La déréalisation est une pathologie dissociative qui rend tout autour de soi comme irréel. hypothèse. stress prolongé ou intense, le cerveau va chercher à se protéger de ce stress en s'anesthésiant. C'est ce qui provoque la déréalisation.
Les personnes disent parfois qu'elles se sentent irréelles ou comme un automate, sans aucun contrôle sur ce qu'elles font ou disent. Elles peuvent se sentir engourdies émotionnellement et physiquement. De telles personnes se décrivent parfois comme étant un observateur extérieur de leur propre vie ou un « zombie ».
La déréalisation est en quelque sorte l'expérimentation concrète d'un doute métaphysique. Elle n'est pas une maladie à proprement parler. Autrement, il peut s'agir d'un symptôme dissociatif qui peut être vécu lors de périodes de stress intense et prolongé.
Souvent, les personnes ayant expérimenté la dépersonnalisation disent avoir l'impression que « la vie ressemble à un film, les choses paraissent irréelles, floues, sensation de vertige et de grosse fatigue. » Le sentiment d'identité de l'individu se brise, d'où l'appellation de "dépersonnalisation".
Les causes de la dépersonnalisation
Le trouble de la dépersonnalisation (ou de la déréalisation) et le développement de ces symptômes sont généralement causés par un stress intense, sévère ou un état d'épuisement avancé.
La déréalisation est une pathologie dissociative qui rend tout autour de soi comme irréel. hypothèse. stress prolongé ou intense, le cerveau va chercher à se protéger de ce stress en s'anesthésiant. C'est ce qui provoque la déréalisation.
« Etat de dissociation » : sous ce jargon médical se rangent une série de sensations étranges. Toutes traduisent une déconnexion de la réalité. Ce peut être une « dépersonnalisation », avec un sentiment de ne pas être soi-même – on se voit allongé comme si l'on surplombait son propre corps, par exemple.
1) La fatigue: la concentration nécessite de la vigilance. Laquelle fait forcément défaut après une mauvaise nuit, une journée harassante, la prise d'alcool ou de certains médicaments sédatifs ou anxiolytiques. Mais aussi quand on évolue dans un environnement bruyant.
Dans les cas les plus bénins, la dissociation peut être vue comme un mécanisme de défense qui apparaît en cherchant à maîtriser, minimiser ou supporter un stress, y compris l'ennui ou le conflit. À l'opposé dans ce continuum, on trouve la rêverie et enfin les états modifiés de conscience.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation est une forme de trouble dissociatif qui consiste en une expérience prolongée ou récurrente de détachement (dissociation) de son propre corps ou de son fonctionnement mental, habituellement avec l'impression d'être devenu un observateur extérieur de sa propre existence ( ...
L'hypnose peut alors être comprise comme facilitant la récupération des souvenirs qui ont été encodés lors du traumatisme dans un état dissociatif similaire à l'état de transes.
La dissociation peut être définie comme une rupture de l'unité psychique : « une perturbation touchant les fonctions qui sont normalement intégrées comme la conscience, la mémoire, l'identité ou la perception de l'environnement », selon le DSM 5.
Devenir fou, c'est perdre le contrôle, se sentir débordé par une forte inquiétude pour les siens, pour soi-même à ne plus en dormir. L'important c'est d'arrêter la machine à temps.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Un tel état peut aussi être déclenché par la fatigue et l'épuisement, le stress, un environnement étranger, la consommation de drogues ou une frayeur subite. Toutefois ce sentiment d'étrangeté ne dure généralement que quelques secondes, parfois quelques minutes.
Trop d'émotions, trop de pensées qui partent dans tous les sens, trop de questions, trop de sensibilité, trop d'énergie, trop d'activités. On ne vous arrête jamais, même la nuit.
On croit que le stress répété peut entraîner des changements de structure dans le cerveau et, progressivement, occasionner des symptômes plus graves : de l'anxiété, des crises de panique, des phobies, de la dépression, des dépendances, des troubles de l'alimentation (anorexie/boulimie).
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
La dissociation peut affecter la mémoire ou la perception de la réalité et peut être un acte ponctuel, qui relève de la normalité, ou un trouble émotionnel qui nécessite un traitement spécialisé. Les gens peuvent perdre la notion du temps et de l'espace sur notre environnement de manière normale.
Le traitement repose sur une psychothérapie au long cours, parfois associée à un traitement médicamenteux en cas de dépression et/ou d'anxiété comorbides. (Voir aussi Revue générale des troubles dissociatifs. Par exemple, certaines personnes... en apprendre davantage .)
Les troubles dissociatifs sont généralement déclenchés par un stress ou un traumatisme intense. La personne peut, par exemple, avoir été victime d'abus ou de maltraitance durant son enfance. Elle peut avoir vécu ou avoir été témoin d'événements traumatiques, tels que des accidents ou des catastrophes.