Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
Au sein de ce paragraphe, la conclusion doit toujours comporter trois parties : la première est une phrase d'introduction, la seconde reprend les arguments exposés au cours de la rédaction du document, et la dernière consiste en une ouverture pour élargir la réflexion.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
1. Action de conclure une affaire, de la mener à son terme : La conclusion d'un traité. 2. Développement marquant la fin d'un discours, d'un texte et en dégageant éventuellement la synthèse ou la morale.
La conclusion d'une dissertation est donc composée de plusieurs éléments : Le rappel de la problématique. Le bilan (synthèse) des arguments des parties du développement. La réponse à la problématique de l'introduction.
clore le propos ; résumer l'essentiel des résultats ; évaluer le travail présenté ; ouvrir de nouvelles pistes de recherche.
L'ouverture, la partie finale de la conclusion, doit laisser le lecteur sur une réflexion, une projection dans le futur, une information nouvelle (nouvel aspect ou nouveau sous-aspect), une citation célèbre, etc. Plusieurs possibilités s'offrent au scripteur à ce stade de l'écriture.
Quoi? La conclusion est la partie de l'exposé qui va mettre fin à la présentation. Elle est en général plus courte que l'introduction. Elle doit rester dans le sujet et être adaptée à l'auditoire.
Comme pour l'accroche en introduction, ton élargissement doit absolument éviter les généralités trop éloignées de ton sujet. Par exemple, la question « Mais alors, quel est le but de la littérature ? » est bien trop large : c'est une ouverture qui décrédibiliserait ta copie.
Formules de conclusion En conclusion / En somme, on peut constater ... Pour conclure, je dirais que ... / Finalement, ... Je touche maintenant à la fin de mon exposé… Pour terminer, on peut dire que ...
2. Les réponses à la problématique. Il vous faut tirer les conclusions de vos résultats de recherches, ce que vous avez utilisés dans le développement du mémoire. Utilisez seulement les résultats les plus importants et plus pertinents pour répondre à votre problématique.
Rédiger une ouverture
– Choisir un élargissement du cadre chronologique ou du cadre géographique, en évoquant par exemple les conséquences du phénomène étudié. – Ne donnez pas votre avis personnel et ne terminez pas par une question. Il ne faut pas non plus essayer d'intégrer une idée qu'on aurait oubliée.
Deux parties constituent la conclusion :
1. La synthèse. 2. L'ouverture.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).
Enfin, en guise de conclusion, il faut que tu résumes au jury tout ce que ton travail autour de ce sujet t'a apporté, tant d'un point de vue des savoirs (ce que tu as appris comme connaissances) que de celui des compétences (ce que tu as appris à réaliser).
Elle peut prendre les différentes formes suivantes: une réflexion, une projection dans le futur, une information nouvelle, un proverbe, un lien avec un autre sujet, des paroles de chanson, une citation, un fait historique ou d'actualité, une comparaison d'oeuvres ayant des sujets ou des thèmes similaires, etc.
Encore appelée « amorce » ou « phrase d'ouverture », cette étape n'est pas obligatoire mais fortement conseillée. Son objectif : capter l'attention du lecteur, lui donner envie d'en lire davantage. Cette accroche doit être courte, pas plus de deux phrases.
De manière générale, un texte comporte une introduction, un développement et une conclusion. Voici ce qui caractérise chacun : L'introduction informe le lecteur du sujet, des aspects qui en sont traités et donne un aperçu du plan que l'on va suivre dans le développement.
La conclusion clôt le devoir en tirant un bilan de la démonstration, qui n'est pas un simple résumé linéaire de vos arguments mais le moment de mettre en avant les idées clefs qui permettent de répondre clairement à la problématique. Une ouverture vers l'avenir ou un problème connexe sont ensuite appréciés.
Toute bonne conclusion se compose la plupart du temps de trois parties. La première doit consister à apporter une réponse claire à la question posée, qu'elle soit explicite (sujet fermé) ou implicite (sujet ouvert). Elle doit venir coiffer le plan sans être redondante.
La conclusion répond au sujet posé et peut élargir le propos. (ex : sujet, l'Allemagne nazie, un régime raciste et totalitaire (1933-1939)) Ex : L'Allemagne nazie est une dictature mais c'est également un régime totalitaire, antisémite et raciste.
La conclusion partielle doit débuter par un marqueur de relation. *Il est important de faire des liens entre les idées en utilisant des marqueurs de relation : Car- parce que- puis- ainsi- en comparaison- par exemple- donc- mais- en effet- cependant- par contre- par conséquent- aussi- de plus…