L'invention de l'électricité, ou plutôt l'élaboration de la science des phénomènes d'électrisation, a été matérialisée par la loi de Coulomb (1785), permettant à Volta de créer la première pile électrique (1800) puis à Thomas Edison d'éclairer usines et foyers (1879).
On utilise une source d'énergie qui peut être de l'eau, de la vapeur ou un gaz. Cette énergie fait tourner une énorme turbine qui est reliée à un alternateur. L'alternateur agit comme un aimant et il attire les électrons, ce qui les oblige à se déplacer. Et le déplacement des électrons génère le courant électrique.
Tous secteurs confondus, l'électricité nucléaire est la première forme d'énergie primaire consommée : 40 %. Viennent ensuite le pétrole : 29 %, le gaz : 16 %, les énergies renouvelables et déchets : 12 %, le charbon : 3 %.
C'est en 1717 que le terme d'énergie est employé pour la première fois par Jean Bernoulli dans un sens qui s'oriente vers l'acception physique contemporaine. En 1807, Thomas Young introduit le mot en anglais energy, pour désigner la quantité m·v2.
Sans électricité, les écoles et les hôpitaux ne peuvent fonctionner correctement. De toute façon, sans moyens de transport efficaces, les enfants et les malades ne peuvent quitter leur village pour s'y rendre.
Aujourd'hui, l'énergie désigne « la capacité à effectuer des transformations ». Par exemple, l'énergie c'est ce qui permet de fournir du travail, de produire un mouvement, de modifier la température ou de changer l'état de la matière.
De façon générale, vous pouvez entendre parler de 3 sources d'énergie différentes : Les énergies fossiles. L'énergie nucléaire. Les énergies renouvelables.
L'énergie solaire est la meilleure énergie renouvelable. Elle est recommandée par rapport aux autres choix car elle est plus efficace et respectueux de l'environnement.
Pour Vincent Peillon, «l'énergie la plus propre, c'est le nucléaire»
Du latin energia , lui-même issu du grec ancien ἐνέργεια , enérgeia (« force en action ») par opposition à δύναμις , dýnamis (« force en puissance ») (→ voir dynamique).
Le joule pour l'énergie, le watt pour la puissance
L'unité de base de l'énergie est le joule, du nom du physicien James Precott Joule. Très petite unité, le joule désigne une force de 1 newton s'exerçant en un seul point et correspondant à un mouvement de 1 mètre de ce point.
Une accumulation de facteurs a abouti à l'explosion du prix de l'électricité, qui touche l'Europe dans son ensemble, et n'épargne pas la France. La reprise économique et industrielle. La demande, liée à la sortie de la crise économique due au Covid-19, tire les prix à la hausse depuis la fin de 2021.
L'Homme utilise de l'énergie pour faire fonctionner les objets de la vie quotidienne et satisfaire ses besoins (se déplacer, se chauffer, s'éclairer, communiquer…) Il utilise surtout l'électricité qu'il doit fabriquer et transporter. Pourquoi économiser l'énergie ? Certaines sources d'énergie sont renouvelables.
le soleil pour créer de l'énergie solaire ; le vent pour créer de l'énergie éolienne. l'eau pour créer de l'énergie hydraulique. la chaleur de la Terre pour créer de l'énergie géothermique.
La croissance, les préoccupations environnementales (pollution, réchauffement climatique et réduction des émissions de CO2) et la réduction de la pauvreté énergétique (2 milliards d'individus sur terre n'ont toujours pas accès à une forme moderne d'énergie), constituent les grands enjeux énergétiques de demain.
L'hydrogène, l'énergie de demain.
Tous pays confondus, les énergies fossiles représentent 81,7 % de la consommation d'énergie dans le monde. La source d'énergie la plus utilisée est le pétrole. En 2016, c'est 42 % de la consommation d'énergie dans le monde d'après l'Agence Internationale de l'Énergie.
L'énergie non renouvelable est générée par la combustion de matières fossiles comme le gaz naturel, le mazout et le charbon. L'énergie nucléaire est également considérée comme une forme non renouvelable d'énergie.
L'énergie hydraulique assure l'indépendance énergétique française et ne génère pas d'émissions de CO2 ni de déchets. Néanmoins, comme nous l'avons précisé, les centrales hydrauliques, osmotiques ou marémotrices possèdent un impact plus ou moins important sur la biodiversité des mers et des rivières.