Dans le contexte, une atteinte à la liberté peut se matérialiser par : Le comportement d'un agent public qui se caractérise par de la discrimination, un abus d'autorité, etc ; Une décision administrative qui prive des individus d'aller et de venir, interdit la réalisation d'une réunion ou d'une manifestation ; etc.
Il n'a pas nécessairement un caractère causal. Mais le déterminisme peut aussi être social ou psychologique. Dans ce cas, il s'oppose à la liberté. En effet, si l'homme est soumis au déterminisme, cela veut dire que ses actions ne sont que les effets de causes dont il est le plus souvent inconscient.
L'incitation à la discrimination, à la haine, à la violence ou à la ségrégation* à l'égard d'autrui, en public, intentionnellement et pour une raison précise.
Des libertés limitées
Les libertés sont reconnues à tous les citoyens, mais leur usage ne peut pas être illimité. En effet, l'exercice d'une liberté ne peut pas porter atteinte à celle des autres, à la dignité de la personne, à la santé ni à l'ordre public.
Vous avez le droit à la vie, à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté. Par exemple, vous avez le droit d'être protégé contre les menaces d'agression ainsi que contre les agressions physiques et psychologiques. Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.
Élément matériel Atteintes aux libertés :
D'abord, arrestation ou enlèvement : se saisir d'une personne de manière quelconque et et la priver de la liberté d'aller et venir. Ensuite, détention ou séquestration : retenir la victime dans un lieu quelconque où elle se trouve enfermée contre son gré.
la liberté de pensée, de conscience et de religion. le droit de vote et d'être candidat à des élections.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir. Si tu veux qu'on t'épargne, épargne aussi les autres.
La liberté absolue n'existe pas. La liberté, toujours relative à l'histoire de chacun, est réponse à un jeu de contraintes. Il existe tout au plus une liberté optimale dans une situation donnée pour un individu donné. Perdre de vue ce fait, c'est s'aventurer en terrain dangereux, car totalement idéaliste.
« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu'un individu doit pouvoir faire l'exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres.
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
En ce sens, agir librement n'est pas agir sans obstacles ou sans contraintes (intérieures, extérieures), mais décider de la manière dont nous réagissons à ce qui nous apparaît comme tel. Nous ne pouvons pas ne pas choisir : ne pas choisir, c'est encore choisir !
La dépendance est un autre obstacle à la liberté intérieure. Il peut s'agir d'une dépendance à un objet, une substance, une relation, une habitude. Être dépendant, c'est ne plus pouvoir se passer de quelque chose, c'est perdre sa liberté.
La liberté est l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère. C'est aussi l'état d'une personne qui n'est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu'un.
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
1) C'est une liberté sans limite qui refuse ou s'est affranchie de toute limite, de toute contrainte qui pourrait l'amputer. On peut aussi comprendre cette idée comme celle d'une liberté qui aurait un champ d'extension illimité et qui embrasserait tous les aspects de la liberté : politique, morale, métaphysique...
Une liberté sans bornes ne peut aboutir qu'à la loi du plus fort. Si la liberté de chacun est sans limite, une personne ne tardera pas, au nom de sa propre liberté, à empiéter sur celle des autres.
Locution nominale
Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
Intuitivement, la liberté s'expérimente comme absence de contraintes : on se sent libre quand on ne subit ni contrainte physique, ni interdiction morale, ni pression psychologique. Le sentiment de liberté naît alors du fait que le principe de l'action est en nous et n'est pas déterminé par un principe extérieur.
Parce que Victor Hugo c'est une valeur sûre. Déjà en 4ème pendant les dissert' de français je sortais une citation d'Hugo c'était la moyenne assurée. « La liberté commence, là où l'ignorance finit » qu'est ce que j'ai pu la caler celle là !
Rousseau : « La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à n'être soumis à celle d'autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d'autrui à la nôtre ». La notion de liberté peut être comprise comme synonyme d'une absence totale de contraintes, d'entraves quant aux désirs de chacun et leur réalisation.
Par ailleurs la liberté semble illusoire parce que nous sommes occupés à chercher ce qui nous est utile et à satisfaire nos désirs, nous avons conscience des fins que nous poursuivons, nous avons l'impression d'être libre, mais c'est une illusion, car nous ignorons en général les causes qui nous déterminent à désirer ...
Pour que les droits et les libertés politiques jouissent d'une garantie constitutionnelle, il faut que deux conditions soient respectées : en premier lieu, les droits et les libertés dont il s'agit doivent avoir un statut constitutionnel ; en second lieu, il doit exister des procédures permettant de garantir l'exercice ...
Si la liberté n'apparaît que là où les autres la reconnaissent, si elle dérive toujours d'un contrat formel ou du moins d'un accord tacite, l'indépendance est un fait dans la nature, elle traduit un équilibre, que l'on ne décrète pas mais que l'on peut constater, entre ce que nous voulons et ce que nous avons.