ pouvoir reproduire des espèces dont la reproduction ...
Pourquoi le clonage est une mauvaise chose ? Le clonage reproductif d'un humain est une mauvaise chose, car ce n'est pas naturel, de plus les clones ne seraient que des rats de laboratoire. Cependant le clonage thérapeutique d'un organe serait une bonne chose pour la médecine.
Par exemple, en France, la loi de 2004 interdit formellement le clonage thérapeutique. Le clonage thérapeutique est également interdit en Allemagne. En revanche, il est autorisé en Angleterre et en Belgique.
On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
De plus à la naissance le clone développe souvent de nombreux problème immunitaires et cardiaques à la naissance l'espérance de vie d'un clone est donc limitée. Enfin le clonage pose des problèmes éthiques dans la mesure où le clone est souvent considéré comme un objet pour des expériences.
Les vrais sosies, les «monozygotes» –issus d'une même cellule oeuf– représenteraient 0,35% des naissances à l'échelle sur la planète. La probabilité de rencontrer un clone génétique de soi sans lien de parenté est infime, pour ne pas dire inexistante.
La raison principale est la conviction que la production volontaire d'êtres humains génétiquement identiques porterait atteinte à la dignité et à l'intégrité des êtres humains, perçus à la fois comme individus et comme membres de l'espèce humaine.
— L'utilisation du clonage pour reproduire des êtres humains «n'est pas acceptable sur le plan éthique car elle violerait certains des principes fondamentaux de la procréation médicalement assistée», selon le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Hiroshi Nakajima.
La limite scientifique se situerait plutôt dans l'âge des organes des clones : les clones ont en quelques sortes le « même âge » que leurs parents. Cela ne provoque pas le décès des animaux mais des douleurs intenses au niveau de certains organes et des articulations.