1. Qui aime la dépense, qui dépense au-delà du nécessaire : Jeune homme dépensier. 2. Se dit dans certains établissements, de la personne, du service chargé de la dépense.
Un dépensier (aussi appelé prodigue) est une personne qui dépense beaucoup d'argent de façon extravagante et le plus souvent en pure perte.
Les personnes dépensières prouvent leur intense besoin d'être aimées et reconnues par les autres. Elles se disent qu'elles apparaîtront plus belles, plus fortes, plus puissantes grâce à leurs possessions. C'est une manière de réparer une profonde faille narcissique, un manque de confiance en soi."
De la sauvegarde de justice à la curatelle
La sauvegarde de justice peut également être une solution temporaire en attendant une mise sous curatelle ou sous tutelle. Une personne âgée qui a tendance à être de plus en plus dépensière peut par exemple susciter de l'inquiétude.
Tout d'abord, il faut lui faire comprendre que cette situation provoque des problèmes dans le couple, qui pourraient facilement être évités. Il faut savoir si elle est consciente du problème d'argent et lui expliquer qu'on l'apprécie non pas pour ses cadeaux mais pour sa personne.
L'oniomanie est caractérisée par des préoccupations, des besoins et des comportements excessifs et non contrôlés vis-à-vis des achats et des dépenses.
Autre suggestion : si vous êtes inquiet des finances d'un proche, posez-lui des questions ouvertes. Ça peut avoir l'air banal, mais demandez-lui comment il va! Montrez-lui que vous êtes à l'écoute, que vous voulez son bien. Peut-être que ça débouchera sur le sujet de sa situation difficile.
L'achat compulsif (ou achat pathologique) représente un problème psychologique avec d'importantes conséquences. 1 à 6% de la population serait concerné. Quelle est la cause de ce comportement ?
Définition "dépensière"
adj. Qui dépense beaucoup d'argent. Qui fait des dépenses excessives et inconsidérées.
L'adjectif radin , un peu familier, qualifie une personne avare et qui surveille de près ses dépenses. Elle a aussi, éventuellement, un certain intérêt pour l'argent.
La meilleure aide que l'on puisse apporter au dépensier consiste à l'accompagner dans les magasins, car la majorité des achats compulsifs sont solitaires. Dans tous les cas, mieux vaut privilégier la prudence en optant pour des comptes distincts !
L'imprévu est l'ennemi de l'épargne
Dans la grande majorité des cas, ce n'est pas le fait de dépenser en général qui vous empêche d'économiser : ce sont les dépenses non planifiées. Et il est souvent difficile de se rendre compte du réel impact de ces dépenses non prévues sur notre budget.
La bonne nouvelle c'est que vous n'avez pas à faire vos comptes matin et soir : trois fois par mois suffisent en général. Deux conseils pour ne pas lâche prise au bout de deux mois : Faites simple : mieux vaut un suivi incomplet mais régulier que le suivi parfait qui ne durera que deux mois.
Ce proverbe signifie que les gens qui travaillent durent, ne sont pas ceux qui ont le plus d'argent.
vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action.
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu.
Quels symptômes caractérisent l'achat compulsif ? Lorsqu'elle est atteinte par ce trouble, une personne effectue des achats compulsifs à répétition, en réponse à une envie irrépressible d'acheter. Ces achats pathologiques ont lieu durant une phase maniaque (phase d'excitation).
La solution : lui demander se noter ses dépenses au jour le jour, pour lui faire prendre conscience de ce qu'il achète. Mettre cette somme dépensée en parallèle avec un loisir que vous ne pourrez pas faire ou un vêtement qu'il ne pourra pas s'acheter par exemple.
Il est seulement assisté de son curateur dans ses démarches. Dans le cas d'une mise sous curatelle renforcée ou aggravée et d'une mise sous tutelle, le curateur ou le tuteur est le seul à pouvoir disposer des comptes bancaires de la personne majeure.