L'inflammation est une réaction normale du corps qui se protège en cas de lésion. L'inflammation peut se produire en cas de blessure, par exemple suite à une entorse, et va alors aussi entrainer une douleur et un gonflement.
L'inflammation est la façon dont le corps réagit naturellement aux menaces telles que les infections, les blessures ou les toxines pour se guérir. Mais parfois, la réponse inflammatoire de l'organisme peut se détraquer, attaquant des tissus sains et non malades de manière répétée et non justifiée.
La réaction inflammatoire est indispensable à l'organisme : elle permet l'élimination des agresseurs et assure la réparation des lésions. Elle s'arrête lorsque les agressions disparaissent. L'inflammation, c'est donc notre système de défense, qui en temps normal, est bénéfique.
Les feuilles d'ortie sont utiliser depuis longtemps pour leur effet anti-inflammatoire. Cette plante est présente dans de nombreuses régions d'Europe. Elle contient une substance anti-inflammatoire qui peut modérer l'action des cytokines dans la réaction inflammatoire.
Le syndrome de réponse inflammatoire systémique (ou SIRS) est un syndrome clinicobiologique stigmate d'inflammation, défini par l'association de fièvre (ou hyperthermie), tachycardie, tachypnée et hyperleucocytose (ou leucopénie). Ce syndrome a pour avantage d'être simple et consensuel.
Pour le diagnostic d'une maladie inflammatoire ou infectieuse, il faut lui préférer la C-réactive protéine (CRP).
En pratique, il semble que le stress aigu accélère la résolution des infections et la guérison des plaies (15). En situation de stress aigu, la réaction inflammatoire qui survient n'est pas exactement la même que la réaction inflammatoire qui se met en place lors d'une infection ou d'une blessure.
Les mots « infection » et « inflammation » sont souvent employés ensemble, mais leur sens est très différent. L'infection est l'invasion de l'organisme par un agent pathogène qui s'y multiplie, tandis que l'inflammation est la réponse de l'organisme pour se protéger de l'infection.
Certains symptômes associés sont autant de signaux qui doivent vous inciter à consulter très rapidement : sang dans les selles, vomissement de sang (appelé hématémèse), douleurs nocturnes intenses, urine foncée, masse dans l'abdomen, fièvre, perte de poids, grande fatigue, ictère (une « jaunisse »), gonflements et ...
Lorsque votre douleur thoracique s'accompagne de symptômes complémentaires (douleurs diffuses, nausées, vertiges, sensation de battements cardiaques irréguliers etc..), il existe un risque que celle-ci cache une cause grave.
La protéine C-réactive (ou "CRP") est fabriquée par le foie. Son taux dans le sang augmente vite en cas d'infection ou d'inflammation.
Les cytokines pro-inflammatoires ainsi produites peuvent passer dans le sang et (4) atteindre le cerveau, où elles déclenchent neuro-inflammation et fatigue.
Les fruits rouges (framboises, myrtilles, fraises, groseilles…) sont particulièrement intéressants pour combattre l'inflammation grâce à leur forte teneur en anthocyanes, des pigments à l'action anti-inflammatoire.
Les aliments inflammatoires à éviter
Évitez ou limitez votre consommation de boissons et d'aliments hautement transformés car ils ne font pas partie des habitudes alimentaires saines. Ces aliments hautement transformés favorisent l'apport excessif en sucres, en sodium (sel) ou en acides gras saturés.
Le VoltarenActigo 1 %
Il est essentiellement composé de Diclofenac qui est un puissant anti-inflammatoire. Le VoltarenActigo 1% permet de calmer les douleurs de rhumatisme, d'entorse, de foulure, etc. Il doit être strictement utilisé de façon ponctuelle et est réservé aux adultes.
Un syndrome inflammatoire lié à une infection aiguë va généralement provoquer une fatigue inhabituelle. Cela indique que le corps est en train de combattre l'agent pathogène. Si vous vous sentez plus fatigué qu'à l'accoutumée, il est important d'en faire part à votre médecin.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Colique néphrétique
Aucune position ne soulage, ce qui fait dire en faculté de médecine : « colique néphrétique, patient frénétique ».