Interrogée par: Benoît de la Alves | Dernière mise à
jour: 7. Oktober 2022 Notation: 4.4 sur 5
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On prend de mauvaises décisions lorsqu'on ne tient pas compte de signaux qui devraient nous alerter. En fonction des connaissances dont disposait le décisionnaire, la décision était-elle raisonnable ? C'est une question clé.
Une bonne décision, c'est surtout une méthode. Du coup, si ce n'est pas le résultat qui détermine la qualité d'une initiative, qu'est-ce-que c'est ? C'est tout simplement la façon dont on est arrivés à telle ou telle conclusion. C'est à dire, la méthode, le process qui ont mené à cette décision.
un manque d'identification et de hiérarchisation des questions prioritaires. des décisions à prendre simultanément ou successivement. une prise de mesures ou d'initiatives erronées et inutiles.
Une chose à faire pour déterminer si on prend ou non la bonne décision, c'est d'exposer les deux choix (ou plus), que nous avons en face de nous. Lorsqu'on se retrouve confronté à une prise de décision, il est important d'écrire qu'elle est cette décision que l'on a à prendre.
3 conseils pour assumer une mauvaise décision I Franck Nicolas
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Pourquoi J'hésite tout le temps ?
Selon la psychologue Josée Jacques, l'indécision est souvent le signe d'un manque de confiance ou d'estime de soi qui fait remettre en question son propre jugement. «Ces gens sont très sensibles à l'opinion des autres et ont besoin d'être rassurés quant à leurs choix.
Pour en finir avec les situations qui vous rendent perplexe, commencez par les lister. Puis classez-les de la plus simple à régler à la plus délicate. « Évaluez d'abord les avantages et les inconvénients, puis lancez-vous dans le projet le plus simple, conseil le le Dr Fanget.
Une décision de justice met un terme définitif à un conflit. La solution adoptée par le juge peut donc être appliquée par les parties y compris par le recours à la force. On dit ainsi que le jugement est doté de la "force exécutoire".
Faites une liste des avantages et des inconvénients.
Dressez une liste avec deux colonnes pour chaque choix, une pour les pour et l'autre pour les contre. Notez-y les bénéfices et les inconvénients de chaque choix. Une fois que vous avez fini, examinez le choix qui présente plus de bénéfices que d'inconvénients.
Comment peser le pour et le contre d'une situation ?
Elle consiste à peser le pour et le contre, à bien évaluer les conséquences. Ça, c'est quand on a un peu de temps (pas au café devant la face médusée du serveur, en somme). On fait deux colonnes, où on met les arguments positifs et négatifs, on regarde de quel côté pèse notre balance et le tour est joué. Next !
Pour mieux vivre avec un indécis, il faut le comprendre
Son état provient surtout d'une angoisse difficile à contrôler : pour lui, choisir, c'est risquer aussi de prendre une mauvaise décision. Un indécis n'est pas forcément un flemmard ou un irresponsable. Ne jugez pas trop hâtivement cette personne.
L'hésitation est donc en réalité une forme de mécanisme de défense. Tout le monde a tendance à hésiter un peu, face à l'incertitude. Corrigez vos craintes. Un énorme facteur de l'hésitation est la peur de mal faire ou de faire une erreur.
Accepter et se pardonner. La première étape pour se libérer des regrets est d'accepter que nous n'avons plus aucun contrôle sur la situation afin de pouvoir tourner la page et aller de l'avant. ...
Les gens peuvent éprouver des remords pour ne pas avoir réglé des conflits avec un membre de la famille ou un ami, particulièrement si l'autre personne est aujourd'hui décédée. Ils peuvent aussi regretter de ne pas pouvoir passer plus de temps avec des membres de la famille plus âgés.
Qui n'est pas décidé, résolu ou décisif, qui n'a pas reçu ou n'apporte pas de solution : Une bataille dont l'issue est restée longtemps indécise. 2. Qui n'apparaît pas nettement aux sens ou à l'esprit, qui est difficile à distinguer ou à définir : Clarté indécise de l'aube.
Ensuite, Pourquoi je n'assume pas ? “Cette attitude témoigne d'une fragilité narcissique, d'un manque de confiance. La structure psychologique de la personne n'est pas assez solide”, complète la psychologue Veronica Olivieri-Daniel.